• Reproductive tract infections: prevalence and risk factors in rural Bangladesh Research

    Hawkes, Sarah; Morison, Linda; Chakraborty, Jyotsnamoy; Gausia, Kaniz; Ahmed, Farid; Islam, Shamim Sufia; Alam, Nazmul; Brown, David; Mabey, David

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Déterminer la prévalence et les facteurs de risque des infections de l'appareil reproducteur chez les hommes et femmes d'une communauté rurale du Bangladesh. MÉTHODES: Dans la région du Matlab, un échantillon systématique de femmes mariées non enceintes âgées de 15 à 50 ans a été constitué à partir d'un système complet d'enregistrement des ménages et des données sanitaires concernant les femmes mariées. Un échantillon systématique d'hommes mariés ou célibataires de la même tranche d'âge a été établi à partir d'une liste de surveillance démographique obtenue par recensement. Des entretiens individuels ont eu lieu avec 804 femmes dans un dispensaire et des prélèvements cervicaux, vaginaux, urinaires et sérologiques ont été effectués. Des entretiens ont été réalisés et des échantillons de sang et d'urine ont été recueillis chez 969 hommes vus à leur domicile. RÉSULTATS: La prévalence des infections bactériennes et virales de l'appareil reproducteur était faible à modérée. Par exemple, moins de 1 % des femmes étaient porteuses d'une infection du col de l'utérus. Aucun cas d'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) n'a été trouvé. On a cependant rapporté chez les hommes un niveau élevé de comportement à risque et un faible niveau de protection contre les infections. CONCLUSION: Une faible prévalence des infections de l'appareil reproducteur associée à un taux élevé de comportement à risque montre la nécessité de programmes de prévention primaire destinés à empêcher une augmentation de l'incidence des infections de l'appareil reproducteur, des infections sexuellement transmissibles et de l'infection par le VIH.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Determinar la prevalencia y los factores de riesgo de infecciones del aparato reproductor entre los hombres y mujeres de una comunidad rural de Bangladesh. MÉTODOS: En la zona de Matlab, a partir de un sistema completo de registro de hogares de mujeres casadas se obtuvo una muestra sistemática de mujeres no embarazadas de 15-50 años. Se obtuvo además una muestra sistemática de hombres casados y solteros del mismo grupo de edad tomando como base una lista de vigilancia demográfica elaborada con información censal. Se realizaron entrevistas privadas con 804 mujeres en un dispensario, y se obtuvieron muestras cervicouterinas, vaginales, urinarias y serológicas. Se tomaron también muestras de orina y sangre de 969 hombres a los que se entrevistó en su domicilio. RESULTADOS: La prevalencia de infecciones bacterianas y víricas del aparato reproductor era entre moderada y baja. Por ejemplo, menos del 1% de las mujeres presentaban infección del cuello del útero. No se halló ningún caso de infección por el virus de la inmunodeficienia humana (VIH). Sin embargo, entre los hombres se detectó una alta frecuencia de comportamientos de riesgo declarados y un bajo nivel de protección contra las infecciones. CONCLUSIÓN: La baja prevalencia de infecciones del aparato reproductor, unida al alto nivel de comportamientos de riesgo declarados, muestra la necesidad de establecer programas de atención primaria que prevengan un aumento de la incidencia de infecciones genitales, de infecciones de transmisión sexual y del VIH.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To determine the prevalence of and risk factors for reproductive tract infections among men and women in a rural community in Bangladesh. METHODS: In the Matlab area a systematic sample of married non-pregnant women aged 15-50 years was drawn from a comprehensive household registration system for married women. A systematic sample of married and unmarried men in the same age group was drawn from a census-derived demographic surveillance list. Private interviews were conducted with 804 women in a clinic, and cervical, vaginal, urinary and serological samples were collected. Urine and blood specimens were obtained from 969 men who were interviewed at home. FINDINGS: The prevalence of bacterial and viral reproductive tract infections was low to moderate. For example, fewer than 1% of the women had a cervical infection. No cases of human immunodeficiency virus (HIV) infection were found. However, among men there was a high level of reported risk behaviour and a low level of protection against infection. CONCLUSION: A low prevalence of reproductive tract infections, coupled with a high level of reported risk behaviour, indicated a need for primary programmes that would prevent an increase in the incidence of reproductive tract infections, sexually transmitted infections and HIV infection.
