Resumo em Inglês:
More decisive action is needed at political and grassroots level to stop the practice of mutilating the genitals of women and girls. Priya Shetty reports.Resumo em Inglês:
Greece's health reform – born of the 2008 economic crisis – may fall short of expectations. Aris Sissouras tells Menelaos Tsafalios why.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Examiner la gestion de l'hypertension dans différents pays et au fil du temps en utilisant des méthodes cohérentes et comparables. Méthodes Une recherche systématique a identifié des enquêtes sur les examens de santé représentatifs à l'échelle nationale dans 20 pays, contenant des données de 1980 à 2011 sur les mesures de la tension, le diagnostic et le traitement de l'hypertension et son contrôle avec des médicaments antihypertenseurs. Pour chaque pays, on a esimé la prévalence de l'hypertension (tension artérielle systolique ≥ 140 mmHg ou utilisation d'antihypertenseurs) et la proportion de patients souffrant d'hypertension, dont la maladie a été diagnostiquée, traitée ou contrôlée par des médicaments (tension systolique < 140 mmHg). Résultats La prévalence de l'hypertension normalisée selon l'âge variait entre les pays: pour les individus âgés de 35 à 49 ans, elle variait de 12% au Bangladesh, en Égypte et en Thaïlande à environ 30% en Arménie, au Lesotho et en Ukraine; pour les individus âgés de 35 à 84 ans, elle variait de 20% au Bangladesh à plus de 40% en Allemagne, en Turquie et dans la Fédération de Russie. C'est aux États-Unis d'Amérique que le pourcentage normalisé selon l'âge des individus souffrant d'hypertension dont la maladie a été diagnostiquée, traitée ou contrôlée était le plus élevé: pour les individus âgés de 35 à 49 ans, il atteignait 84%, 77% et 56%, respectivement. Ces pourcentages ont été particulièrement faibles en Albanie, en Arménie, en Turquie et pour la République islamique d'Iran. Bien que les tendances récentes de la prévalence diffèrent en Angleterre, au Japon et aux États-Unis, la couverture du traitement et le contrôle de l'hypertension artérielle se sont améliorés au fil du temps, notamment en Angleterre. Conclusion Globalement, la proportion de patients souffrant d'hypertension dont la maladie a été diagnostiquée, traitée ou contrôlée par des médicaments reste faible. Des efforts supplémentaires sont nécessaires pour améliorer le contrôle de l'hypertension, ce qui réduirait la charge que représentent les maladies non transmissibles.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Examinar la gestión de la hipertensión entre países y a lo largo del tiempo con métodos consistentes y comparables. Métodos Se realizó una búsqueda sistemática a fin de identificar encuestas de salud por examen representativas a nivel nacional de 20 países con datos recogidos de 1980 a 2011 sobre las mediciones de la presión arterial, el diagnóstico y el tratamiento de la hipertensión, así como su control con fármacos antihipertensivos. Se estimó la prevalencia de la hipertensión arterial en cada país (es decir, la presión arterial sistólica ≥ 140 mmHg o el uso de antihipertensivos) y la proporción de hipertensos que fueron diagnosticados, tratados o controlados con medicamentos para su condición (es decir, presión sistólica < 140 mmHg). Resultados La prevalencia estandarizada por edad de la hipertensión varió entre países: en las personas de entre 35 y 49 años osciló entre el 12 % en Bangladesh, Egipto y Tailandia, y cerca del 30 % en Armenia, Lesotho y Ucrania. En las personas entre 35 y 84 años varió entre el 20 % en Bangladesh, y más del 40 % en Alemania, la Federación Rusa y Turquía. El porcentaje estandarizado por edad de las personas hipertensas que recibieron un diagnóstico, tratamiento o control con medicamentos para su condición fue mayor en los Estados Unidos de América. En concreto, fue del 84 %, 77 % y 56 %, respectivamente, en las personas entre 35 y 49 años. Los porcentajes fueron particularmente bajos en Albania, Armenia, la República Islámica del Irán y Turquía. Aunque las tendencias recientes en la prevalencia difirieron en Inglaterra, Japón y Estados Unidos, la cobertura del tratamiento y el control de la hipertensión han mejorado con el tiempo, sobre todo en Inglaterra. Conclusión A nivel mundial, la proporción de hipertensos que recibe tratamiento y control con medicamentos sigue siendo baja. Deben realizarse mayores esfuerzos para mejorar el control de la hipertensión, lo que reduciría la carga de enfermedades no transmisibles.Resumo em Inglês:
Objective To examine hypertension management across countries and over time using consistent and comparable methods. Methods A systematic search identified nationally representative health examination surveys from 20 countries containing data from 1980 to 2011 on blood pressure measurements, the diagnosis and treatment of hypertension and its control with antihypertensive drugs. For each country, the prevalence of hypertension (i.e. systolic blood pressure ≥ 140 mmHg or antihypertensive use) and the proportion of hypertensive individuals whose condition was diagnosed, treated or controlled with medications (i.e. systolic pressure < 140 mmHg) were estimated. Findings The age-standardized prevalence of hypertension varied between countries: for individuals aged 35 to 49 years, it ranged from around 12% in Bangladesh, Egypt and Thailand to around 30% in Armenia, Lesotho and Ukraine; for those aged 35 to 84 years, it ranged from 20% in Bangladesh to more than 40% in Germany, the Russian Federation and Turkey. The age-standardized percentage of hypertensive individuals whose condition was diagnosed, treated or controlled was highest in the United States of America: for those aged 35 to 49 years, it was 84%, 77% and 56%, respectively. Percentages were especially low in Albania, Armenia, the Islamic Republic of Iran and Turkey. Although recent trends in prevalence differed in England, Japan and the United States, treatment coverage and hypertension control improved over time, particularly in England. Conclusion Globally the proportion of hypertensive individuals whose condition is treated or controlled with medication remains low. Greater efforts are needed to improve hypertension control, which would reduce the burden of noncommunicable diseases.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Développer et mettre en œuvre une méthode pour évaluer les «comptes rendus de preuves» et les «réunions délibératoires», qui pourrait être appliquée aux études comparatives de stratégies similaires utilisées pour appuyer l'élaboration de politiques basée sur des données probantes. Méthodes Les participants qui ont lu des comptes rendus de preuves et qui ont assisté à des réunions délibératoires au Burkina Faso, au Cameroun, en Éthiopie, au Nigeria, en Ouganda et en Zambie ont été interrogés avant le début des réunions (pour recueillir leurs points de vue sur les comptes rendus de preuves déjà distribués) et à la fin des réunions (pour recueillir leurs points de vue sur leur contenu). Les évaluations des comptes rendus de preuves et des réunions des répondants, ainsi que les intentions des répondants d'agir sur ce qu'ils avaient appris ont ensuite été étudiées dans des analyses statistiques descriptives et des modèles de régression. Résultats Sur les 530 personnes qui ont lu les comptes rendus de preuves et qui ont assisté aux réunions délibératoires, 304 (57%) et 303 (57%) des répondants ont rempli des questionnaires sur les comptes rendus et sur les dialogues, respectivement. Les répondants ont perçu les comptes rendus de preuves et les réunions délibératoires (ainsi que chacune de leurs principales caractéristiques) de manière très favorable, quel que soit le pays, le sujet ou le groupe impliqué. Dans l'ensemble, les caractéristiques «aucune conclusion avec des recommandations» et «aucun objectif de consensus» ont été identifiées comme celles étant les moins utiles dans les comptes rendus et les réunions, respectivement. Les répondants ont généralement affirmé avoir une forte intention d'agir sur ce qu'ils avaient appris. Conclusion Bien que certains aspects de leur structure aient certainement besoin d'être améliorés ou, tout du moins, expliqués et justifiés auprès des décideurs politiques et des parties prenantes, les comptes rendus de preuves et les réunions délibératoires semblent être hautement considérés, mais aussi stimuler les intentions d'agir.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Desarrollar e implementar un método para evaluar los «escritos de pruebas» y los «diálogos deliberativos» que podrían aplicarse a los estudios comparativos de estrategias similares destinadas a apoyar las políticas basadas en pruebas. Métodos Se encuestó a los participantes que leyeron los escritos de pruebas y asistieron a diálogos deliberativos en Burkina Faso, Camerún, Etiopía, Nigeria, Uganda y Zambia antes del inicio de los diálogos a fin de recoger sus opiniones sobre los escritos de pruebas predistribuidos y, al término de los diálogos, recopilar sus puntos de vista sobre los mismos. Se examinaron las evaluaciones de los escritos y los diálogos de los encuestados, así como la voluntad de actuar en base a lo aprendido por parte de los