• Male circumcision programmes in Kenya: lessons from the Kenya AIDS Indicator Survey 2007 Research

    Mwandi, Zebedee; Bunnell, Rebecca; Cherutich, Peter; Mermin, Jonathan; Kim, Andrea A; Gichangi, Anthony; Mureithi, Patrick; Kellogg, Timothy A; Oluoch, Tom; Muttunga, James; Ngare, Carol; Kim, Evelyn; Kaiser, Reinhard

    Resumo em Russo:

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    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Conseiller des programmes de circoncision masculine au Kenya en estimant le nombre d'hommes non circoncis et en recherchant l'association entre la circoncision et l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), avec une référence particulière aux hommes non circoncis et non infectés par le VIH. MÉTHODES: Des données sur des hommes âgés de 15 à 64 ans ont été obtenues de l'enquête de 2007 sur les indicateurs du SIDA au Kenya, impliquant des entretiens et des prises de sang afin de rechercher la présence du VIH et du virus de l'herpès simplex 2 (VHS-2). La prévalence de l'infection par le VIH et la circoncision dans les provinces kenyanes a été calculée, et les caractéristiques démographiques ainsi que le comportement sexuel des hommes circoncis et non circoncis, des hommes infectés et non infectés par le VIH ont été enregistrés. RÉSULTATS: La prévalence nationale de l'infection par le VIH chez les hommes non circoncis s'élevait à 13,2% (intervalle de confiance de 95%, IC: 10,8-15,7) par rapport à un pourcentage de 3,9% (IC de 95%: 3,3-4,5) chez les hommes circoncis. La province de Nyanza présentait l'estimation du plus grand nombre d'homme non circoncis et d'hommes non infectés par le VIH (601 709), suivie de la vallée du Rift, de Nairobi et de la province occidentale, respectivement, dont la plus grande partie appartenait à la tribu ethnique des Luo. Chez ces hommes, 77,8% ne connaissaient pas leur séropositivité et 33,2% étaient positifs au VHS-2. De plus, 65.3% d'entre eux avaient eu des rapports sexuels non protégés avec une partenaire de statut HIV inconnu ou discordant au cours des 12 derniers mois, et seuls 14,7% d'entre eux utilisaient constamment des préservatifs avec leur dernière partenaire. Cependant, seuls 21,8% des hommes non circoncis et non infectés par le VIH âgés de 15 à 19 ans étaient sexuellement actifs. CONCLUSION: La stratégie de circoncision des hommes kenyans doit s'orienter sur les provinces présentant le plus grand nombre d'hommes non circoncis et non infectés par le VIH, mais aussi cibler les jeunes hommes avant ou peut de temps après leur première expérience sexuelle.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Proporcionar orientación para los programas de circuncisión masculina en Kenia calculando la población de hombres circuncidados e investigando la relación entre la circuncisión y la infección con el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH), haciendo alusión especial a los hombres no circuncidados ni infectados por el VIH. MÉTODOS: Los datos acerca de los hombres con edades comprendidas entre 15 y 64 años se obtuvieron de la Encuesta de indicadores del SIDA en Kenya del año 2007, que incluyó entrevistas y la recogida de muestras de sangre para realizar las pruebas del VIH y del virus del herpes simple de