  • Growth performance of affluent Indian children is similar to that in developed countries Research

    Bhandari, Nita; Bahl, Rajiv; Taneja, Sunita; Onis, Mercedes de; Bhan, Maharaj K.

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Une enquête transversale a été réalisée afin de déterminer si dans une population aisée du sud de Delhi, les enfants ont des caractéristiques de croissance similaires à celles des enfants des pays développés et d'identifier les facteurs socio-économiques qui pourraient être défavorables à la croissance dans ce groupe. MÉTHODES: Lors de l'enquête, on a mesuré le poids et la taille de 395 enfants de 12 à 23 mois et la taille de 331 mères et 153 grands-mères et on a recueilli des informations sur la situation socio-économique de la famille et sur les pratiques concernant l'alimentation des enfants. Les enfants nés prématurés, c'est-à-dire avant 37 semaines de grossesse, et ceux qui étaient atteints de maladies empêchant une croissance optimale, ont été exclus de l'analyse, comme il a été fait dans la population de référence NCHS/OMS. RÉSULTATS: Chez les 341 enfants inclus dans l'analyse, la valeur moyennne du Z pour les rapports poids/âge, taille/âge et poids/taille était respectivement de -0,45, -0,28 et -0,32. Environ 6 % des enfants présentaient un poids insuffisant (Z du rapport poids/âge <FONT FACE=Symbol>£</FONT> -2), 3 % présentaient un retard de croissance (Z du rapport taille/âge <FONT FACE=Symbol>£</FONT>-2), et 4 % étaient émaciés (Z du rapport poids/taille <FONT FACE=Symbol>£</FONT>-2). Les facteurs significativement associés avec une valeur plus élevée du rapport taille/âge étaient une durée des études égale ou supérieure à 17 ans pour un ou les deux parents (valeur moyenne du Z pour le rapport taille/âge -0,17) et un régime alimentaire non végétarien (valeur moyenne du Z pour le rapport taille/âge -0,18). Aucun facteur socio-économique n'était associé au rapport poids/taille moyen. CONCLUSION: Les enfants de cette population aisée étaient proches de la population de référence NCHS/OMS en ce qui concerne les indicateurs anthropométriques. La sous-population issue de parents ayant fait des études plus longues avait des caractéristiques de croissance encore meilleures. Il est prévu d'inclure cette sous-population dans l'étude multicentrique OMS sur les valeurs de référence pour la croissance.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Se realizó un estudio transversal para determinar si los niños de una población próspera del sur de Delhi presentaban un crecimiento similar a los de los países desarrollados, así como para identificar los factores socioeconómicos que se oponían a un crecimiento óptimo en ese grupo. MÉTODOS: Se midieron el peso y la estatura de 395 niños de 12 a 23 meses, así como la estatura de 331 madres y 153 abuelas, y se obtuvo información sobre el nivel socioeconómico de las familias y las prácticas de alimentación de los niños. Se excluyó del análisis a los niños nacidos prematuramente (antes de las 37 semanas de gestación) así como a los afectados por enfermedades que inhiben el crecimiento, al igual que ocurre con la población de referencia NCHS/OMS. RESULTADOS: Entre los 341 niños incluidos en el análisis, las puntuaciones Z medias correspondientes al peso para la edad, la talla para la edad y el peso para la talla fueron de -0,45, -0,28 y - 0,32, respectivamente. En torno a un 6% de los niños pesaban menos de lo normal (Z del peso para la edad <FONT FACE=Symbol>£</FONT>-2), el 3% sufría retraso del crecimiento (Z de la talla para la edad <FONT FACE=Symbol>£</FONT> -2), y el 4% presentaba emaciación (Z del peso para la talla <FONT FACE=Symbol>£</FONT> -2). Los factores significativamente asociados a una mayor talla para la edad fueron el hecho de que al menos uno de los progenitores hubiese disfrutado de 17 años o más de educación (Z de la talla media para la edad -0,17) y el seguimiento de una dieta no vegetariana (Z de la talla media para la edad -0,18). No se observó ninguna relación entre cualquiera de los factores socioeconómicos considerados y el peso medio para la talla. CONCLUSIÓN: Los niños de esta población próspera eran de características similares a los de la población de referencia NCHS/OMS en lo que respecta a los indicadores antropométricos. La subpoblación con mayor grado de instrucción de los padres presentó un crecimiento incluso mejor. Se tiene la intención de incluir a esa subpoblación en el Estudio Multicéntrico de la OMS sobre el Patrón de Crecimiento.