Resumo em Inglês:
More and more children are becoming overweight across WHO's European Region. Gary Humphreys and Catherine Fiankan-Bokonga report on the multisectoral approach France is taking to reverse the epidemic.Resumo em Inglês:
More and more people are becoming overweight and obese all over the world. Philip James tells Fiona Fleck how the epidemic started and what should be done to reverse it.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Classer les polluants dans deux systèmes nigérians d'approvisionnement en eau en fonction de leur effet sur la santé humaine, en utilisant une approche fondée sur le risque. Méthodes Dans la zone d'étude, les polluants dangereux dans l'eau potable ont été identifiés grâce à une recherche documentaire, et certains polluants ont été suivis d'avril 2010 à décembre 2011 dans des bassins versants, des installations de traitement et au robinet des consommateurs. La charge de morbidité due à chaque polluant a été estimée en années de vie ajustées sur l'incapacité (DALY) à l'aide des données relatives à la concentration des polluants, l'exposition aux polluants, la gravité de leurs effets sur la santé et la population des consommateurs. Résultats Les polluants identifiés étaient des organismes microbiens, le cadmium, le cobalt, le chrome, le cuivre, le fer, le manganèse, le nickel, le plomb et le zinc. Tous ont été détectés dans les bassins versants, mais seuls le cadmium, le cobalt, le chrome, le manganèse et le plomb dépassaient les valeurs indicatives de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) après traitement de l'eau. Une contamination postérieure au traitement a été observée. Selon les estimations, la charge de morbidité la plus lourde résultait du chrome dans les deux systèmes, suivi par le cadmium, le plomb, le manganèse et le cobalt, par ordre décroissant. La charge de morbidité totale de tous les polluants des deux systèmes était de 46 000 et 9500 DALY par an ou de 0,14 et 0,088 DALY par personne et par an, respectivement. Elle était donc beaucoup plus élevée que le niveau de référence de l'OMS, soit 1×10−6 DALY par personne et par an. Pour chaque métal, la charge de morbidité dépassait le niveau de référence et était comparable à celle due à la contamination microbienne signalée ailleurs en Afrique. Conclusion Les estimations de la charge de morbidité de la contamination métallique des deux systèmes nigérians d'approvisionnement en eau étaient élevées. Les meilleures façons de réduire la charge de morbidité seraient la protection du bassin versant et le prétraitement par électrocoagulation.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Clasificar los contaminantes de dos sistemas de suministro de agua de Nigeria en función de su efecto sobre la salud humana a través de un enfoque basado en el riesgo. Métodos Se identificaron los contaminantes peligrosos presentes en el agua potable del área de estudio mediante una investigación bibliográfica y entre abril de 2010 y diciembre de 2011 se controlaron los contaminantes seleccionados en las cuencas, las plantas de tratamiento y los grifos de los consumidores. Se calculó la carga de morbilidad causada por cada contaminante en años de vida ajustados por discapacidad (AVAD) a partir de los datos de la concentración del contaminante, la exposición al mismo, la gravedad de sus efectos sobre la salud y la población de consumidores. Resultados Los contaminantes identificados fueron organismos microbianos, cadmio, cobalto, cromo, cobre, hierro, manganeso, níquel, plomo y zinc. Todos los contaminantes fueron detectados en las cuencas, pero sólo las cantidades de cadmio, cobalto, cromo, manganeso y plomo superaron los valores de referencia de la Organización Mundial de la Salud de (OMS) después del tratamiento del agua. Se observó una contaminación posterior al tratamiento. La carga estimada de la enfermedad fue mayor para el cromo en ambos esquemas, seguido en orden decreciente por el cadmio, plomo, manganeso y cobalto. La carga total de la enfermedad de todos los contaminantes en los dos sistemas fue, respectivamente, de 46 000 y 9500 AVAD por año o 0,14 y 0,088 AVAD por persona y año, muy por encima del nivel de referencia de la OMS de 1 × 10 − 6 AVAD por persona y año. La carga de morbilidad para cada metal superó el nivel de referencia y fue comparable con aquella por contaminación microbiana evidenciada en otras partes de África. Conclusión La carga de morbilidad estimada de la contaminación por metales de dos sistemas de suministro de agua nigerianos fue alta. La mejor forma para reducir la carga de morbilidad sería la protección de la captación de agua y el tratamiento previo mediante electrocoagulación.Resumo em Inglês:
Abstract Objective To rank pollutants in two Nigerian water supply schemes according to their effect on human health using a risk-based approach. Methods Hazardous pollutants in drinking-water in the study area were identified from a literature search and selected pollutants were monitored from April 2010 to December 2011 in catchments, treatment works and consumer taps. The disease burden due to each pollutant was estimated in disability-adjusted life years (DALYs) using data on the pollutant's concentration, exposure to the pollutant, the severity of its health effects and the consumer population. Findings The pollutants identified were microbial organisms, cadmium, cobalt, chromium, copper, iron, manganese, nickel, lead and zinc. All were detected in the catchments but only cadmium, cobalt, chromium, manganese and lead exceeded World Health Organization (WHO) guideline values after water treatment. Post-treatment contamination was observed. The estimated disease burden was greatest for chromium in both schemes, followed in decreasing order by cadmium, lead, manganese and cobalt. The total disease burden of all pollutants in the two schemes was 46 000 and 9500 DALYs per year or 0.14 and 0.088 DALYs per person per year, respectively, much higher than the WHO reference level of 1 × 10−6 DALYs per person per year. For each metal, the disease burden exceeded the reference level and was comparable with that due to microbial contamination reported elsewhere in Africa. Conclusion The estimated disease burden of metal contamination of two Nigerian water supply systems was high. It could best be reduced by protection of water catchment and pretreatment by electrocoagulation.