Resumo em Inglês:
Stavropol is one of several cities in the Russian Federation that is promoting healthy lifestyles to tackle the epidemic of chronic diseases. Victoria Ivleva reports.Resumo em Inglês:
The world is more aware of the problem of obstetric fistula thanks to the work of Catherine Hamlin. The Australian gynaecologist and obstetrician talks to Fiona Fleck.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Réaliser une étude systématique de la littérature consacrée à la prévalence de la déficience cognitive et de la folie en Afrique subsaharienne. Méthodes Cinq bases de données ont été fouillées afin de trouver des résumés pertinents et d'identifier les journaux éligibles pour une étude en texte intégral. Une étude était inclue si deux auteurs reconnaissaient qu'elle était de type cohorte, cas-témoins ou transversale et relevait des données de l'l'échelle de la population; qu'elle était limitée aux adultes africains noirs âgés de plus de 50 ans ou décrits comme «âgés» ou «vieux»; qu'elle relevait des données concernant des individus résidant en Afrique subsaharienne; et qu'elle relevait au moins une mesure de déficience cognitive ou de résultats cliniques liés au déclin cognitif. Les références de journaux inclus dans notre étude ont été fouillées pour identifier des publications supplémentaires potentielles. Les désaccords quant à une inclusion étaient réglés au cours de discussions impliquant tous les auteurs. Des données étaient extraites indépendamment par deux auteurs, au moyen d'un formulaire développé par les auteurs et testées sur un échantillon de journaux. Résultats Au total, 2320 journaux uniques ont été trouvés; le texte intégral de 87 d'entre eux a été analysé. Dix-neuf journaux présentant 11 études transversales ont été inclus; tous avaient été publiés entre 1995 et 2011. Les études avaient eu lieu au Bénin, au Botswana, en République centrafricaine, au Congo et au Nigéria et impliquaient environ 10 500 participants. La prévalence de la démence allait de 0% au Nigéria à 10,1% (intervalle de confiance 95%, IC: 8,6-11,8) également au Nigéria. La prévalence de la déficience cognitive allait de 6,3% au Nigéria à 25% (IC 95%: 21,2-29,0) en République centrafricaine. Conclusion Les prévalences de démence et de déficience cognitive en Afrique subsaharienne variaient sensiblement et peu d'études publiées ont été révélées par la recherche de littérature.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Realizar una revisión sistemática de la literatura sobre la prevalencia del deterioro cognitivo y la demencia en el África subsahariana. Métodos Se hicieron búsquedas en cinco bases de datos electrónicas a fin de hallar resúmenes pertinentes e identificar los documentos que cumplieran con los requisitos para una revisión del texto completo. Los estudios se incluyeron cuando dos autores coincidían en que el diseño era de cohorte, de casos y controles o transversal y si presentaban los datos a nivel de población, si se limitaban a los adultos africanos negros mayores de 50 años o descritos como "personas mayores" o "ancianas", si incluían datos correspondientes a las personas que residen en el África subsahariana y si presentaban, al menos, un grado de deterioro cognitivo o resultados clínicos relevantes sobre el deterioro cognitivo. Se realizaron búsquedas de las referencias de los artículos incluidos en nuestro estudio a fin de identificar más publicaciones que cumplieran los requisitos, se arbitraron los desacuerdos sobre la inclusión en las discusiones que involucraban a todos los autores y se recogieron los datos de forma independiente por dos autores mediante un formulario desarrollado por los autores y probado en una muestra de trabajos. Resultados Se halló un total de 2320 documentos únicos y se revisó el texto completo de 87 de ellos. Se seleccionaron diecinueve documentos que incluían 11 estudios transversales, todos ellos publicados entre 1995 y 2011. Los estudios tuvieron lugar en Benin, Botswana, la República Centroafricana, el Congo y Nigeria, en los que se registraron aproximadamente 10 500 participantes. La prevalencia de la demencia varió del 0 % en Nigeria, al 10,1 % (intervalo de confianza del 95 %, IC: 8,06-11,08), también en Nigeria. La prevalencia del deterioro cognitivo varió del 6,3 % en Nigeria, al 25 % (IC del 95 %: 21,2 a 29,0) en la República Centroafricana. Conclusión La prevalencia de la demencia y el deterioro cognitivo en el África subsahariana variaron mucho, y fueron pocos los estudios publicados que se revelaron mediante la búsqueda bibliográfica.Resumo em Inglês:
Objective To perform a systematic review of the literature on the prevalence of cognitive impairment and dementia in sub-Saharan Africa. Methods Five electronic databases were searched for relevant abstracts and to identify papers eligible for full-text review. A study was included if two authors agreed that it had a cohort, case–control or cross-sectional design and reported population-level data; was limited to black African adults older than 50 years or described as “elderly” or “old”; reported data for individuals residing in sub-Saharan Africa; and reported at least one measure of cognitive impairment or clinical outcomes relevant to cognitive decline. References of papers included in our study were searched to identify additional candidate publications. Disagreements about inclusion were adjudicated during discussions involving all authors. Data were extracted independently by two authors, using a form developed by the authors and tested on a sample of papers. Findings A total of 2320 unique papers was found; the full text of 87 was reviewed. Nineteen papers featuring 11 cross-sectional studies were included; all were published during 1995–2011. Studies occurred in Benin, Botswana, the Central African Republic, the Congo and Nigeria and enrolled approximately 10 500 participants. The prevalence of dementia ranged from 0%, in Nigeria, to 10.1% (95% confidence interval, CI: 8.6–11.8), also in Nigeria. The prevalence of cognitive impairment ranged from 6.3%, in Nigeria, to 25% (95% CI: 21.2–29.0), in the Central African Republic. Conclusion Prevalences of dementia and cognitive impairment in sub-Saharan Africa varied widely, with few published studies revealed by the literature search.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Cet article donne un aperçu complet des systèmes de paiement des hôpitaux basés sur les groupes homogènes de diagnostic (DRG) dans les pays à revenu faible et moyen. Il examine également les questions de conception et de mise en œuvre, ainsi que les défis associés auxquels les pays font face. Méthodes Une recherche documentaire sur les articles portant sur les systèmes de paiement basés sur les groupes homogènes de diagnostic dans les pays à revenu faible et moyen a été menée en anglais, français et espagnol dans Pubmed, la Bibliothèque régionale de l'Organisation panaméricaine de la Santé et Google. Résultats Douze pays à revenu faible et moyen ont des systèmes de paiement basés sur les groupes homogènes de diagnostic et dix-sept autres pays sont en phase pilote ou exploratoire. Les pays ont fait un choix dans une vaste gamme de modèles de groupes homogènes de diagnostic importés ou développés par eux-mêmes, et la plupart des pays ont adapté ces modèles à leurs contextes particuliers. Tous les pays ont défini un plafond de dépenses. En général, les systèmes ont été testés en phase pilote avant d'être mis en œuvre. La nécessité de répondre à certaines exigences en termes de normalisation des codes, de disponibilité des données et de technologie des informations a rendu la mise en œuvre difficile. Les prestataires de service du secteur privé n'ont pas été pleinement intégrés mais la majorité des pays ont réussi à dissocier le financement des hôpitaux de la budgétisation des finances publiques. Conclusion Bien qu'il soit nécessaire d'obtenir davantage de preuves sur l'impact des systèmes de paiement basés sur les groupes homogènes de diagnostic, nos résultats suggèrent que (i) la plus grande partie du financement des soins de santé devrait provenir du public plutôt que du privé; (ii) il est recommandé de tester d'abord les systèmes en phase pilote et d'établir des plafonds de dépenses; (iii) les pays qui importent un modèle existant d'un système basé sur les groupes homogènes de diagnostic devraient être conscients de la nécessité de les adapter à leurs spécificités; et (iv) les pays devraient promouvoir la coopération de prestataires de service pour la production appropriée des données et la gestion des réclamations.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Este documento ofrece una visión global de los sistemas de pago hospitalario basados en grupos relacionados por el diagnóstico (GRD) de países de ingresos bajos y medianos. Además, se analizan los problemas de diseño y ejecución, así como los desafíos relacionados a los que se enfrentan los países. Métodos Se llevó a cabo una investigación bibliográfica en inglés, francés y español de trabajos sobre los sistemas de pago basados en GRD de países de ingresos bajos y medianos a través de Pubmed, la Biblioteca Regional de Medicina de la Organización Panamericana de la salud y Google. Resultados Doce países de ingresos bajos y medianos tienen sistemas de pago basados en GRD y otros 17 se encuentran en fase experimental o exploratoria. Los países han realizado una selección de entre un amplio abanico de modelos de GRD importados y de desarrollo propio y la mayoría han adaptado estos modelos a sus contextos locales. Todos los países han establecido límites de gasto. En general, se pusieron a prueba los sistemas antes de su aplicación. La aplicación se ve dificultada por la necesidad de cumplir con ciertos requisitos en términos de la normalización de la codificación, la disponibilidad, la información y la tecnología de la información. Los proveedores del sector privado no se han integrado plenamente, pero la mayoría de los países han logrado desvincular el financiamiento hospitalario del presupuesto de las finanzas públicas. Conclusión Aunque se necesitan más pruebas sobre el impacto de los sistemas de pago basados en GRD, nuestros resultados sugieren que (i) la mayor parte del financiamiento sanitario debe ser público y no privado, (ii) se recomienda poner a prueba los sistemas previamente y establecer límites de gasto, (iii) los países que importan una variante actual de un sistema basado en GRD deberían tener en cuenta la necesidad de adaptación, y (iv) los países deben promover la cooperación de los proveedores a fin de que la generación de datos y la gestión de siniestros sean adecuadas.Resumo em Inglês:
Objective This paper provides a comprehensive overview of hospital payment systems based on diagnosis-related groups (DRGs) in low- and middle-income countries. It also explores design and implementation issues and the related challenges countries face. Methods A literature research for papers on DRG-based payment systems in low- and middle-income countries was conducted in English, French and Spanish through Pubmed, the Pan American Health Organization's Regional Library of Medicine and Google. Findings Twelve low- and middle-income countries have DRG-based payment systems and another 17 are in the piloting or exploratory stage. Countries have chosen from a wide range of imported and self-developed DRG models and most have adapted such models to their specific contexts. All countries have set expenditure ceilings. In general, systems were piloted before being implemented. The need to meet certain requirements in terms of coding standardization, data availability and information technology made implementation difficult. Private sector providers have not been fully integrated, but most countries have managed to delink hospital financing from public finance budgeting. Conclusion Although more evidence on the impact of DRG-based payment systems is needed, our findings suggest that (i) the greater portion of health-care financing should be public rather than private; (ii) it is advisable to pilot systems first and to establish expenditure ceilings; (iii) countries that import an existing variant of a DRG-based system should be mindful of the need for adaptation; and (iv) countries should promote the cooperation of providers for appropriate data generation and claims management.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Estimer les symptômes de stress post-traumatiques (PTSD) chez les blessés et non blessés par des mines ou des munitions non explosées en milieu rural en République Démocratique Populaire Lao et déterminer si la perception de l'aide sociale a été associée avec la sévérité des symptômes du stress post-traumatique. Méthodes Une enquête communautaire a été menée auprès de 190 personnes blessées par des mines ou des munitions non explosées et de 380 individus non blessés appariés selon l'âge, le sexe et le quartier dans le district de Sepone de la Province de Savannakhet, la partie de la République Démocratique Populaire Lao la plus lourdement bombardée pendant la Guerre du Viet Nam. En utilisant le Questionnaire de Harvard relatif aux Traumatismes vécus et l'Enquête sur l'Aide Sociale de l'Étude des Conséquences Médicales, des travailleurs de la santé qualifiés ont mené des entretiens en face-à-face pour évaluer les symptômes du stress post-traumatique et le niveau de l'aide sociale reçue. Une régression linéaire multiple a été effectuée afin d'étudier l'association entre l'aide sociale et d'autres facteurs et le stress post-traumatique. Résultats La prévalence du stress post-traumatique est plus élevée chez les blessés (10%) que chez les non-blessés (4%), mais le niveau de l'aide sociale reçue n'était pas significativement différente entre les deux groupes. Un niveau plus élevé d'aide sociale reçue a été associé à des symptômes plus légers de stress post-traumatique. Les femmes, les personnes âgées et les personnes ayant bénéficié d'un enseignement scolaire sont plus souvent et plus durement touchées par le stress post-traumatique. Conclusion La perception d'une aide sociale élevée pourrait aider à soulager les symptômes de stress post-traumatique chez les personnes blessées par des mines ou des munitions non explosées dans les régions rurales de la République Démocratique Populaire Lao. Les interventions psychosociales devraient être incorporées à l'assistance aux blessés car ils ont des symptômes plus graves et plus durables de stress post-traumatique que les non-blessés.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Calcular los síntomas del trastorno de estrés postraumático en personas heridas y no heridas por minas antipersona o artefactos sin detonar (UXO) en las zonas rurales de la República Democrática Popular Lao y determinar si la percepción del apoyo social estuvo asociada con la gravedad de los síntomas del TEPT. Métodos Se llevó a cabo una encuesta comunitaria entre 190 heridos por minas antipersona o UXO y 380 personas no heridas emparejadas por edad, sexo y vecindario del distrito de Sepone en la provincia de Savannakhet, la zona de la República Democrática Popular Lao que sufrió el bombardeo más intenso durante la Guerra de Viet Nam. Por medio del cuestionario para evaluar el estrés traumático de Harvard y la encuesta Medical Outcomes Study Social Support