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: A cross-sectional survey was conducted in order to determine whether an affluent population in south Delhi had a growth performance similar to that in developed countries and to identify socioeconomic factors that militated against optimal growth in this group. METHODS: The weights and lengths of 395 children aged 12-23 months and the heights of 331 mothers and 153 grandmothers were measured and information was obtained on family socioeconomic status and child-feeding practices. Children born prematurely, i.e. before 37 weeks of gestation, and those with illness adversely affecting growth, were excluded from the analysis, as with the NCHS/WHO reference population. RESULTS: In 341 children included in the analysis, the mean Z-scores for weight-for-age, length-for-age and weight-for-length were -0.45, -0.28 and -0.32 respectively. About 6% of the children were underweight (weight-for-age Z-score <FONT FACE=Symbol>£</FONT>-2), 3% were stunted (length-for-age Z-score <FONT FACE=Symbol>£</FONT>-2), and 4% were wasted (weight-for-length Z-score <FONT FACE=Symbol>£</FONT>-2). The factors that were significantly associated with higher length-for-age were one or both parents having 17 years or more of education (mean length-for-age Z-score -0.17) and non-vegetarian diet (mean length-for-age Z-score - 0.18). No socioeconomic factors were associated with mean weight-for-length. CONCLUSION: The children in this affluent population were close to the NCHS/WHO reference population with regard to anthropometric indicators. The subpopulation with higher parental education had even better growth. It is intended to include this subpopulation in the WHO Multicentre Growth Reference Study.
  • Structure and performance of infectious disease surveillance and response, United Republic of Tanzania, 1998 Research

    Nsubuga, Peter; Eseko, Nicholas; Tadesse, Wuhib; Ndayimirije, Nestor; Stella, Chungong; McNabb, Scott

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Evaluer la structure et la performance de cinq systèmes de surveillance des maladies infectieuses en République-Unie de Tanzanie ainsi que leurs fonctions d'appui : système d'information pour la gestion de la santé (HMIS) ; système de notification hebdomadaire des maladies infectieuses (IDWE) ; tuberculose/lèpre : virus de l'immunodéficience humaine/syndrome d'immunodéficience acquise ; paralysie flasque aiguë/poliomyélite. MÉTHODES: Pour évaluer les systèmes, nous avons analysé leurs activités centrales (surveillance et riposte) ainsi que leurs fonctions d'appui (sous forme de formation, de supervision et d'allocation de ressources). Les données ont été recueillies à l'aide de questionnaires et provenaient aussi bien d'entretiens que d'observations aux niveaux de la région, du district et de l'établissement de soins dans trois des 20 régions de République-Unie de Tanzanie. RÉSULTATS: Un HMIS a été trouvé dans 26 des 32 (81 %) établissements de soins enquêtés et dans la totalité des 14 bureaux médicaux de district et de région. Les quatre autres systèmes de surveillance ont été trouvés dans moins de 20 % des établissements de soins et moins de 75 % des bureaux médicaux. Des définitions normalisées de cas n'étaient utilisées que pour 3 des 21 maladies faisant l'objet d'une surveillance. Parmi les établissements disposant d'un HMIS, 19 (73 %) avaient des formulaires en quantité suffisante, 9 (35 %) effectuaient les notifications en temps voulu, et 11 (42 %) bénéficiaient d'une supervision ou d'un retour d'information. Parmi les bureaux médicaux disposant d'un HMIS, 4 (29 %) étaient en mesure d'utiliser des dénominateurs de population pour l'analyse des données, 12 (86 %) participaient à des investigations sur les flambées de cas, et 11 (79 %) avaient mené des activités de prévention dans la communauté. CONCLUSION: Même si le HMIS peut jouer un rôle majeur dans la stratégie de surveillance intégrée des maladies (IDSR) en République-Unie de Tanzanie, il faudra développer les activités de supervision et l'utilisation des définitions normalisées de cas et améliorer la qualité de la notification, de l'analyse des données et du retour d'information.