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Détailler les taux d'homicide d'enfants en Afrique du Sud par âge et par sexe. Méthodes Une étude transversale basée sur les autopsies a été menée sur un échantillon national de 38 laboratoires médico-légaux en 2009. Ces laboratoires ont été choisis en proportion inverse du nombre de laboratoires qui étaient opérationnels dans chacune des trois strates définies par le nombre d'autopsies réalisées par an: < 500, entre 500 et 1499 ou > 1499. Les données sur les homicides d'enfants ont été collectées à partir des fichiers mortuaires, des rapports d'autopsie et des interrogatoires de police. La cause de la mort, la preuve de l'abus, de la négligence ou de l'agression, les caractéristiques des agresseurs sexuels, et les circonstances entourant le décès ont été étudiées. Résultats On estime que 1018 (intervalle de confiance de 95%: 843 à 1187) homicides d'enfants ont eu lieu en 2009, pour un taux de 5,5 (IC de 95%: 4,6 à 6,4) homicides pour 100 000 enfants de moins de 18 ans. Le taux d'homicide était beaucoup plus élevé chez les garçons (6,9 pour 100 000, IC de 95%: 5,6 à 8,3) que chez les filles (3,9 pour 100 000, IC de 95%: 3,2 à 4,7). La maltraitance et la négligence des enfants étaient à l'origine de près de la moitié (44,5%) des homicides, mais cela trois fois plus souvent chez les filles que chez les garçons. Chez les enfants âgés de 15 à 17 ans, le taux d'homicides chez les garçons (21,7 pour 100 000; IC de 95%: 14,2 à 29,2) était près de cinq fois plus élevé que le taux d'homicide chez les filles (4,6 pour 100 000, IC de 95%: 2,4 à 6.8). Conclusion Le taux d'homicide d'enfants en Afrique du Sud est deux fois plus élevé que la moyenne mondiale estimée. Puisqu'on retrouve fréquemment un climat de violence et de négligence envers les enfants, l'amélioration des compétences parentales devrait faire partie des principaux efforts de prévention.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Describir las tasas específicas por edad y sexo de los homicidios de menores en Sudáfrica. Métodos Se realizó un estudio transversal basado en datos de los depósitos de cadáveres en una muestra nacional de 38 laboratorios médico-legales activos en 2009. Se muestrearon en proporción inversa al número que estaba operativo en cada uno de los tres estratos definidos por volumen de autopsias: < 500, 500–1499 o > 1499 autopsias anuales. Los datos de los homicidios de menores se recopilaron de los archivos de los depósitos de cadáveres, de informes de autopsias y de entrevistas con la policía. Se investigaron la causa del fallecimiento, las pruebas de abuso y abandono o de agresión sexual, las características del homicida y las circunstancias aledañas al fallecimiento. Resultados En concepto de estimación, en 2009 se perpetraron 1018 (intervalo de confianza 95%: 843–1187) homicidios de menores, lo que representa una tasa de 5,5 (intervalo de confianza 95%: 4,6–6,4) homicidios por cada 100 000 menores de 18 años. La tasa de homicidios era mucho más alta en niños (6,9 por cada 100 000; intervalo de confianza 95%: 5,6–8,3) que en niñas (3,9 por cada 100 000; intervalo de confianza 95%: 3,2–4,7). El abuso y abandono de los menores había precedido a casi la mitad (44,5%) de todos los homicidios, si bien fue tres veces más frecuente entre las niñas que entre los niños. En menores de 15 a 17 años, la tasa de homicidios masculina (21,7 por cada 100 000; intervalo de confianza 95% 14,2–29,2) fue casi cinco veces mayor que la femenina (4,6 por cada 100 000; intervalo de confianza 95%: 2,4–6,8). Conclusión La tasa de homicidios de menores de Sudáfrica es más del doble que la estimación global. Como los precedentes de abuso y abandono de los menores son habituales, la mejora de las competencias de los padres debería formar parte de los primeros esfuerzos de prevención.Resumo em Inglês:
Abstract Objective To describe age- and sex-specific rates of child homicide in South Africa. Methods A cross-sectional mortuary-based study was conducted in a national sample of 38 medicolegal laboratories operating in 2009. These were sampled in inverse proportion to the number that were operational in each of three strata defined by autopsy volume: < 500, 500–1499 or > 1499 annual autopsies. Child homicide data were collected from mortuary files, autopsy reports and police interviews. Cause of death, evidence of abuse and neglect or of sexual assault, perpetrator characteristics and circumstances surrounding the death were investigated. Findings An estimated 1018 (95% confidence interval, CI: 843–1187) child homicides occurred in 2009, for a rate of 5.5 (95% CI: 4.6–6.4) homicides per 100 000 children younger than 18 years. The homicide rate was much higher in boys (6.9 per 100 000; 95% CI: 5.6–8.3) than in girls (3.9 per 100 000; 95% CI: 3.2–4.7). Child abuse and neglect had preceded nearly half (44.5%) of all homicides, but three times more often among girls than among boys. In children aged 15 to 17 years, the homicide rate among boys (21.7 per 100 000; 95% CI: 14.2–29.2) was nearly five times higher than the homicide rate among girls (4.6 per 100 000; 95% CI: 2.4–6.8). Conclusion South Africa's child homicide rate is more than twice the global estimate. Since a background of child abuse and neglect is common, improvement of parenting skills should be part of primary prevention efforts.