encuestados en análisis estadísticos descriptivos y modelos de regresión. Resultados De las 530 personas que leyeron los escritos de pruebas y asistieron a los diálogos, 304 (57 %) y 303 (57 %) completaron cuestionarios sobre los escritos y diálogos, respectivamente. Los encuestados mostraron una opinión favorable sobre los escritos de pruebas y los diálogos deliberativos, así como de sus características principales, con independencia del país, tema o grupo involucrado. En general, las características menos útiles de los escritos y diálogos fueron «no concluye con recomendaciones» y «no aspira al consenso», respectivamente. Los encuestados, por lo general, señalaron su firme voluntad de actuar en base a lo aprendido. Conclusión Aunque ciertos aspectos del diseño quizá deben mejorarse o, como mínimo, explicarse y justificarse ante los responsables políticos y las partes interesadas, los escritos de pruebas y los diálogos deliberativos parecen gozar de gran reputación y fomentar la voluntad de actuar.Resumo em Inglês:
Objective To develop and implement a method for the evaluation of “evidence briefs” and “deliberative dialogues” that could be applied to comparative studies of similar strategies used in the support of evidence-informed policy-making. Methods Participants who read evidence briefs and attended deliberative dialogues in Burkina Faso, Cameroon, Ethiopia, Nigeria, Uganda and Zambia were surveyed before the start of the dialogues – to collect their views on pre-circulated evidence briefs – and at the end of the dialogues – to collect their views on the dialogues. The respondents' assessments of the briefs and dialogues and the respondents' intentions to act on what they had learned were then investigated in descriptive statistical analyses and regression models. Findings Of the 530 individuals who read the evidence briefs and attended dialogues, 304 (57%) and 303 (57%) completed questionnaires about the briefs and dialogues, respectively. Respondents viewed the evidence briefs and deliberative dialogues – as well as each of their key features – very favourably, regardless of the country, issue or group involved. Overall, “not concluding with recommendations” and “not aiming for a consensus” were identified as the least helpful features of the briefs and dialogues, respectively. Respondents generally reported strong intentions to act on what they had learnt. Conclusion Although some aspects of their design may need to be improved or, at least, explained and justified to policy-makers and stakeholders, evidence briefs and deliberative dialogues appear to be highly regarded and to lead to intentions to act.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Surveiller la prévalence, la sensibilisation, le traitement et le contrôle de l'hypertension en Chine deux à trois ans après une réforme majeure du système de santé. Méthodes Les données d'une enquête nationale menée en 2011-2012 auprès de Chinois âgés de 45 ans ou plus (qui comprenait des mesures anthropométriques détaillées) ont été utilisées pour estimer la prévalence de l'hypertension et les pourcentages de patients souffrant d'hypertension, qui ne connaissaient pas, ne recevaient pas de traitement et/ou ne surveillaient pas correctement leur hypertension. Des modèles de Poisson modifiés ont été utilisés pour estimer les risques relatifs (RR). Résultats Au moment de l'enquête, près de 40% des individus chinois âgés de 45 ans ou plus présentaient un trouble de l'hypertension. Parmi les personnes souffrant d'hypertension, plus de 40% ignoraient leur maladie, environ 50% ne recevaient aucun médicament pour la traiter et environ 80% ne la surveillaient pas correctement. En comparaison avec les autres individus souffrant d'hypertension, ceux qui étaient affiliés à des régimes d'assurance couvrant les coûts des soins ambulatoires étaient plus susceptibles d'être au courant de leur hypertension (RR ajusté, rra: 0,737; intervalle de confiance à 95%, IC: 0,619 à 0,878), à recevoir un traitement pour la traiter (rra: 0,795; IC à 95%: 0,680 à 0,929) et à la contrôler efficacement (rra: 0,903; IC à 95%: 0,817 à 0,996). Conclusion En Chine, de nombreux cas d'hypertension restent non détectés et non traités, même si le système de santé semble offrir des soins efficaces aux personnes qui savent qu'elles souffrent d'hypertension. Une réduction des coûts des soins ambulatoires prodigués aux patients pourrait probablement améliorer la gestion de l'hypertension en Chine.