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar la estructura y el desempeño, así como el apoyo que recibían, de cinco sistemas de vigilancia de las enfermedades infecciosas implantados en la República Unida de Tanzanía: el Sistema de Información para la Gestión Sanitaria (SIGS); la Información semanal contra las enfermedades infecciosas (IDWE); Tuberculosis/Lepra; Virus de la Inmunodeficiencia Humana/Síndrome de Inmunodeficiencia Adquirida; y Parálisis Fláccida Aguda/Poliomielitis. MÉTODOS: Los sistemas fueron evaluados analizando las actividades básicas de vigilancia y respuesta y las funciones de apoyo (disponibilidad de capacitación, supervisión y recursos). Los datos se obtuvieron mediante cuestionarios que integraban entrevistas y observaciones efectuadas a nivel regional y distrital y en centros de salud en tres de las 20 regiones de la República Unida de Tanzanía. RESULTADOS: Se halló un sistema de información para la gestión sanitaria en 26 (81%) de los 32 centros de salud encuestados, y en la totalidad de las 14 oficinas médicas regionales y de distrito. En cuanto a los otros cuatro sistemas de vigilancia, disponían de ellos menos del 20% de los centros de salud y menos del 75% de las oficinas médicas. Se usaban definiciones de casos normalizadas únicamente para 3 de las 21 enfermedades infecciosas consideradas. Diecinueve (73%) de los centros de salud que tenían un SIGS contaban también con suministros adecuados de formularios; 9 (35%) notificaban puntualmente los casos; y 11 (42%) recibían supervisión o retroinformación. Cuatro (29%) de las oficinas médicas con SIGS disponían de denominadores de población para el análisis de los datos; 12 (86%) participaban en investigaciones sobre los brotes; y 11 (79%) habían organizado actividades de prevención comunitaria. CONCLUSIÓN: Los SIGS podrían servir de base para una estrategia de vigilancia y respuesta para las enfermedades infecciosas en la República Unida de Tanzanía, pero ello requerirá supervisión, definiciones de casos normalizadas y mejoras en la calidad de la notificación, el análisis y la retroinformación.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess the structure and performance of and support for five infectious disease surveillance systems in the United Republic of Tanzania: Health Management Information System (HMIS); Infectious Disease Week Ending; Tuberculosis/Leprosy; Human Immunodeficiency Virus/Acquired Immunodeficiency Syndrome; and Acute Flaccid Paralysis/Poliomyelitis. METHODS: The systems were assessed by analysing the core activities of surveillance and response and support functions (provision of training, supervision, and resources). Data were collected using questionnaires that involved both interviews and observations at regional, district, and health facility levels in three of the 20 regions in the United Republic of Tanzania. FINDINGS: An HMIS was found at 26 of 32 health facilities (81%) surveyed and at all 14 regional and district medical offices. The four other surveillance systems were found at <20% of health facilities and <75% of medical offices. Standardized case definitions were used for only 3 of 21 infectious diseases. Nineteen (73%) health facilities with HMIS had adequate supplies of forms; 9 (35%) reported on time; and 11 (42%) received supervision or feedback. Four (29%) medical offices with HMIS had population denominators to use for data analyses; 12 (86%) were involved in outbreak investigations; and 11 (79%) had conducted community prevention activities. CONCLUSION: While HMIS could serve as the backbone for IDSR in the United Republic of Tanzania, this will require supervision, standardized case definitions, and improvements in the quality of reporting, analysis, and feedback.