Survey, un equipo de personal sanitario formado realizó entrevistas presenciales para evaluar los síntomas del TEPT y el nivel de apoyo social percibido. Se realizó una regresión lineal múltiple para examinar la asociación entre el apoyo social y otros factores con el TEPT. Resultados La prevalencia del TEPT fue más alta entre los heridos (10 %) que entre las personas que no sufrieron heridas (4 %), sin embargo, el nivel de apoyo social percibido no varió significativamente entre ambos grupos. Un mayor apoyo social percibido estuvo asociado con unos síntomas menos graves del TEPT. Las mujeres y las personas mayores o con una buena educación se vieron afectadas con mayor frecuencia y gravedad por el TEPT. Conclusión La percepción de un apoyo social fuerte podría ayudar a aliviar los síntomas del TEPT entre los heridos por minas antipersona o UXO en las zonas rurales de la República Democrática Popular Lao. Deberían integrarse intervenciones psicosociales como asistencia a los heridos, ya que sus síntomas de TEPT se manifiestan con más gravedad y duración que los de las personas que no han sufrido heridas.Resumo em Inglês:
Objective To estimate post-traumatic stress disorder (PTSD) symptoms in those injured and not injured by landmines or unexploded ordnance (UXO) in rural Lao People's Democratic Republic and to determine whether the perception of social support was associated with PTSD symptom severity. Methods A community survey was conducted among 190 people injured by landmines or UXO and 380 age-, sex- and neighbourhood-matched non-injured individuals in the Sepone district of Savannakhet Province, the part of the Lao People's Democratic Republic most heavily bombed during the Viet Nam War. Using the Harvard Trauma Questionnaire and the Medical Outcomes Study Social Support Survey, trained health-care workers conducted face-to-face interviews to assess PTSD symptoms and level of perceived social support. Multiple linear regression was performed to explore the association between social support and other factors and PTSD. Findings The prevalence of PTSD was higher among the injured (10%) than among the non-injured (4%), but the level of perceived social support was not significantly different between the two groups. A higher level of perceived social support was associated with milder symptoms of PTSD. Women, older people and those with a formal education were more often and more severely affected by PTSD. Conclusion The perception of strong social support might help to alleviate the symptoms of PTSD among people injured by landmines or UXO in rural parts of the Lao People's Democratic Republic. Psychosocial interventions should be incorporated in assistance for the injured because they have more severe and longer-lasting symptoms of PTSD than the non-injured.Resumo em Francês:
Résumé Problème Le 11 mars 2011, le tsunami catastrophique provoqué par le grand séisme dans l'est du Japon dévastait la ville de Rikuzen-Takata en la laissant sans infrastructure de santé efficaces et avec un risque accru de flambées d'épidémies. Approche Le 2 mai 2011 s'est constituée une équipe de surveillance des maladies, formée de volontaires cliniciens ou membres du gouvernement municipal de Rikuzen-Takata. L'objectif principal de l'équipe était la détection des signes précoces d'épidémies Environnement local Sept semaines après le tsunami, 16 équipes de soutien fournissaient des soins de santé primaires à Rikuzen-Takata mais la hiérarchie entre elles restait faible et 70% des citoyens survivants se trouvaient encore dans des centres d'évacuation. Les outils de communication disponibles étaient généralement inappropriés. Changements significatifs L'équipe de surveillance a collecté des données dans les cliniques de la ville en utilisant un simple formulaire de rapport pouvant être complété sans trop ajouter au travail des cliniciens. Les résultats étaient communiqués quotidiennement aux cliniques. L'équipe a également collaboré avec des infirmiers de la santé publique pour rétablir les réseaux de communication. Les infirmiers de la santé publique alertaient les centres d'évacuation des épidémies de maladies transmissibles. Leçons tirées Les systèmes de santé modernes sont fortement vulnérables à la perte des outils technologiques de pointe. L'initiation – ou le rétablissement – de la surveillance des maladies à la suite d'une catastrophe naturelle peut donc se révéler difficile même dans un pays développé. La surveillance devrait pouvoir être initiée rapidement après la catastrophe en (i) développant un système de surveillance à la mesure des installations locales, en (ii) établissant un réseau d'équipes de soutien et en (iii) intégrant les ressources qui demeurent – ou peuvent rapidement être – disponibles localement.Resumo em Espanhol:
Resumen Situación El 11 de marzo de 2011, el Gran Terremoto del Este de Japón ocasionó un tsunami catastrófico que devastó la ciudad de Rikuzen-Takata y la dejó sin una infraestructura sanitaria eficaz y con un riesgo mayor de sufrir brotes de enfermedades. Enfoque El 2 de mayo de 2011, se formó un equipo de control de enfermedades constituido por voluntarios médicos o miembros del gobierno municipal de Rikuzen-Takata. El objetivo principal del equipo era detectar los primeros signos de brotes de enfermedades. Marco regional Siete semanas tras el tsunami, había 16 equipos de asistencia encargados de proporcionar atención primaria sanitaria en Rikuzen-Takata, pero con una cadena de mando débil entre ellos, por lo que el 70% de los ciudadanos que sobrevivieron permanecieron en centros de evacuación. Las herramientas de comunicación disponibles fueron, en general, insuficientes. Cambios importantes El equipo de control recibió los datos de las clínicas de la ciudad a través de un formulario de informe sencillo que se podía completar sin que la carga de trabajo de los médicos aumentara demasiado. Se informaba diariamente a las clínicas sobre el resumen de los resultados. Asimismo, el equipo colaboró con los enfermeros de salud pública en la reconstrucción de las redes de comunicación. Los enfermeros de salud pública alertaron a los centros de evacuación acerca de las epidemias de enfermedades transmisibles. Lecciones aprendidas Los sistemas de salud modernos son muy vulnerables a la pérdida de herramientas tecnológicas avanzadas. Por tanto, la iniciación (o el restablecimiento) del control de enfermedades tras un desastre natural puede resultar un reto, incluso en países desarrollados. El control debe iniciarse inmediatamente tras un desastre mediante (i) el desarrollo de un sistema de control adaptado al contexto local, (ii) el establecimiento de una red de equipo de asistencia, y (iii) la integración de los recursos restantes o que vayan a estar disponibles pronto a nivel local.Resumo em Inglês:
Problem On 11 March 2011, the Great East Japan Earthquake produced a catastrophic tsunami that devastated the city of Rikuzen-Takata and left it without an effective health infrastructure and at increased risk of outbreaks of disease. Approach On 2 May 2011, a disease-surveillance team was formed of volunteers who were clinicians or members of Rikuzen-Takata's municipal government. The team's main goal was to detect the early signs of disease outbreaks. Local setting Seven weeks after the tsunami, 16 support teams were providing primary health care in Rikuzen-Takata but the chain of command between them was poor and 70% of the city's surviving citizens remained in evacuation centres. The communication tools that were available were generally inadequate. Relevant changes The surveillance team collected data from the city's clinics by using a simple reporting form that could be completed without adding greatly to the workloads of clinicians. The summary findings were reported daily to clinics. The team also collaborated with public health nurses in rebuilding communication networks. Public health nurses alerted evacuation centres to epidemics of communicable disease. Lessons learnt Modern health-care systems are highly vulnerable to the loss of advanced technological tools. The initiation – or re-establishment – of disease surveillance following a natural disaster can therefore prove challenging even in a developed country. Surveillance should be promptly initiated after a disaster by (i) developing a surveillance system that is tailored to the local setting, (ii) establishing a support team network, and (iii) integrating the resources that remain – or soon become – locally available.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Évaluer la comparabilité des paiements directs (PD) et estimer les dépenses de santé catastrophiques (DSC) à partir de différentes enquêtes menées auprès des ménages en Inde. Méthodes Les données recueillies dans toutes les grandes enquêtes nationales ou multi-régionales depuis 2000 et portant sur les DSC, les paiements directs pour hospitalisation interne et externe et autres dépenses, ont été comparées. Parmi ces études, figurent notamment deux enquêtes portant sur les dépenses des consommateurs (l'enquête nationale pour 2004–2005 [NSS 2004–05] et pour 2009–2010 [NSS 2009–10]), et trois enquêtes axées sur la santé (l'enquête sur la santé dans le monde 2003 [WHS 2003]; l'enquête nationale sur la morbidité, les soins de santé et la condition des personnes âgées 2004 [NSS 2004]; et l'étude sur le vieillissement et la santé des adultes 2007–2008 [SAGE 2007–08]). Toutes ces enquêtes, à l'exception de la NSS 2004–05 et de la NSS 2009–10, ont utilisé des questionnaires différents. Résultats Dans les enquêtes WHS 2003 et SAGE 2007–08, les DSC étaient deux fois plus élevées que celles relevées dans les enquêtes NSS 2004–05, NSS 2009–10 et NSS 2004. Les paiements directs pour une hospitalisation interne étaient deux fois plus élevés dans les enquêtes WHS 2003 et SAGE 2007–08, car, dans ces enquêtes, une proportion beaucoup plus élevée de ménages ont déclaré ces paiements. Cependant, d'autres dépenses estimées étaient deux fois moins élevées dans l'enquête WHS 2003 que dans les autres enquêtes, car un très petit nombre de questions ont été utilisées pour rendre compte de ces dépenses. Conclusion Les grandes variations observées dans les DSC et les estimations de paiements directs résultent de différences méthodologiques. Les méthodes d'enquête utilisées pour évaluer les DSC en Inde doivent être standardisées et validées pour évaluer les DCS avec précision et mesurer l'impact des politiques récentes pour les réduire.