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Étudier les effets indésirables attribués aux traitements médicaux traditionnels en République de Corée. Méthodes On a examiné les effets indésirables enregistrés en République de Corée entre 1999 et 2010 par la FDA, l'Agence de protection du consommateur ou l'Association de médecine traditionnelle coréenne. On a également étudié les dossiers sur les effets indésirables attribués aux pratiques médicales traditionnelles, y compris les rapports d'accidents médicinaux et les réclamations de consommateurs. Résultats Dans l'ensemble, 9624 dossiers d'effets indésirables attribués à des pratiques médicales traditionnelles, dont 522 liés à des traitements à base de plantes, ont été identifiés. Les problèmes de foie sont les effets indésirables les plus fréquemment rapportés. Seulement huit des effets indésirables ont été enregistrés par le système de pharmacovigilance géré par la FDA. Sur les 9624 effets, 1389 (principalement des infections, des cas de pneumothorax et des brûlures) étaient liés à la thérapie physique (n=285) ou à l'acupuncture/moxibustion (n=1104). Conclusion En République de Corée, les pratiques médicales traditionnelles semblent souvent avoir des effets indésirables, mais presque tous les effets indésirables attribués à ces pratiques entre 1999 et 2010 n'ont pas été décelés par le système national de pharmacovigilance. L'Agence de protection du consommateur et l'Association de médecine traditionnelle coréenne devraient être incluses dans le système national de pharmacovigilance.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Investigar las reacciones adversas atribuidas a los tratamientos médicos tradicionales en la República de Corea. Métodos Se analizaron las reacciones adversas registradas en la República de Corea entre 1999 y 2010 por la Administración de Alimentos y Medicamentos, la Agencia de Consumo y la Asociación de Medicina Tradicional Coreana. Se investigaron los registros de reacciones adversas atribuidas al empleo de prácticas médicas tradicionales, incluidos los informes de accidentes médicos y las quejas de los consumidores. Resultados En total, se identificaron 9624 casos de reacciones adversas atribuidas a las prácticas médicas tradicionales, entre ellos, 522 vinculados a los tratamientos a base de hierbas. Las reacciones adversas registradas con mayor frecuencia fueron los problemas hepáticos. El sistema de farmacovigilancia, dirigido por la Administración de Alimentos y Medicamentos, solo registró ocho reacciones adversas. De las 9624 reacciones, 1389 (en su mayoría infecciones, casos de neumotórax y quemaduras) estuvieron relacionadas con la terapia física (n= 285) o la acupuntura/moxibustión (n = 1104). Conclusión En la República de Corea, las prácticas médicas tradicionales a menudo parecen provocar reacciones adversas. Sin embargo, el sistema nacional de farmacovigilancia pasó por alto casi todas las reacciones adversas atribuidas a este tipo de prácticas entre 1999 y 2010. Es necesario incluir la Agencia de Consumo y la Asociación de Medicina Tradicional Coreana en el sistema nacional de farmacovigilancia.Resumo em Inglês:
Abstract Objective To investigate adverse events attributed to traditional medical treatments in the Republic of Korea. Methods Adverse events recorded in the Republic of Korea between 1999 and 2010 - by the Food and Drug Administration, the Consumer Agency or the Association of Traditional Korean Medicine - were reviewed. Records of adverse events attributed to the use of traditional medical practices, including reports of medicinal accidents and consumers' complaints, were investigated. Findings Overall, 9624 records of adverse events attributed to traditional medical practices - including 522 linked to herbal treatments - were identified. Liver problems were the most frequently reported adverse events. Only eight of the adverse events were recorded by the pharmacovigilance system run by the Food and Drug Administration. Of the 9624 events, 1389 - mostly infections, cases of pneumothorax and burns - were linked to physical therapy (n = 285) or acupuncture/moxibustion (n = 1104). Conclusion In the Republic of Korea, traditional medical practices often appear to have adverse effects, yet almost all of the adverse events attributed to such practices between 1999 and 2010 were missed by the national pharmacovigilance system. The Consumer Agency and the Association of Traditional Korean Medicine should be included in the national pharmacovigilance system.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Étudier la relation entre les phénomènes météorologiques, les niveaux de pollution et les hospitalisations quotidiennes (en guise d'approximation des schémas de morbidité) dans la région administrative spéciale (RAS) de Hong Kong, Chine, de 1998 à 2009. Méthodes Des modèles additifs généralisés et des modèles de latence ont été élaborés avec des données provenant de sources officielles relatives aux admissions hospitalières et à la température quotidienne moyenne, à la vitesse moyenne quotidienne du vent, à l'humidité relative moyenne, au rayonnement solaire global total quotidien, aux précipitations quotidiennes totales et aux niveaux de pollution quotidiens. Résultats Pendant la saison chaude, les admissions ont augmenté de 4,5% pour chaque augmentation de 1 ºC au-dessus de 29 ºC; pendant la saison froide, les admissions ont augmenté de 1,4% pour chaque diminution de 1 ºC entre 8,2 et 26,9 ºC. Dans les analyses des sous-groupes, les admissions pour des maladies respiratoires et infectieuses ont augmenté pendant les périodes de chaleur