  • Preferences of urban Zimbabweans for health and life lived at different ages Research

    Jelsma, Jennifer; Shumba, Darlies; Kristian, Hansen; De Weerdt, Willy; De Cock, Paul

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Déterminer chez des Zimbabwéens vivant en zone urbaine les préférences pondérées en fonction de l'âge au regard des priorités de santé publique. MÉTHODES: L'étude a été réalisée sur un échantillon de 67 résidents d'un quartier fortement peuplé de Harare choisis par tirage au sort. Il leur a été posé des questions sur la valeur accordée à la vie ou à la santé d'une personne afin de déterminer leurs préférences, exprimées en nombre de personnes de différents âges qui devraient être sauvées de la mort ou d'une année de vie en mauvaise santé par rapport au nombre de personnes de 30 ans qui devraient être préservées des mêmes risques. RÉSULTATS: Les réponses indiquent que le fait d'éviter une année de vie en mauvaise santé a la valeur jugée la plus élevée lorsqu'il s'agit de personnes de 15 ans et une valeur égale pour les personnes de 1 an, 30 ans et 45 ans. La valeur accordée au fait d'éviter un décès reflétait principalement le nombre d'années de vie prévues qui seraient perdues, mais l'influence de la pondération en fonction de l'âge ressortait clairement du fait que l'âge de 15 ans était celui pour lequel cette valeur était jugée la plus élevée. CONCLUSION: Bien que les courbes de pondération en fonction de l'âge ne correspondent pas exactement aux pondérations de la charge mondiale de morbidité, les Zimbabwéens ont montré qu'ils préféraient sauver la vie des jeunes adultes. Les pondérations de la charge mondiale de morbidité en fonction de l'âge devront être utilisées pour déterminer les années de vie ajustées sur l'incapacité (DALY) perdues dans la population du Zimbabwe.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Determinar las preferencias ponderadas por la edad de los zimbabwenses en relación con las prioridades asistenciales. MÉTODOS: Participaron en el estudio 67 residentes de una zona de alta densidad de Harare elegidos al azar. Se les hicieron preguntas de "equivalencias de personas" para determinar sus preferencias en cuanto al número de individuos de diversas edades a los que salvarían de la muerte o de un año de mala salud en comparación con el número de individuos de 30 años a los que salvarían de esas mismas contingencias. RESULTADOS: Las respuestas muestran que el valor de evitar un año de mala salud es máximo para los jóvenes de 15 años, y similar para las personas de 1, 30 y 45 años. El valor de evitar una muerte se correspondía sobre todo con los años de esperanza de vida perdidos, pero la influencia de la ponderación por la edad se advierte claramente en el dato de que la edad de 15 años fue la más valorada. CONCLUSIÓN: Aunque las curvas de ponderación por la edad no coincidían exactamente con los pesos atribuidos a las edades en la Carga Mundial de Morbilidad (GBD), los zimbabwenses demostraron un interés preferente por salvar la vida de adultos jóvenes. Se deberían usar los pesos de la GBD para determinar los AVAD (años de vida ajustados en función de la discapacidad) perdidos en la población de Zimbabwe.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To determine the age-weighting preferences of urban Zimbabweans in relation to health care priorities. METHOD: A total of 67 randomly selected residents of a high-density area of Harare participated in the study. Participants were asked "person trade-off" questions to determine their preferences in terms of the numbers of people of various ages who would be saved from death and from suffering a year of ill-health relative to the number of 30-year-olds who would be saved from these eventualities. FINDINGS: The responses indicate that the value of averting a year of ill-health was judged greatest for 15-year-olds and was equal for people aged 1, 30, and 45 years. The value of averting a death primarily reflected the expected years of life lost, but the influence of age-weighting was evident in that 15 years was the most highly valued age. CONCLUSION: Although the age-weighting curves did not correspond exactly with the Global Burden of Disease (GBD) age-weights, Zimbabweans showed a preference for saving the lives of young adults. The GBD age-weights should be used to determine the disability-adjusted life years lost in the Zimbabwean population.
  • Vaccine-associated paralytic poliomyelitis in India during 1999: decreased risk despite massive use of oral polio vaccine Research

    Kohler, Kathryn A.; Banerjee, Kaushik; Gary Hlady, W.; Andrus, Jon K.; Sutter, Roland W.