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Evaluar la comparabilidad de las estimaciones del pago por el propio paciente (OOP) y los gastos sanitarios catastróficos (CHE) a partir de distintas encuestas a hogares de la India. Métodos Se compararon los datos sobre los gastos sanitarios catastróficos (CHE), los pagos por el propio paciente (OOP) por el cuidado sanitario ambulatorio y hospitalario, así como otros gastos de las principales encuestas nacionales o plurinacionales desde 2000. Estos incluyen dos encuestas sobre los gastos de consumo (la Encuesta Nacional por Muestreo de 2004-05 [ENM 2004-05] y 2009-10 [ENM 2009-10]) y tres encuestas sobre salud (la Encuesta Mundial de Salud de 2003 [EMS 2003], la Encuesta Nacional por Muestreo de morbilidad, cuidado sanitario y de las condiciones de la tercera edad de 2004 [ENM 2004], y el Estudio sobre el Envejecimiento mundial de la población y la salud de los adultos de 2007-08 [SAGE 2007-08]). Se emplearon cuestionarios diferentes en cada una de ellas, excepto para la ENM 2004–05 y la ENM 2009–10. Resultados Las estimaciones de los gastos sanitarios catastróficos (CHE) de la EMS 2003 y del Estudio sobre el Envejecimiento mundial de la población y la salud de los adultos (SAGE) de 2007-08 fueron dos veces más altas que las de la ENM 2004-05, ENM 2009-10 y ENM 2004. Las estimaciones del pago por el propio paciente (OOP) fueron dos veces más altas en la EMS 2003 y el SAGE 2007-08 debido a que en estos estudios una proporción mucho mayor de los hogares informó acerca de dichos pagos. Sin embargo, otros gastos estimados fueron la mitad en la EMS 2003 y en las otras encuestas porque se utilizó un número muy pequeño de elementos para captar dichos gastos. Conclusión Las grandes variaciones observadas en las estimaciones de los gastos sanitarios catastróficos (CHE) y los pagos por el propio paciente (OOP) se debieron a diferencias metodológicas. Es necesario estandarizar y validar los métodos de encuesta utilizados para evaluar los gastos sanitarios catastróficos (CHE) en la India a fin de realizar un seguimiento preciso sobre dichos gastos y evaluar el impacto de las políticas recientes para reducirlos.Resumo em Inglês:
Objective To assess the comparability of out-of-pocket (OOP) payment and catastrophic health expenditure (CHE) estimates from different household surveys in India. Methods Data on CHE, outpatient and inpatient OOP payments and other expenditure from all major national or multi-state surveys since 2000 were compared. These included two consumer expenditure surveys (the National Sample Survey for 2004–05 [NSS 2004–05] and 2009–10 [NSS 2009–10]) and three health-focused surveys (the World Health Survey 2003 [WHS 2003]; the National Sample Survey on Morbidity, Health Care and the Condition of the Aged 2004 [NSS 2004]; and the Study on Global Ageing and Adult Health 2007–08 [SAGE 2007–08]). All but the NSS 2004–05 and the NSS 2009–10 used different questionnaires. Findings CHE estimates from WHS 2003 and SAGE 2007–08 were twice as high as those from NSS 2004–05, NSS 2009–10 and NSS 2004. Inpatient OOP payment estimates were twice as high in WHS 2003 and SAGE 2007–08 because in these surveys a much higher proportion of households reported such payments. However, estimates of expenditures on other items were half as high in WHS 2003 as in the other surveys because a very small number of items was used to capture these expenditures. Conclusion The wide variations observed in CHE and OOP payment estimates resulted from methodological differences. Survey methods used to assess CHE in India need to be standardized and validated to accurately track CHE and assess the impact of recent policies to reduce it.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Évaluer et comparer le rapport coût-efficacité de deux stratégies pour les soins néonataux à Sylhet, Bangladesh. Méthodes Dans un essai contrôlé randomisé par grappes, deux stratégies pour les soins néonataux – connues sous le nom de soins à domicile et de soins communautaires – ont été comparées aux services existants. Pour chaque branche de l'étude, les coûts économiques ont été estimés d'un point de vue sociétal, et comprennent les coûts du programme, les coûts des fournisseurs et les paiements directs des ménages pour les soins. La mortalité néonatale dans chaque branche de l'étude a été déterminée au moyen d'enquêtes sur les ménages. Le rapport coût-efficacité de chaque stratégie – par rapport au niveau des services de soins de santé maternelle et néonatale pré-existants – a ensuite été estimé. Les niveaux d'incertitude dans nos estimations ont été quantifiés par analyse de sensibilité probabiliste. Résultats Les coûts marginaux de programme de mise en place de l'ensemble des soins à domicile s'élevaient à 2939 dollars US (intervalle de confiance à 