tipo 2 (VHS-2). Se calculó la prevalencia de la infección por el VIH y la circuncisión en las provincias de Kenia y se registraron las características demográficas y el comportamiento sexual de los hombres circuncidados y no circuncidados, infectados y no infectados con el VIH. RESULTADOS: La prevalencia nacional de la infección por VIH en los hombres circuncidados fue del 13,2% (intervalo de confianza del 95%, IC: 10,8 - 15,7) comparada con el 3,9% (IC 95%: 3,3 - 4,5) entre los hombres circuncidados. La provincia de Nyanza tuvo el mayor número estimado de hombres no circuncidados y no infectados por el VIH (esto es, 601 709), seguida por la provincia Rift Valley, Nairobi y la provincia Occidental, respectivamente, y la mayoría de ellos pertenecía a la tribu étnica Luo. De esos hombres, el 77,8% no conocía su estado serológico y el 33,2% estaba infectado con el VHS-2. Además, el 65,3% había mantenido relaciones sexuales sin protección con una pareja serodiscordante o que no conocía su estado serológico en los últimos 12 meses y sólo el 14,7% había empleado preservativos de manera sistemática con su pareja más reciente. No obstante, sólo el 21,8% de los hombres circuncidados e infectados por el VIH con edades entre los 15 y los 19 años era sexualmente activo. CONCLUSIÓN: La estrategia de circuncisión masculina en Kenya debería centrarse en las provincias con el mayor número de hombres no circuncidados y no infectados por el VIH y dirigirse a los hombres jóvenes antes o poco después de la primera relación sexual.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To provide guidance for male circumcision programmes in Kenya by estimating the population of uncircumcised men and investigating the association between circumcision and infection with the human immunodeficiency virus (HIV), with particular reference to uncircumcised, HIV-uninfected men. METHODS: Data on men aged 15 to 64 years were derived from the 2007 Kenya AIDS Indicator Survey, which involved interviews and blood collection to test for HIV and herpes simplex virus 2 (HSV-2). The prevalence of HIV infection and circumcision in Kenyan provinces was calculated and the demographic characteristics and sexual behaviour of circumcised and uncircumcised, HIV-infected and HIV-uninfected men were recorded. FINDINGS: The national prevalence of HIV infection in uncircumcised men was 13.2% (95% confidence interval, CI: 10.8-15.7) compared with 3.9% (95% CI: 3.3-4.5) among circumcised men. Nyanza province had the largest estimated number of uncircumcised, HIV-uninfected men (i.e. 601 709), followed by Rift Valley, Nairobi and Western Province, respectively, and most belonged to the Luo ethnic tribe. Of these men, 77.8% did not know their HIV status and 33.2% were HSV-2-positive. In addition, 65.3% had had unprotected sex with a partner of discordant or unknown HIV status in the past 12 months and only 14.7% consistently used condoms with their most recent partner. However, only 21.8% of the uncircumcised, HIV-uninfected men aged 15 to 19 years were sexually active. CONCLUSION: The Kenyan male circumcision strategy should focus on the provinces with the highest number of uncircumcised, HIV-uninfected men and target young men before or shortly after sexual debut.