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: La poliomyélite paralytique associée à la vaccination (PPAV) est une conséquence rare mais grave de l'administration de vaccin antipoliomyélitique oral (VPO). L'intensification de la vaccination par le VPO a réduit la transmission du poliovirus sauvage en Inde mais la PPAV devient un sujet de préoccupation. MÉTHODES: Nous avons analysé les données de surveillance concernant la paralysie flasque aiguë (PFA) afin d'estimer le risque de PPAV dans ce pays. La PPAV a été définie comme poliomyélite paralytique observée parmi les cas de PFA avec début de la paralysie en 1999, faiblesse musculaire résiduelle 60 jours après le début de la paralysie et isolement d'un poliovirus de type vaccinal. Les cas de PPAV chez les sujets récemment vaccinés constituaient un sous-ensemble de cas chez lesquels la paralysie débutait entre 4 et 40 jours après l'administration du VPO. RÉSULTATS: Au total, 181 cas de PFA répondaient à la définition de cas de PPAV. Les estimations de risque suivantes ont été faites : risque global, 1 cas pour 4,1 à 4,6 millions de doses de VPO administrées ; risque chez les sujets récemment vaccinés, 1 cas pour 12,2 millions ; risque chez les sujets ayant récemment reçu la première dose de vaccin, 1 cas pour 2,8 millions ; risque chez les sujets ayant récemment reçu une dose ultérieure de vaccin, 1 cas pour 13,9 millions. CONCLUSION: Le risque estimé de VAPP en Inde, calculé d'après les données d'un système de surveillance très sensible, est à l'évidence plus faible que dans d'autres pays, malgré l'administration de doses multiples de VPO aux enfants dans le cadre de campagnes de vaccination de masse.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: La poliomielitis paralítica de origen vacunal (PPV) es una consecuencia infrecuente pero grave de la administración de la vacuna antipoliomielítica oral (OPV). La intensificación de la administración de OPV ha reducido la transmisión del poliovirus natural en la India, pero la PPV está empezando a suscitar preocupación. MÉTODOS: Analizamos los datos de vigilancia de la parálisis fláccida aguda (PFA) a fin de estimar el riesgo de PPV en el país. Se estableció que debían considerarse PPV los casos de PFA con inicio de la parálisis en 1999, debilidad residual 60 días después del comienzo de las manifestaciones, y aislamiento del poliovirus vacunal. Los casos de PPV de receptores se identificaron con el subgrupo en el que la parálisis se había iniciado entre 4 y 40 días después de la administración de OPV. RESULTADOS: En total, 181 casos de PFA satisficieron la definición de caso. Se hicieron las siguientes estimaciones del riesgo de PPV: riesgo global, 1 caso por 4,1-4,6 millones de dosis de OPV administradas; riesgo de receptor, 1 caso por 12,2 millones; riesgo de receptor de primera dosis, 1 caso por 2,8 millones; y riesgo de receptor de dosis subsiguientes, 1 caso por 13,9 millones. CONCLUSIÓN: A juzgar por los datos suministrados por un sistema de vigilancia altamente sensible, el riesgo estimado de PPV en la India es claramente menor que el correspondiente a otros países, pese a la administración de múltiples dosis de OPV a los niños durante las campañas de inmunización masiva.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: Vaccine-associated paralytic poliomyelitis (VAPP) is a rare but serious consequence of the administration of oral polio vaccine (OPV). Intensified OPV administration has reduced wild poliovirus transmission in India but VAPP is becoming a matter of concern. METHODS: We analysed acute flaccid paralysis (AFP) surveillance data in order to estimate the VAPP risk in this country. VAPP was defined as occurring in AFP cases with onset of paralysis in 1999, residual weakness 60 days after onset, and isolation of vaccine-related poliovirus. Recipient VAPP cases were a subset with onset of paralysis between 4 and 40 days after receipt of OPV. FINDINGS: A total of 181 AFP cases met the case definition. The following estimates of VAPP risk were made: overall risk, 1 case per 4.1 to 4.6 million OPV doses administered; recipient risk,1 case per 12.2 million; first-dose recipient risk, 1case per 2.8 million; and subsequent-dose recipient risk, 1 case per 13.9 million. CONCLUSION: On the basis of data from a highly sensitive surveillance system the estimated VAPP risk in India is evidently lower than that in other countries, notwithstanding the administration of multiple OPV doses to children in mass immunization campaigns.
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