et de froid extrêmes, mais les admissions dues aux maladies cardiovasculaires ont seulement augmenté par temps froid. Pour chaque augmentation de 1 ºC au-dessus de 29 ºC, les admissions pour blessures involontaires ont augmenté de 1,9%. Pendant la saison froide, pour chaque baisse de 1 ºC entre 8,2 et 26,9 ºC, les admissions pour maladies cardiovasculaires et blessures intentionnelles ont augmenté de 2,1% et 2,4%, respectivement. Les schémas d'admission n'étaient pas différents selon le sexe. Les admissions pour maladies respiratoires des enfants ont augmenté avec les températures chaudes et froides, mais celles des personnes âgées seulement avec les températures froides. Chez les personnes âgées de 75 ans ou plus, les admissions pour maladies infectieuses ont augmenté durant les deux périodes de températures extrêmes. Conclusion À Hong Kong, les hospitalisations augmentent pendant les périodes de températures extrêmes. Des interventions de santé publique devraient être développées pour protéger de la chaleur et du froid excessifs les enfants, les personnes âgées et les autres groupes vulnérables.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Explorar la relación entre los fenómenos meteorológicos, los niveles de contaminación y los ingresos hospitalarios diarios (como una aproximación a los patrones de morbilidad) en la Región Administrativa Especial de Hong Kong (RAE), China, de 1998 a 2009. Métodos Se diseñaron modelos aditivos generalizados y modelos de retardos con datos de fuentes oficiales sobre los ingresos hospitalarios y la temperatura diaria media, la velocidad media diaria del viento, la humedad relativa media, la radiación solar global total diaria, las precipitaciones diarias totales, así como los niveles de contaminación diaria. Resultados Durante la época de calor, los ingresos se incrementaron en un 4,5 % por cada aumento de 1 °C por encima de 29 °C; durante la época de frío, los ingresos aumentaron un 1,4 % por cada disminución de 1 °C en el rango de 8,2 a 26,9 °C. En los análisis de subgrupos, los ingresos por enfermedades respiratorias e infecciosas aumentaron durante las temperaturas extremas de calor y frío; sin embargo, los ingresos debidos a enfermedades cardiovasculares solo aumentaron con las temperaturas frías. Por cada aumento de 1 °C por encima de 29 °C, los ingresos por lesiones involuntarias aumentaron un 1,9 %. Durante la época de frío, por cada disminución de 1 °C en el rango de 8,2 a 26,9 °C, los ingresos por enfermedades cardiovasculares y por lesiones causadas de forma intencionada aumentaron, respectivamente, un 2,1 % y un 2,4 %. El sexo de los pacientes no se tuvo en cuenta en los patrones de admisión. Los ingresos por enfermedades respiratorias aumentaron durante las temperaturas altas y bajas entre los niños, pero solo se incrementaron en los ancianos durante las temperaturas bajas. En las personas de 75 años o más, los ingresos por enfermedades infecciosas aumentaron durante ambos extremos de temperatura. Conclusión En la Región Administrativa Especial de Hong Kong, el número de hospitalizaciones aumenta durante las temperaturas extremas. Es necesario desarrollar intervenciones en materia de salud pública a fin de proteger a niños, ancianos y otros grupos vulnerables frente a las temperaturas extremas de calor y frío.Resumo em Inglês:
Abstract Objective To explore the relationship between weather phenomena and pollution levels and daily hospital admissions (as an approximation to morbidity patterns) in Hong Kong Special Administrative Region (SAR), China, in 1998–2009. Methods Generalized additive models and lag models were constructed with data from official sources on hospital admissions and on mean daily temperature, mean daily wind speed, mean relative humidity, daily total global solar radiation, total daily rainfall and daily pollution levels. Findings During the hot season, admissions increased by 4.5% for every increase of 1 °C above 29 °C; during the cold season, admissions increased by 1.4% for every decrease of 1 °C within the 8.2–26.9 °C range. In subgroup analyses, admissions for respiratory and infectious diseases increased during extreme heat and cold, but cardiovascular disease admissions increased only during cold temperatures. For every increase of 1 °C above 29 °C, admissions for unintentional injuries increased by 1.9%. During the cold season, for every decrease of 1 °C within the 8.2–26.9 °C range, admissions for cardiovascular diseases and intentional injuries rose by 2.1% and 2.4%, respectively. Admission patterns were not sensitive to sex. Admissions for respiratory diseases rose during hot and cold temperatures among children but only during cold temperatures among the elderly. In people aged 75 years or older, admissions for infectious diseases rose during both temperature extremes. Conclusion In Hong Kong SAR, hospitalizations rise during extreme temperatures. Public health interventions should be developed to protect children, the elderly and other vulnerable groups from excessive heat and cold.