    Resumo em ch:

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    Resumo em Árabe:

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  • From caution to urgency: the evolution of HIV testing and counselling in Africa Research

    Baggaley, R; Hensen, B; Ajose, O; Grabbe, KL; Wong, VJ; Schilsky, A; Lo, Y-R; Lule, F; Granich, R; Hargreaves, J

    Resumo em Russo:

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    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Décrire les changements récents dans la politique d'activités de conseil et de dépistage à l'initiative du fournisseur (PITC), du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) dans les pays africains, et enquêter sur les expériences et opinions des patients relatives à la PITC. MÉTHODES: Les publications, ainsi que les politiques nationales, les cadres stratégiques, les plans et autres documents pertinents relatifs au dépistage du VIH ont été étudiés. RÉSULTATS: Sur les pays africains passés en revue, 42 d'entre eux (79.2%) avaient adopté une PITC. Sur ces 42 pays, tous recommandaient la PITC pour la prévention de la transmission mère-enfant du VIH, 66,7% pour les cliniques soignant la tuberculose et les patients affectés par cette maladie, et 45,2%, pour les cliniques soignant les infections sexuellement transmissibles. En outre, 43,6% des pays avaient adopté la PITC en 2005 ou 2006. L'examen des publications a permis d'identifier 11 études sur les expériences des patients et leur opinion relatives à la PITC dans les environnements cliniques en Afrique. La grande majorité considérait la PITC comme étant acceptable. Cependant, les femmes en consultations prénatales n'étaient pas toujours conscientes du fait qu'elles avaient le droit de refuser un dépistage du VIH. CONCLUSION: La politique et la pratique relatives aux activités de conseil et de dépistage du VIH en Afrique sont passées d'une approche prudente, mettant l'accent sur la confidentialité, à une plus grande acceptation de l'offre systématique de dépistage du VIH. L'introduction de la PITC dans les milieux cliniques a contribué à augmenter le dépistage du VIH dans plusieurs de ces environnements. La plupart des patients considèrent la PITC comme étant acceptable. Toutefois, d'autres approches sont nécessaires pour atteindre les personnes qui ne font pas appel aux services de santé.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Describir los cambios recientes en la estrategia sobre la realización de pruebas de detección del virus de la inmunodeficiencia humana (VIH) y el asesoramiento emprendidos por los proveedores (PITC) en países africanos e investigar las experiencias de los pacientes y sus opiniones acerca de la PITC. MÉTODOS: Se llevó a cabo un examen de las publicaciones y de estrategias de detección del VIH nacionales, convenios estratégicos, planes y otros documentos importantes. RESULTADOS: De los países africanos examinados, 42 (79,2%) había adoptado la estrategia PITC. De esos 42, todos recomendaban la PITC para prevenir la transmisión maternoinfantil del VIH, el 66,7% la recomendaba a las clínicas y pacientes con tuberculosis y el 42,5% a las clínicas de tratamiento de infecciones de transmisión sexual. Además, el 43,6% adoptó la PITC en el año 2005 o 2006. La búsqueda bibliográfica identificó 11 estudios sobre las experiencias de los pacientes y sus opiniones acerca de la PITC en entornos clínicos de África. Una mayoría clara consideró la PICT aceptable. Sin embargo, las mujeres en las clínicas de atención prenatal no siempre fueron conscientes de que tenían el derecho a rechazar las pruebas de detección del VIH. CONCLUSIÓN: La estrategia y práctica de las pruebas de detección del VIH y el asesoramiento en África han cambiado desde un enfoque cauteloso que enfatiza la confidencialidad a una mayor aceptación de la oferta sistemática de pruebas de detección del VIH. La introducción de la PITC en los entornos clínicos ha contribuido a incrementar el número de pruebas de detección del VIH en muchos de esos entornos. La mayoría de pacientes considera la PTIC aceptable. No obstante, se necesitan otros enfoques para llegar a aquellas personas que no acuden a los servicios sanitarios.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To describe recent changes in policy on provider-initiated testing and counselling (PITC) for human immunodeficiency virus (HIV) infection in African countries and to investigate patients' experiences of and views about PITC. METHODS: A review of the published literature and of national HIV testing policies, strategic frameworks, plans and other relevant documents was carried out. FINDINGS: Of the African countries reviewed, 42 (79.2%) had adopted a PITC policy. Of the 42, all recommended PITC for the prevention of mother-to-child HIV transmission, 66.7% recommended it for tuberculosis clinics and patients, and 45.2% for sexually transmitted infection clinics. Moreover, 43.6% adopted PITC in 2005 or 2006. The literature search identified 11 studies on patients' experiences of and views about PITC in clinical settings in Africa. The clear majority regarded PITC as acceptable. However, women in antenatal clinics were not always aware that they had the right to decline an HIV test. CONCLUSION: Policy and practice on HIV testing and counselling in Africa has shifted from a cautious approach that emphasizes confidentiality to greater acceptance of the routine offer of HIV testing. The introduction of PITC in clinical settings has contributed to increased HIV testing in several of these settings. Most patients regard PITC as acceptable. However, other approaches are needed to reach people who do not consult health-care services.