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Inspeccionar la prevalencia, concienciación, tratamiento y control de la hipertensión en China dos o tres años después de la reforma principal del sistema sanitario. Métodos Se emplearon los datos de una encuesta nacional realizada en 2011-2012 entre la población china de 45 años o más, que incluyó mediciones antropométricas en detalle, para estimar la prevalencia de la hipertensión y los porcentajes de individuos hipertensos que desconocían padecer esta condición, no recibían tratamiento, y/o no controlaban la hipertensión correctamente. Se utilizaron regresiones de Poisson modificadas para estimar los riesgos relativos (RR). Resultados En el momento de la encuesta, casi el 40 % de los chinos de 45 años o más sufría un trastorno de hipertensión. Entre las personas hipertensas, más del 40 % no era consciente de su condición, el 50 % no recibía ningún medicamento para la hipertensión y el 80 % no la controlaba adecuadamente. En comparación con los otros individuos hipertensos, aquellos que eran miembros de planes de seguros que cubrían los costes de la atención ambulatoria eran más susceptibles de ser conscientes de padecer hipertensión (RR ajustado, RRA: 0,737, intervalo de confianza del 95 %, IC: 0,619 a 0,878) recibir el tratamiento correspondiente (RRA: 0,795, IC del 95 %: 0,680–0,929) y controlarla de forma eficaz (RRA: 0,903; 95% CI: 0,817–0,996). Conclusión En China muchos casos de hipertensión no se diagnostican ni se tratan, incluso aunque el sistema sanitario parece ofrecer una atención eficaz a las personas conscientes de que la padecen. Reducir las tasas de atención ambulatoria a los pacientes probablemente mejoraría la gestión de la hipertensión en China.Resumo em Inglês:
Objective To monitor hypertension prevalence, awareness, treatment and control in China two to three years after major reform of the health system. Methods Data from a national survey conducted in 2011–2012 among Chinese people aged 45 years or older – which included detailed anthropometric measurements – were used to estimate the prevalence of hypertension and the percentages of hypertensive individuals who were unaware of, receiving no treatment for, and/or not controlling their hypertension well. Modified Poisson regressions were used to estimate relative risks (RRs). Findings At the time of the survey, nearly 40% of Chinese people aged 45 years or older had a hypertensive disorder. Of the individuals with hypertension, more than 40% were unaware of their condition, about 50% were receiving no medication for it and about 80% were not controlling it well. Compared with the other hypertensive individuals, those who were members of insurance schemes that covered the costs of outpatient care were more likely to be aware of their hypertension (adjusted RR, aRR: 0.737; 95% confidence interval, CI: 0.619–0.878) to be receiving treatment for it (aRR: 0.795; 95% CI: 0.680–0.929) and to be controlling it effectively (aRR: 0.903; 95% CI: 0.817–0.996). Conclusion In China many cases of hypertension are going undetected and untreated, even though the health system appears to deliver effective care to individuals who are aware of their hypertension. A reduction in the costs of outpatient care to patients would probably improve the management of hypertension in China.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Examiner l'utilisation des intervalles de temps dans le traitement des fémurs fracturés comme indicateurs de la qualité des systèmes de prise en charge des traumatismes Méthodes Les intervalles de temps de la blessure à l'admission, de l'admission à la chirurgie et de la chirurgie à la sortie des patients présentant des fractures du fémur isolées dans quatre pays à revenu faible et intermédiaire ont été comparés aux valeurs correspondantes d'un hôpital allemand, d'un hôpital israélien et de la Banque nationale des Données des Traumatismes des États-Unis d'Amérique à l'aide de tests t de Student. Les corrélations entre les intervalles de temps enregistrés dans un pays et les dépenses de santé et le produit intérieur brut (PIB) de ce pays ont également été évaluées à l'aide du coefficient de corrélation de Pearson. Résultats Par rapport aux patients des pays à revenu élevé, les patients des pays à revenu faible et intermédiaire étaient significativement plus susceptibles d'être des hommes et d'avoir été traités par enclouage ouvert du fémur, et leurs intervalles de temps entre la blessure et l'admission, l'admission et la chirurgie et la chirurgie et la sortie étaient considérablement plus longs. De fortes corrélations négatives ont été détectées entre l'intervalle de temps entre la blessure et l'admission et les dépenses publiques de santé, et entre l'intervalle de temps entre l'admission et la chirurgie et les valeurs par habitant pour les dépenses totales de santé, les dépenses publiques de santé et le PIB. De fortes corrélations positives ont été détectées entre l'intervalle de temps entre la chirurgie et la sortie et les dépenses publiques générales de santé. Conclusion Les intervalles de temps pour le traitement des fractures du fémur sont relativement longs dans les pays à revenu faible et intermédiaire. Ils peuvent être facilement mesurés et sont fortement corrélés aux données nationales accessibles et quantifiables sur la santé et l'économie.