95%, IC: 1833–7616) par décès néonatal évité et à 103,49 $ (IC à 95%: 64,72–265,93) par année de vie ajustée en fonction de l'incapacité. Le total des coûts sociétaux correspondants étaient de 2971 $ (IC à 95%: 1844–7628) et de 104,62 $ (IC à 95%: 65,15–266,60), respectivement. Le forfait de soins à domicile est rentable – à 95% – si les années de vie en bonne santé sont évaluées à plus de 214 $ par année de vie ajustée en fonction de l'incapacité. En revanche, la mise en œuvre de la stratégie communautaire de santé n'a conduit à aucune réduction de la mortalité néonatale et ne semble pas être rentable. Conclusion Le forfait de soins à domicile est une stratégie d'intervention extrêmement rentable dont la mise en place doit être envisagée à l'échelle du Bangladesh et partout ailleurs dans des contextes similaires.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Evaluar y comparar la rentabilidad de dos estrategias de atención neonatal en la división Sylhet, Bangladesh. Métodos Se compararon dos estrategias de atención neonatal, conocidas como atención domiciliaria y atención comunitaria, con los servicios existentes en un ensayo controlado aleatorio por grupos. Para cada grupo de estudio se estimaron los costes económicos a partir de una perspectiva social, que incluía los costes del programa, los costes de los proveedores y los pagos familiares para recibir atención sanitaria. La mortalidad neonatal en cada grupo de estudio se determinó mediante encuestas familiares. Posteriormente, se estimó la rentabilidad creciente de cada estrategia en comparación con la de los niveles preexistentes de atención materna y neonatal. Los niveles de incertidumbre de nuestras estimaciones se cuantificaron mediante un análisis de sensibilidad probabilístico. Resultados Los costes crecientes de los programas para la aplicación de los paquetes de atención domiciliaria fueron de 2939 (intervalo de confianza del 95%, IC: 1833-7616) dólares de los Estados Unidos de América (US$) por muerte neonatal evitada y US$ 103,49 (IC del 95%: 64,72–265,93) por año de vida ajustado por discapacidad (AVAD) evitado. Los correspondientes costes sociales totales fueron de US$ 2971 (IC del 95%: 1844–7628) y US$ 104,62 (IC del 95%: 65,15–266,60), respectivamente. El paquete de atención domiciliaria fue rentable (con 95% de certeza) cuando los años de vida saludable se evaluaban por encima de US$ 214 por AVAD evitado. Por el contrario, la aplicación de la estrategia de atención comunitaria no condujo a una reducción de la mortalidad neonatal y no parece ser rentable. Conclusión El paquete de atención domiciliaria representa una estrategia de intervención con una rentabilidad alta cuya replicación y la ampliación debería considerarse tanto en Bangladesh como en otros entornos similares.Resumo em Inglês:
Objective To evaluate and compare the cost-effectiveness of two strategies for neonatal care in Sylhet division, Bangladesh. Methods In a cluster-randomized controlled trial, two strategies for neonatal care – known as home care and community care – were compared with existing services. For each study arm, economic costs were estimated from a societal perspective, inclusive of programme costs, provider costs and household out-of-pocket payments on care-seeking. Neonatal mortality in each study arm was determined through household surveys. The incremental cost-effectiveness of each strategy – compared with that of the pre-existing levels of maternal and neonatal care – was then estimated. The levels of uncertainty in our estimates were quantified through probabilistic sensitivity analysis. Findings The incremental programme costs of implementing the home-care package were 2939 (95% confidence interval, CI: 1833–7616) United States dollars (US$) per neonatal death averted and US$ 103.49 (95% CI: 64.72–265.93) per disability-adjusted life year (DALY) averted. The corresponding total societal costs were US$ 2971 (95% CI: 1844–7628) and US$ 104.62 (95% CI: 65.15–266.60), respectively. The home-care package was cost-effective – with 95% certainty – if healthy life years were valued above US$ 214 per DALY averted. In contrast, implementation of the community-care strategy led to no reduction in neonatal mortality and did not appear to be cost-effective. Conclusion The home-care package represents a highly cost-effective intervention strategy that should be considered for replication and scale-up in Bangladesh and similar settings elsewhere.