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Estimer les coûts d'administration croissants du vaccin contre le papillomavirus humain (VPH) chez les jeunes adolescentes au Pérou, en Ouganda et au Viet Nam. Méthodes Des données ont été recueillies auprès d'un échantillon d'établissements qui ont participé à cinq projets de démonstration de l'administration du vaccin contre le VPH: un mode d'administration en milieu scolaire a été utilisé au Pérou, en Ouganda et au Viet Nam, un mode d'administration dans un centre de santé a également été utilisé au Viet Nam, et un mode d'administration intégrée, qui a impliqué les services de santé existants, a également été utilisé en Ouganda. Une approche verticale ascendante (Microcosting) a été utilisée pour guider la collecte de données sur l'utilisation des ressources (personnel, fournitures et équipement), et d'autres données ont été obtenues auprès des gouvernements, et dans les dossiers administratifs des centres de santé et des projets de démonstration. Les coûts d'administration sont exprimés en dollars des États-Unis ($) de 2009. Seules les dépenses liées au projet et les coûts du vaccin ont été exclus. Résultats Le coût économique d'administration par dose de vaccin variait de 1,44 $ pour une administration intégrée en Ouganda, à 3,88 $ pour une administration en milieu scolaire au Pérou. Au Viet Nam, le coût le plus bas par dose était de 1,92 $ pour une administration dans un centre de santé. Le profil des coûts a révélé qu'en général, les facteurs les plus importants étaient les coûts de démarrage du projet et les coûts récurrents du personnel. Les coûts d'administration du vaccin contre le VPH sont plus élevés que les coûts indiqués pour les vaccins traditionnels recommandés par le Programme d'immunisation élargi (PIE). Conclusion Les coûts d'administration du vaccin contre le VPH chez les jeunes adolescentes au Pérou, en Ouganda et au Viet Nam étaient supérieurs à ceux des vaccins actuellement indiqués dans le calendrier du PIE. Le coût par dose de vaccin était le plus bas lorsque l'administration du vaccin était réalisée dans les services de santé existants.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Estimar el incremento del coste de la administración de la vacuna contra el virus del papiloma humano (VPH) a adolescentes mujeres en Perú, Uganda y Viet Nam. Métodos Se recabaron datos a partir de una muestra de los centros que participaron en cinco proyectos de demostración sobre la administración de la vacuna contra el VPH: en Perú, Uganda y Viet Nam, la administración se efectuó en la escuela; la prestación de asistencia sanitaria en centros de salud se realizó también en Viet Nam; y la entrega administración, que incluía los servicios de salud existentes, también se realizó en Uganda. Se emplearon métodos de microcosteo para orientar la recolección de datos sobre el uso de los recursos (es decir, el personal, los suministros y los equipos). Los datos se obtuvieron del gobierno, de los proyectos de demostración y los registros administrativos del centro de salud. Los gastos de administración se expresaron en 2009 dólares de los Estados Unidos (US$). Se excluyeron los gastos derivados exclusivamente del proyecto y del coste de las vacunas. Resultados El coste del envío económico por dosis de vacuna varió de US$ 1,44, en la difusión integrada en Uganda, a US$ 3,88 en la entrega en las escuelas en Perú. En Viet Nam, el coste más bajo por dosis fue de US$ 1,92 para la prestación de asistencia en centros sanitarios. Los perfiles de costes revelaron que, en general, los factores que más contribuyen son los costes de la puesta en marcha del proyecto y los del personal constante. El coste de administración de la vacuna contra el VPH fue mayor que los costes publicados de las vacunas tradicionales recomendadas por el Programa Ampliado de Inmunización (PAI). Conclusión El coste de la entrega de vacunas contra el VPH a las adolescentes jóvenes en Perú, Uganda y Vietnam fue mayor que el de las vacunas incluidas actualmente en el programa de EPI. El coste por dosis de vacuna fue menor cuando la entrega estaba integrada en los servicios de salud actuales.Resumo em Inglês:
Abstract Objective To estimate the incremental delivery cost of human papillomavirus (HPV) vaccination of young adolescent girls in Peru, Uganda and Viet Nam. Methods Data were collected from a sample of facilities that participated in five demonstration projects for HPV vaccine delivery: school-based delivery was used in Peru, Uganda and Viet Nam; health-centre-based delivery was also used in Viet Nam; and integrated delivery, which involved existing health services, was also used in Uganda. Microcosting methods were used to guide data collection on the use of resources (i.e. staff, supplies and equipment) and data were obtained from government, demonstration project and health centre administrative records. Delivery costs were expressed in 2009 United States dollars (US$). Exclusively project-related expenses and the cost of the vaccine were excluded. Findings The economic delivery cost per vaccine dose ranged from US$ 1.44 for integrated outreach in Uganda to US$ 3.88 for school-based delivery in Peru. In Viet Nam, the lowest cost per dose was US$ 1.92 for health-centre-based delivery. Cost profiles revealed that, in general, the largest contributing factors were project start-up costs and recurrent personnel costs. The delivery cost of HPV vaccine was higher than published costs for traditional vaccines recommended by the Expanded Programme on Immunization (EPI). Conclusion The cost of delivering HPV vaccine to young adolescent girls in Peru, Uganda and Viet Nam was higher than that for vaccines currently in the EPI schedule. The cost per vaccine dose was lower when delivery was integrated into existing health services.