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Investigar el uso de intervalos de tiempo en el tratamiento de la fractura de fémur como indicadores de la calidad de los sistemas traumatológicos. Métodos Por medio de pruebas t-Student se compararon los intervalos de tiempo desde la lesión al ingreso, del ingreso a la cirugía y de la cirugía al alta hospitalaria de pacientes con fractura de fémur aislada en cuatro países de ingresos bajos y medianos con los valores correspondientes de un hospital en Alemania, un hospital israelí y el National Trauma Data Bank de Estados Unidos de América. También se evaluaron las correlaciones entre los intervalos de tiempo registrados en un país y el gasto sanitario de ese país y el producto interno bruto (PIB) mediante el coeficiente de correlación del producto-momento de Pearson. Resultados En comparación con los pacientes de los países de ingresos altos, era mucho más probable que los procedentes de países de ingresos bajos y medianos fueran varones y hubieran recibido tratamiento mediante fijación femoral abierta, y los intervalos desde la lesión al ingreso, del ingreso a la cirugía y de la cirugía al alta hospitalaria fueron mucho más largos. Se detectaron correlaciones negativas fuertes entre el intervalo desde la lesión al ingreso y el gasto público en salud, y entre el intervalo desde el ingreso hasta la cirugía y los valores per cápita de gasto total en salud, el gasto público en salud y el PIB. Se detectaron correlaciones positivas fuertes entre el intervalo desde la cirugía hasta el alta hospitalaria y el gasto público general en salud. Conclusión Los intervalos de tiempo en el tratamiento de la fractura de fémur son relativamente largos en los países de ingresos bajos y medianos, se miden fácilmente, y tienen una alta correlación con los datos nacionales accesibles y cuantificables sobre salud y economía.Resumo em Inglês:
Objective To investigate the use of time intervals in the treatment of fractured femurs as indicators of the quality of trauma systems. Methods Time intervals from injury to admission, admission to surgery and surgery to discharge for patients with isolated femur fractures in four low- and middle-income countries were compared with the corresponding values from one German hospital, an Israeli hospital and the National Trauma Data Bank of the United States of America by means of Student's t-tests. The correlations between the time intervals recorded in a country and that country's expenditure on health and gross domestic product (GDP) were also evaluated using Pearson's product moment correlation coefficient. Findings Relative to patients from high-income countries, those from low- and middle-income countries were significantly more likely to be male and to have been treated by open femoral nailing, and their intervals from injury to admission, admission to surgery and surgery to discharge were significantly longer. Strong negative correlations were detected between the interval from injury to admission and government expenditure on health, and between the interval from admission to surgery and the per capita values for total expenditure on health, government expenditure on health and GDP. Strong positive correlations were detected between the interval from surgery to discharge and general government expenditure on health. Conclusion The time intervals for the treatment of femur fractures are relatively long in low- and middle-income countries, can easily be measured, and are highly correlated with accessible and quantifiable country data on health and economics.