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Estimer la contribution directe du tabagisme à la mortalité par cause au Bangladesh. Méthodes Une étude cas-témoins a été menée avec les données de surveillance de Matlab, un sous-district rural. Les cas (n = 2213) et les contrôles (n = 261) étaient des hommes âgés de 25 à 69 ans décédés entre 2003 et 2010 des suites ou non du tabagisme, respectivement. Les rapports des cotes (RC) par cause ont été calculés pour les « fumeurs depuis toujours » par rapport aux « non-fumeurs », avec un ajustement pour l'éducation, la consommation de tabac à mâcher et l'âge. On a également calculé les décès attribuables au tabagisme parmi les cas, les fractions attribuables à la population nationale et la probabilité de survie de 25 à 69 ans chez les fumeurs depuis toujours et chez les non-fumeurs. Résultats La fraction des fumeurs depuis toujours était d'environ 84% chez les cas et de 73% chez les contrôles (RC: 1,7; intervalle de confiance de 99%, IC: 1,1–2,5). Les rapports de cotes étaient les plus élevés pour les cancers et plus bas pour les maladies respiratoires, vasculaires et autres. Une relation dose-réponse a été notée entre l'âge de l'initiation au tabagisme et le nombre de cigarettes ou de « bidi s» fumées chaque jour et le risque de mortalité. Chez les hommes du Bangladesh de 25 ans, 32% des fumeurs depuis toujours mourront avant l'âge de 70 ans, par rapport à 19% pour les non-fumeurs. En 2010, environ 25% de tous les décès observés chez les hommes du Bangladesh âgés de 25 à 69 ans (c'est-à-dire 42 000 décès) étaient attribuables au tabagisme. Conclusion Le tabagisme est à l'origine de 25% de tous les décès chez les hommes du Bangladesh âgés de 25 à 69 ans, et d'une perte moyenne de 7 années de vie pour les fumeurs. Sans une augmentation importante des taux d'abandon du tabac, qui sont faibles chez les hommes du Bangladesh, les décès attribuables au tabagisme augmenteront probablement dans ce pays.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Estimar directamente la medida en la que el tabaquismo contribuye a la mortalidad por causa específica en Bangladesh. Métodos Se realizó un estudio de casos y controles con datos de vigilancia de Matlab, un subdistrito rural. Los casos (n = 2213) y los controles (n = 261) se trataron de hombres de edades entre 25 y 69 años que habían fallecido entre 2003 y 2010 por causas relacionadas y no relacionadas con el tabaquismo, respectivamente. Las razones de posibilidades por causa específica se calcularon para los «fumadores de siempre» frente a los «nunca fumadores», ajustando la educación, el consumo de tabaco de mascar y la edad. También se calcularon las muertes atribuibles al tabaquismo entre los casos, las fracciones nacionales atribuibles y la probabilidad acumulada de sobrevivir de los 25 a los 69 años de edad entre los fumadores de siempre y los nunca fumadores. Resultados La fracción de fumadores de siempre fue de aproximadamente el 84% entre los casos y el 73% entre los controles (razón de posibilidades: 1,7; intervalo de confianza 99%: 1,1–2,5). Las razones de posibilidades fueron las mayores en casos de cánceres y menores en casos de enfermedades vasculares, respiratorias y de otros tipos. Se señaló una relación dosis-respuesta entre la edad de la iniciación en el tabaquismo y el número diario de cigarrillos o bidis fumados y el riesgo de muerte. Entre los hombres de Bangladesh de 25 años, el 32% de los fumadores de siempre fallecerán antes de alcanzar los 70 años, comparado con el 19% de los nunca fumadores. En 2010, aproximadamente el 25% de las muertes observadas en los hombres de Bangladesh de entre 25 y 69 años (42 000 muertes) fueron atribuibles al tabaquismo. Conclusión El tabaquismo causa aproximadamente el 25% de todas las muertes en los hombres de Bangladesh de entre 25 y 69 años y una pérdida media de siete años de vida en cada fumador. Sin un aumento significativo en las tasas de abandono del tabaquismo, que son bajas entre los hombres de Bangladesh, es probable que aumenten las muertes atribuibles al tabaquismo en Bangladesh.Resumo em Inglês:
Objective To directly estimate how much smoking contributes to cause-specific mortality in Bangladesh. Methods A case–control study was conducted with surveillance data from Matlab, a rural subdistrict. Cases (n = 2213) and controls (n = 261) were men aged 25 to 69 years who had died between 2003 and 2010 from smoking-related and non-smoking-related causes, respectively. Cause-specific odds ratios (ORs) were calculated for “ever-smokers” versus “never-smokers”, with adjustment for education, tobacco chewing status and age. Smoking-attributable deaths among cases, national attributable fractions and cumulative probability of surviving from 25 to 69 years of age among ever-smokers and never-smokers were also calculated. Findings The fraction of ever-smokers was about 84% among cases and 73% among controls (OR: 1.7; 99% confidence interval, CI: 1.1–2.5). ORs were highest for cancers and lower for respiratory, vascular and other diseases. A dose–response relationship was noted between age at smoking initiation and daily number of cigarettes or bidis smoked and the risk of death. Among 25-year-old Bangladeshi men, 32% of ever-smokers will die before reaching 70 years of age, compared with 19% of never-smokers. In 2010, about 25% of all deaths observed in Bangladeshi men aged 25 to 69 years (i.e. 42 000 deaths) were attributable to smoking. Conclusion Smoking causes about 25% of all deaths in Bangladeshi men aged 25 to 69 years and an average loss of seven years of life per smoker. Without a substantial increase in smoking cessation rates, which are low among Bangladeshi men, smoking-attributable deaths in Bangladesh are likely to increase.