    Resumo em ch:

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    Resumo em Árabe:

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  • Implications of adopting new WHO guidelines for antiretroviral therapy initiation in Ethiopia Research

    Konings, Elke; Ambaw, Yirga; Dilley, Katherine; Gichangi, Peter; Arega, Tesfaye; Crandall, Bud

    Resumo em Russo:

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    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Évaluer les implications de la mise en œuvre des directives 2010 de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) relatives au lancement du traitement antirétroviral (TAR) chez les adultes et adolescents infectés par le virus d'immunodéficience humaine (VIH), qui recommandent de débuter le TAR à un seuil de lymphocytes T CD4+ (CD4+) < à 350 cellules/mm³ au lieu de < 200 cellules/mm³, qui était l'ancien seuil. MÉTHODES: Entre avril et mai 2010, les résultats de tests de CD4+ ont été recueillis chez tous les patients infectés par le VIH, enregistrés dans les registres pré-ART et ART de 19 centres de santé comptant un grand nombre de patients, à Addis-Abeba, en Éthiopie, et dans les régions d'Amhara, d'Oromia, la SNNPR (Région des nations, nationalités et peuples du Sud) et le Tigray. Dans 12 centres, les dossiers des patients ont été examinés de manière indépendante afin d'évaluer l'exactitude des données. Pour estimer le nombre total de patients nécessitant un TAR dans les centres de santé si l'Éthiopie adoptait les nouvelles directives de l'OMS, le nombre de patients nécessitant un TAR sur la base des directives actuelles a été ajouté au nombre de patients asymptomatiques inscrits dans le pré-TAR avec un nombre des CD4+ > 200 cellules/mm³, mais < 350 cellules/mm³. RÉSULTATS: L'adoption des nouvelles directives de l'OMS augmenterait d'environ 30% le nombre total de patients sous TAR dans les 19 centres de santé en Éthiopie, le faisant passer de de 3 583 à 4 640. CONCLUSION: Le changement du seuil de CD4+ au lancement du TAR augmentera considérablement la demande de TAR en Éthiopie. Étant donné que seuls 60% des patients éthiopiens nécessitant un TAR reçoivent leurs médicaments, dans le cadre des systèmes actuels, la mise à niveau des programmes de TAR pour répondre à la demande accrue de médicaments ne sera pas possible, à moins d'un financement gouvernemental et d'un accroissement simultané de l'aide.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar las consecuencias de la implementación de las directrices de la Organización Mundial de la Salud (OMS) de 2010 para el inicio de la terapia antirretroviral (TAR) en adultos y adolescentes infectados por el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH), que recomiendan comenzar la TAR con un umbral de linfocitos CD4+ T (CS4+) igual o superior a 350 células/mm³ en lugar del umbral igual o superior a 200 células/mm³ empleado anteriormente. MÉTODOS: Entre abril y mayo de 2010, se recopilaron los resultados de las pruebas de CD4+ de todos los pacientes infectados por el VIH registrados en los archivos pre-TAR y TAR de 19 centros de salud con un volumen alto de pacientes en Addis Abeba, Etiopía y las regiones de Amara, Oromía, SNNPR (Naciones, Nacionalidades y Pueblos del Sur) y Tigray. En 12 centros, se examinaron de manera independiente los archivos de los pacientes para evaluar la exactitud de los datos. Para calcular el número total de pacientes que necesitarían una TAR en los centros de salud si Etiopía adoptara las nuevas directrices de la OMS, se sumó el número de pacientes que necesitan una TAR en base a las directrices actuales al número de pacientes asintomáticos inscritos en la pre-TAR con un recuento de CD4+ superior a 200 pero igual o inferior a 350 células/mm³. RESULTADOS: La adopción de las nuevas directrices de la OMS aumentaría el número total de pacientes en TAR en los 19 centros de salud de Etiopía en torno a un 30%: de 3583 a 4640. CONCLUSIÓN: El cambio en el umbral de CD4+ para comenzar la TAR aumentará de manera considerable la demanda de TAR en Etiopía. Dado que con los sistemas actuales sólo el 60% de los pacientes en Etiopía que necesitan una TAR recibe la medicación, el aumento de los programas de TAR para satisfacer la demanda mayor de medicamentos no será posible a menos que también aumenten el apoyo y la financiación gubernamental al mismo tiempo.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess the implications of implementing the World Health Organization (WHO) 2010 guidelines for antiretroviral therapy (ART) initiation in adults and adolescents with human immunodeficiency virus (HIV) infection, which recommend initiating ART at a CD4+ T lymphocyte (CD4+) threshold of < 350 cells/mm³ instead of < 200 cells/mm³, which was the earlier threshold. METHODS: Between April and May 2010, CD4+ test results were collected for all HIV-infected patients recorded in the pre-ART and ART registers of 19 high-patient-load health centres in Addis Ababa, Ethiopia, and the regions of Amhara, Oromia, SNNPR (Southern Nations, Nationalities and People's Region) and Tigray. At 12 centres patient records were independently reviewed to assess data accuracy. To estimate the total number of patients who would need ART at health centres if Ethiopia adopted the new WHO guidelines, the number of patients needing ART based on current guidelines were added to the number of asymptomatic patients enrolled in pre-ART with a CD4+ count > 200 but < 350 cells/mm³ FINDINGS: Adoption of the new WHO guidelines would increase the total number of patients on ART in the 19 health centres in Ethiopia by about 30%: from 3583 to 4640. CONCLUSION: The shift in the CD4+ threshold for ART initiation will substantially increase the demand for ART in Ethiopia. Since under the current systems only 60% of Ethiopia's patients in need of ART are receiving the medications, scaling up ART programmes to accommodate the increased demand for drugs will not be possible unless government funding and support increase concurrently.

    Resumo em ch:

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    Resumo em Árabe:

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  • Factors affecting catastrophic health expenditure and impoverishment from medical expenses in China: policy implications of universal health insurance Research

    Li, Ye; Wu, Qunhong; Xu, Ling; Legge, David; Hao, Yanhua; Gao, Lijun; Ning, Ning; Wan, Gang

    Resumo em Russo:

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    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Évaluer dans quelle mesure le peuple chinois est protégé contre les dépenses catastrophiques et l'appauvrissement dû aux dépenses médicales, mais aussi étudier le système de santé et les facteurs structurels qui influencent le premier de ces résultats. MÉTHODES: Des données ont été obtenues de la quatrième enquête nationale sur les services de santé. Une analyse des dépenses de santé catastrophiques et de l'appauvrissement dû aux dépenses médicales a été réalisée sur un échantillon de 55 556 ménages présentant diverses caractéristiques et vivant dans des environnements ruraux et urbains de différentes régions du pays. La régression logistique a été utilisée pour identifier les déterminants des dépenses de santé catastrophiques. RÉSULTATS: Le taux des dépenses de santé catastrophiques s'élevait à 13,0 % et celui de l'appauvrissement à 7,5%. Les taux de dépenses de santé catastrophiques étaient supérieurs dans les familles dont certains membres étaient hospitalisés, souffraient de maladies chroniques ou étaient des personnes âgées, ainsi que dans les familles des régions rurales ou plus pauvres. Une combinaison de facteurs défavorables augmentait le risque de dépenses de santé catastrophiques. Les familles bénéficiant de régimes d'assurance de résident ou d'employé urbain présentaient des taux de dépenses de santé catastrophiques inférieurs aux familles bénéficiant du nouveau régime corporatif rural. Le besoin en soins de santé et leur utilisation, les données démographiques, le type d'assurance et le type de méthode de paiement des fournisseurs étaient les déterminants des dépenses de santé catastrophiques. CONCLUSION: Bien que la Chine ait considérablement développé la couverture de son assurance-maladie, la protection financière reste insuffisante. L'objectif des responsables politiques doit être de créer des programmes d'assurance améliorés en étendant les prestations sociales, en redessinant les arrangements du partage des coûts et les méthodes de paiements des fournisseurs, mais aussi en développant des stratégies de contrôle des dépenses plus efficaces.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar el grado de protección de los habitantes de China frente a los gastos familiares catastróficos y el empobrecimiento provocado por los gastos médicos y examinar el sistema sanitario y los factores estructurales que influyen en el primero de estos resultados. MÉTODOS: Los datos se obtuvieron de la 4ª Encuesta nacional sobre los servicios sanitarios. Se emprendió la tarea de analizar los gastos sanitarios catastróficos y el empobrecimiento provocado por los gastos médicos con una muestra de 55.556 hogares con características diferentes localizados tanto en entornos rurales como urbanos en distintas partes del país. Se empleó un modelo de regresión logística para identificar los determinantes del gasto sanitario catastrófico. RESULTADOS: La tasa del gasto sanitario catastrófico fue del 13.0% y la del empobrecimiento, del 7,5%. La tasa del gasto sanitario imprevisto fue superior en los hogares en los que alguno de los miembros estaba hospitalizado, era anciano o sufría una enfermedad crónica, así como en los hogares de zonas rurales o más pobres. Una combinación de factores adversos aumentó el riesgo de sufrir gastos sanitarios catastróficos. Las familias inscritas en los seguros urbanos para empleados o residentes presentaron una tasa menor de gastos sanitarios catastróficos que aquellas que estaban inscritas en el nuevo seguro corporativo rural. La necesidad y el uso de la atención sanitaria, la demografía, el tipo de prestaciones así como el método de pago al proveedor fueron los determinantes del gasto sanitario imprevisto. CONCLUSIÓN: Aunque China ha ampliado mucho la cobertura del seguro de salud, la protección financiera sigue siendo insuficiente. Las autoridades deberían centrarse en diseñar planes de seguros mejorados aumentando las prestaciones, rediseñando los acuerdos para la financiación de los gastos y los métodos de pago al proveedor y desarrollar estrategias más eficaces para el control de los gastos.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess the degree to which the Chinese people are protected from catastrophic household expenditure and impoverishment from medical expenses and to explore the health system and structural factors influencing the first of these outcomes. METHODS: Data were derived from the Fourth National Health Service Survey. An analysis of catastrophic health expenditure and impoverishment from medical expenses was undertaken with a sample of 55 556 households of different characteristics and located in rural and urban settings in different parts of the country. Logistic regression was used to identify the determinants of catastrophic health expenditure. FINDINGS: The rate of catastrophic health expenditure was 13.0%; that of impoverishment was 7.5%. Rates of catastrophic health expenditure were higher among households having members who were hospitalized, elderly, or chronically ill, as well as in households in rural or poorer regions. A combination of adverse factors increased the risk of catastrophic health expenditure. Families enrolled in the urban employee or resident insurance schemes had lower rates of catastrophic health expenditure than those enrolled in the new rural corporative scheme. The need for and use of health care, demographics, type of benefit package and type of provider payment method were the determinants of catastrophic health expenditure. CONCLUSION: Although China has greatly expanded health insurance coverage, financial protection remains insufficient. Policy-makers should focus on designing improved insurance plans by expanding the benefit package, redesigning cost sharing arrangements and provider payment methods and developing more effective expenditure control strategies.

    Resumo em ch:

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    Resumo em Árabe:

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