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Estimer l'efficacité des interventions visant à améliorer la santé mentale des femmes dans la période périnatale et évaluer tout effet sur la santé, la croissance et le développement de leur progéniture, dans les pays à faible et moyen revenus (PFMR). Méthodes On a étudié de manière systématique sept bases de données bibliographiques électroniques pour y trouver les articles, publiés jusqu'en mai 2012, décrivant les essais contrôlés d'interventions visant à améliorer la santé mentale des femmes enceintes ou ayant récemment accouché. Les principaux résultats intéressants étaient les taux des troubles mentaux périnataux communs (TMPC), la dépression ou l'anxiété, essentiellement après l'accouchement, les mesures de la qualité de la relation mère-nourrisson, ainsi que la mesure de la santé, de la croissance et du développement cognitif du nourrisson ou de l'enfant. Une méta-analyse a été effectuée pour obtenir une mesure synthétique de l'efficacité clinique des interventions. Résultats On a identifié treize essais représentant 20 092 participants. Dans toutes les études, des agents de la santé et des travailleurs communautaires non spécialistes supervisés ont effectué les interventions qui se sont avérées plus bénéfiques que les soins de routine pour les mères et les enfants. La taille de l'effet groupé de la dépression maternelle était de −0,38 (intervalle de confiance de 95%: −0,56 à −0,21; I 2 = 79,9%). Dans les cas où ils étaient évalués, les avantages pour l'enfant comprenaient une meilleure interaction mère-enfant, un meilleur développement cognitif, une croissance supérieure, des épisodes diarrhéiques réduits et des taux accrus de vaccination. Conclusion Dans les PFMR, la charge des TMPC peut être réduite par des interventions de santé mentale prises en charge par des non-spécialistes supervisés. Ces interventions bénéficient à la fois aux femmes et à leurs enfants, mais d'autres études sont nécessaires pour comprendre comment elles peuvent être élargies aux paramètres très divers qui existent dans les PFMR.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Determinar la efectividad de las intervenciones destinadas a mejorar la salud mental de las mujeres en el periodo perinatal y evaluar los efectos en la salud, el crecimiento y el desarrollo de sus hijos en los países de ingresos bajos y medios (PIBM). Métodos Se realizaron búsquedas sistemáticas en siete bases de datos bibliográficas electrónicas a fin de hallar trabajos, publicados antes de mayo de 2012, que describieran ensayos controlados de intervenciones diseñadas para mejorar el estado de salud mental de mujeres embarazadas o que habían dado a luz recientemente. Los resultados de mayor interés fueron: las tasas de trastornos mentales perinatales frecuentes (TMPF); la depresión o la ansiedad principalmente después del parto; las medidas de la calidad de la relación madre–hijo; así como la medida de la salud, el crecimiento y el desarrollo cognitivo de bebés y niños. Se realizó un metaanálisis para obtener una medida sinóptica sobre la efectividad clínica de las intervenciones. Resultados Se identificaron trece ensayos que representaron a un total de 20 092 participantes. En todos los estudios, las intervenciones se llevaron a cabo por personal de salud no especializado y por trabajadores comunitarios bajo supervisión, lo cual resultó ser más beneficioso que la atención rutinaria para madres y niños. El tamaño del efecto combinado de la depresión materna fue −0,38 (intervalo de confianza del 95 %: −0,56 a −0,21; l 2 = 79,9 %). En las zonas donde se realizó la evaluación, los beneficios para el niño incluían una mejora en la interacción madre-hijo, en el desarrollo cognitivo y el crecimiento, una reducción en los episodios de diarrea, así como un aumento en las tasas de inmunización. Conclusión En países de ingresos bajos o medios es posible reducir la carga por los trastornos mentales perinatales frecuentes mediante intervenciones de salud mental prestadas por personal no especializado bajo supervisión. Estas intervenciones benefician tanto a las mujeres como a sus hijos, pero se necesitan más estudios para averiguar cómo pueden ampliarse dentro de la gran diversidad de los países de ingresos bajos y medios.Resumo em Inglês:
Abstract Objective To assess the effectiveness of interventions to improve the mental health of women in the perinatal period and to evaluate any effect on the health, growth and development of their offspring, in low- and middle-income (LAMI) countries. Methods Seven electronic bibliographic databases were systematically searched for papers published up to May 2012 describing controlled trials of interventions designed to improve mental health outcomes in women who were pregnant or had recently given birth. The main outcomes of interest were rates of common perinatal mental disorders (CPMDs), primarily postpartum depression or anxiety; measures of the quality of the mother–infant relationship; and measures of infant or child health, growth and cognitive development. Meta-analysis was conducted to obtain a summary measure of the clinical effectiveness of the interventions. Findings Thirteen trials representing 20 092 participants were identified. In all studies, supervised, non-specialist health and community workers delivered the interventions, which proved more beneficial than routine care for both mothers and children. The pooled effect size for maternal depression was −0.38 (95% confidence interval: −0.56 to −0.21; I 2 = 79.9%). Where assessed, benefits to the child included improved mother–infant interaction, better cognitive development and growth, reduced diarrhoeal episodes and increased immunization rates. Conclusion In LAMI countries, the burden of CPMDs can be reduced through mental health interventions delivered by supervised non-specialists. Such interventions benefit both women and their children, but further studies are needed to understand how they can be scaled up in the highly diverse settings that exist in LAMI countries.Resumo em Francês:
Résumé Si le concept est correctement défini, la «couverture universelle» (ou la couverture maladie universelle, CMU) peut être utilisée pour justifier pratiquement toute réforme ou tout régime du financement des soins de santé. Ce document présente la définition du financement des soins de santé pour une couverture universelle, telle qu'elle apparaît dans le Rapport sur la santé dans le monde 2010 de l'Organisation mondiale de la Santé, afin de montrer comment la CMU incarne les objectifs spécifiques et intermédiaires du système de santé et, plus généralement, comment les réformes du financement du système de santé peuvent influencer ces objectifs. Tous les pays cherchent à améliorer l'équité dans l'utilisation des services de santé, dans la qualité des services et dans la protection financière des populations. Par conséquent, la survie de la CMU reste pertinente pour tous les pays. La politique de financement des soins de santé fait partie intégrante des efforts réalisés pour faire de la CMU une réalité, mais pour que cette politique de financement permette la survie de la CMU, les réformes du système de santé doivent viser explicitement l'amélioration de la couverture santé et les objectifs intermédiaires qui y sont liés, à savoir, l'efficacité, l'équité dans la répartition des ressources de la santé, ainsi que la transparence et la responsabilisation. L'unité d'analyse de ces objectifs doit prendre en compte la population et le système de santé dans son ensemble. Ce qui importe, ce n'est pas comment un système de financement particulier affecte chacun de ses membres, mais plutôt comment il influe sur les progrès et conduit vers une CMU à l'échelle des populations. Les préoccupations autour des programmes spécifiques sont incompatibles avec une approche de couverture universelle et peuvent même nuire à la CMU, notamment en termes d'équité. Et inversement, si un régime est pleinement orienté sur des objectifs systémiques, il peut étendre les progrès réalisés à la CMU. Les analyses des politiques et les politiques elles-mêmes doivent changer d'échelle pour passer du simple régime au système.Resumo em Espanhol:
Resumen A menos que se entienda el concepto con claridad, “cobertura universal” (o cobertura sanitaria universal) se puede utilizar para justificar casi cualquier reforma o plan de financiación sanitaria. El presente documento amplía la definición de financiación de la salud para una cobertura universal, tal y como se utiliza en el Informe sobre la salud en el mundo 2010 de la Organización Mundial de la Salud, a fin de mostrar cómo la cobertura sanitaria universal abarca los objetivos concretos e intermedios relacionados con los sistemas sanitarios y, en sentido amplio, cómo pueden influir en los mismos las reformas de financiación sanitaria. Todos los países pretenden mejorar la igualdad en la utilización de los servicios sanitarios, la calidad de estos y la protección financiera de su población. Por ello, la búsqueda de una cobertura sanitaria universal es importante para cada país. La política de financiación de la salud es un elemento esencial en los esfuerzos para avanzar hacia la cobertura sanitaria universal. Sin embargo, para que las estrategias de financiación de la salud estén en línea con la procura de la cobertura sanitaria universal, las reformas del sistema sanitario deben aspirar de forma explícita a mejorar la cobertura y los objetivos intermedios relacionados con esta, a saber, la eficacia, la igualdad en la distribución de los recursos, así como la transparencia y la responsabilidad. La unidad sobre la cual se deben analizar las metas y objetivos debe ser la población y el sistema sanitario en conjunto. Lo importante no es cómo un modelo particular de financiación afecta a cada uno de sus miembros, sino cómo influye en el progreso hacia la cobertura sanitaria universal a nivel de la población. Si únicamente concierne a proyectos concretos, será incompatible con un enfoque universal e incluso podría minar la cobertura sanitaria universal, particularmente en lo que respecta a la igualdad. Por el contrario, si un plan se enfoca por completo hacia los objetivos y las metas a nivel del sistema, se puede continuar avanzando hacia la cobertura sanitaria universal. Las estrategias y los análisis de estrategias tienen que cambiar desde el nivel del plan al nivel del sistema.Resumo em Inglês:
Abstract Unless the concept is clearly understood, “universal coverage” (or universal health coverage, UHC) can be used to justify practically any health financing reform or scheme. This paper unpacks the definition of health financing for universal coverage as used in the World Health Organization's World health report 2010 to show how UHC embodies specific health system goals and intermediate objectives and, broadly, how health financing reforms can influence these. All countries seek to improve equity in the use of health services, service quality and financial protection for their populations. Hence, the pursuit of UHC is relevant to every country. Health financing policy is an integral part of efforts to move towards UHC, but for health financing policy to be aligned with the pursuit of UHC, health system reforms need to be aimed explicitly at improving coverage and the intermediate objectives linked to it, namely, efficiency, equity in health resource distribution and transparency and accountability. The unit of analysis for goals and objectives must be the population and health system as a whole. What matters is not how a particular financing scheme affects its individual members, but rather, how it influences progress towards UHC at the population level. Concern only with specific schemes is incompatible with a universal coverage approach and may even undermine UHC, particularly in terms of equity. Conversely, if a scheme is fully oriented towards system-level goals and objectives, it can further progress towards UHC. Policy and policy analysis need to shift from the scheme to the system level.Resumo em Francês:
Résumé Problème Le tremblement de terre de 2010 en Haïti a déplacé environ 1,5 million de personnes, dont beaucoup dans des camps pour personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays. On avait prévu que la perturbation des pratiques d'allaitement conduirait à l'augmentation de la morbidité, de la malnutrition et de la mortalité infantile. Approche Le ministère de la Santé d'Haïti et l'UNICEF, en collaboration avec des organisations non gouvernementales locales et internationales, avaient érigé des tentes pour bébés dans les zones touchées par le tremblement de terre. Ces tentes représentaient un endroit sûr pour les mères qui allaitaient, mais aussi pour les nourrissons non allaités qui recevaient du lait maternisé prêt à l'emploi. Une telle action coordonnée à grande ampleur dans un contexte d'urgence n'avait jamais été mise en place dans le monde auparavant. Environnement local Les tentes pour bébés ont été mises en place dans cinq villes, mais surtout à Port-au-Prince, où a été créée la majorité des 1555 camps d'Haïti pour les personnes déplacées. Changements significatifs Entre février 2010 et juin 2012, 193 tentes pour bébés ont été mises en place; 180 499 couples mère-enfant et 52 503 femmes enceintes ont été enregistrés dans le programme des tentes pour bébés. Parmi les nourrissons de moins de 6 mois, 70% suivaient un allaitement exclusif et 10% de ceux qui avaient une «alimentation mixte» sont passés à l'allaitement maternel exclusif à leur arrivée. En 2010, 13,5% des nourrissons inscrits ne pouvaient pas être allaités. Ces bébés ont reçu du lait maternisé prêt à l'emploi. Leçons tirées Grâce à une mise en place rapide du programme, les pratiques d'allaitement n'ont pas été perturbées. Cependant, l'amélioration des méthodes d'évaluation et d'orientation globale sur la mise en œuvre et le suivi des tentes pour bébés reste nécessaire pour les situations d'urgence futures. De plus, une stratégie claire doit être définie en matière de transition des activités des tentes pour bébés vers des centres et des programmes communautaires.Resumo em Espanhol:
Resumen Situación El terremoto de 2010 en Haití desalojó a unos 1,5 millones de personas, muchas de las cuales se trasladaron a campos de desplazados internos. Se esperaba que la interrupción de las prácticas de lactancia conduciría a un aumento de la morbilidad infantil, la desnutrición y la mortalidad. Enfoque El Ministerio de Salud de Haití y el Fondo para la Infancia de las Naciones Unidas, en colaboración con organizaciones no gubernamentales locales e internacionales, establecieron tiendas para bebés en las zonas afectadas por el terremoto. Las tiendas ofrecieron un lugar seguro para que las madres pudieran amamantar a sus hijos y para que los bebés no alimentados con leche materna recibieran sucedáneos de la leche materna listos para el consumo. Nunca antes, en ninguna parte del mundo, se había logrado establecer un despliegue de tiendas para bebés tan amplio y bien coordinado en una situación de emergencia. Marco regional Las tiendas para bebés se establecieron en cinco ciudades, pero sobre todo en Port-au-Prince, donde se había instalado la mayoría de los 1 555 campamentos de Haití para las personas desplazadas. Cambios relevantes Entre febrero de 2010 y junio de 2012, se establecieron 193 tiendas para bebés. Se inscribieron 180 499 parejas madre-hijo y 52 503 mujeres embarazadas en el programa de tienda para bebés. Entre los bebés menores de 6 meses, se observó que el 70% se alimentaba únicamente de leche materna, y que el 10% de los bebés que anteriormente recibía una "alimentación mixta", recibió una alimentación basada exclusivamente en leche materna durante la estancia en las tiendas. En 2010, el 13,5% de los bebés inscritos no pudo ser amamantado. Estos bebés recibieron sucedáneos de leche materna listos para el consumo. Lecciones aprendidas La rápida ampliación de los programas permitió que las prácticas de lactancia se mantuvieran sin interrupciones. Sin embargo, es necesario disponer de mejores métodos de evaluación y de orientación integral sobre la aplicación y el seguimiento de las tiendas para bebés para futuras emergencias, junto con una estrategia clara para trasladar las actividades de tiendas de campaña para bebés a los programas comunitarios y de servicios.Resumo em Inglês:
Abstract Problem The 2010 earthquake in Haiti displaced about 1.5 million people, many of them into camps for internally displaced persons. It was expected that disruption of breastfeeding practices would lead to increased infant morbidity, malnutrition and mortality. Approach Haiti's health ministry and the United Nations Children's Fund, in collaboration with local and international nongovernmental organizations, established baby tents in the areas affected by the earthquake. The tents provided a safe place for mothers to breastfeed and for non-breastfed infants to receive ready-to-use infant formula. Such a large and coordinated baby tent response in an emergency context had never been mounted before anywhere in the world. Local setting Baby tents were set up in five cities but mainly in Port-au-Prince, where the majority of Haiti's 1555 camps for displaced persons had been established. Relevant changes Between February 2010 and June 2012, 193 baby tents were set up; 180 499 mother–infant pairs and 52 503 pregnant women were registered in the baby tent programme. Of infants younger than 6 months, 70% were reported to be exclusively breastfed and 10% of the “mixed feeders” moved to exclusive breastfeeding while enrolled. In 2010, 13.5% of registered infants could not be breastfed. These infants received ready-to-use infant formula. Lessons learnt Thanks to rapid programme scale-up, breastfeeding practices remained undisrupted. However, better evaluation methods and comprehensive guidance on the implementation and monitoring of baby tents are needed for future emergencies, along with a clear strategy for transitioning baby tent activities into facility and community programmes.