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Déterminer si une intervention communautaire complexe dans les zones rurales de la Zambie a amélioré la compréhension de la santé maternelle et augmenté l'utilisation des services de soins de santé maternelle. Méthodes L'intervention a eu lieu dans six districts ruraux choisis par le ministère de la Santé zambien. Cela impliquait des discussions communautaires sur le thème de la grossesse et de l'accouchement sans danger, dirigées par des bénévoles formés, ainsi que la fourniture de transports d'urgence. Les bénévoles ont travaillé par le biais des groupes d'action pour une maternité sans risque existants, créés par le gouvernement. Les indicateurs de santé maternelle de référence ont été obtenus auprès de femmes dans les districts de l'intervention (n = 1 775) et dans les districts témoins (n = 1 630). Les effets de l'intervention sur ces indicateurs ont été évalués à l'aide d'une approche de la différence du deuxième degré quasi expérimentale, qui implique l'appariement et l'ajustement des coefficients de propension, tels que le niveau d'étude, la richesse, la parité, l'âge et la distance pour se rendre à un établissement de soins de santé. Résultats La comparaison de la différence du deuxième degré a montré l'intervention à associer aux augmentations significatives des indicateurs de santé maternelle: 14–16% du nombre des femmes qui savaient quand demander des soins prénatals; 10–15% du nombre des femmes qui connaissaient trois signes de dangers obstétricaux; 12–19% du nombre des femmes qui ont utilisé un transport d'urgence; 22–24% des accouchements impliquant un accoucheur qualifié; et 16–21% des accouchements dans un établissement de soins de santé. Le taux d'abandon des bénévoles était faible. Le coût marginal estimé par accouchement supplémentaire impliquant une sage-femme était d'environ 54 dollars, ce qui est comparable aux autres interventions côté demande dans les pays en voie de développement. Conclusion L'intervention communautaire était associée à des améliorations significatives des connaissances des femmes sur les soins prénatals et des signes de dangers obstétricaux, l'utilisation des transports d'urgence et les accouchements impliquant des accoucheurs qualifiés.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Verificar si una intervención comunitaria compleja en las zonas rurales de Zambia mejoró la comprensión sobre salud materna e incrementó el uso de los servicios de salud maternos. Métodos La intervención, dirigida por voluntarios capacitados y la provisión de transporte de emergencia, tuvo lugar en seis distritos rurales seleccionados por el Ministerio de Salud de Zambia y consistió en debates comunitarios sobre un embarazo y parto seguros. Los voluntarios trabajaron a través de grupos de acción para una maternidad sin riesgo existentes establecidos por el gobierno. Los indicadores de salud materna en la base de referencia se obtuvieron de las mujeres de los distritos de intervención (n = 1775) y control (n = 1630). Se evaluó el efecto de la intervención en estos indicadores mediante un enfoque de diferencias en diferencias cuasi-experimental que incluyó un emparejamiento por puntaje de propensión y el ajuste por factores de confusión como la educación, la riqueza, la paridad, la edad y la distancia a un centro de atención de salud. Resultados La comparación de diferencias en diferencias mostró que la intervención se asocia a un aumento significativo en los indicadores de salud materna: 14-16 % en el número de mujeres que sabían cuándo debían buscar atención prenatal; 10-15 % en las mujeres que conocían tres señales de peligro obstétricas; 12-19 % en las que utilizaron el transporte de emergencia; 22-24 % en los partos que necesitaron un matrón capacitado, y 16-21 % en los partos en un centro de atención de salud. La tasa de abandono voluntario fue baja. El coste incremental estimado por parto adicional con un matrón capacitado fue de unos 54 dólares de los Estados Unidos, similar al de otras intervenciones relativas a la demanda en los países en desarrollo. Conclusión La intervención comunitaria se asocia con mejoras significativas en el conocimiento de las mujeres sobre la atención prenatal y las señales de peligro obstétricas, el uso del transporte de emergencia y los partos con matrones capacitados.Resumo em Inglês:
Objective To determine whether a complex community intervention in rural Zambia improved understanding of maternal health and increased use of maternal health-care services. Methods The intervention took place in six rural districts selected by the Zambian Ministry of Health. It involved community discussions on safe pregnancy and delivery led by trained volunteers and the provision of emergency transport. Volunteers worked through existing government-established Safe Motherhood Action Groups. Maternal health indicators at baseline were obtained from women in intervention (n = 1775) and control districts (n = 1630). The intervention's effect on these indicators was assessed using a quasi-experimental difference-in-difference approach that involved propensity score matching and adjustment for confounders such as education, wealth, parity, age and distance to a health-care facility. Findings The difference-in-difference comparison showed the intervention to be associated with significant increases in maternal health indicators: 14–16% in the number of women who knew when to seek antenatal care; 10–15% in the number who knew three obstetric danger signs; 12–19% in those who used emergency transport; 22–24% in deliveries involving a skilled birth attendant; and 16–21% in deliveries in a health-care facility. The volunteer drop-out rate was low. The estimated incremental cost per additional delivery involving a skilled birth attendant was around 54 United States dollars, comparable to that of other demand-side interventions in developing countries. Conclusion The community intervention was associated with significant improvements in women's knowledge of antenatal care and obstetric danger signs, use of emergency transport and deliveries involving skilled birth attendants.Resumo em Francês:
Résumé Pendant la pandémie de grippe à virus A(H1N1) de l'année 2009, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a demandé à tous les États membres de fournir les données par cas sur au moins les 100 premiers cas de grippe confirmés en laboratoire afin d'obtenir une compréhension précoce de la pandémie et de fournir les directives appropriées aux pays touchés. En examinant la stratégie de surveillance de la pandémie, nous avons évalué l'utilité de la collecte des données par cas et les défis à relever dans l'interprétation de ces données au niveau mondial. Pour ce faire, nous avons évalué le respect des recommandations en matière de surveillance et l'exhaustivité des données des dossiers des cas soumis, et nous avons décrit les caractéristiques épidémiologiques des 110 premiers cas signalés de chaque pays, regroupés en régions. Sur la période allant d'avril 2009 à août 2011, l'OMS a reçu plus de 18 000 dossiers de cas fournis par 84 pays. Les données sont parvenues à l'OMS à différents intervalles de temps, sous différents formats et sans informations sur les méthodes de collecte. À peine plus de la moitié des 18 000 dossiers a donné la date d'apparition des symptômes, ce qui ne permet pas d'évaluer si les cas reçus faisaient partie des premiers cas à être confirmés. Les analyses épidémiologiques descriptives se sont limitées à synthétiser les rapports d'âge, de masculinité et d'hospitalisation. L'analyse centralisée des données par cas n'a que très peu de valeur dans la description des principales caractéristiques de la pandémie. Les résultats sont difficiles à interpréter et pourraient induire en erreur s'ils sont pris isolément. Une meilleure approche consisterait à identifier les questions essentielles, à normaliser les éléments des données et les méthodes d'investigation, et à créer des canaux efficaces de communication entre les pays et la communauté de la santé publique internationale. Les échanges réguliers de données de surveillance de routine aideront à consolider ces canaux de communication essentiels.Resumo em Espanhol:
Resumen Durante la pandemia de gripe A (H1N1) del año 2009, la Organización Mundial de la salud (OMS) pidió a todos los Estados miembros que proporcionaran datos de hasta los primeros 100 casos de gripe confirmados en laboratorios con objeto de comprender con rapidez la pandemia y proporcionar orientación adecuada a los países afectados. Con objeto de examinar la estrategia de vigilancia de la pandemia, hemos evaluado la utilidad de la recogida de datos sobre casos y los desafíos que supuso la interpretación de esos datos a nivel internacional. Para ello, evaluamos el cumplimiento con las recomendaciones de vigilancia y la integridad de los datos de los registros enviados y describimos las características epidemiológicas de, como mucho, los 110 primeros casos de cada país, agrupados por regiones. Entre abril de 2009 y agosto de 2011, la OMS recibió más de 18 000 registros de casos de 84 países en intervalos de tiempo y formatos distintos, y sin información alguna sobre los métodos de recogida. Solo algo más de la mitad de los 18 000 registros indicaba la fecha de aparición de los síntomas, lo que dificultó evaluar si los casos se encontraban entre los primeros que se confirmaron. Los análisis epidemiológicos descriptivos se limitaron a resumir las proporciones por edad, sexo y hospitalización. Los análisis centralizados de datos sobre casos tuvieron poco valor en la descripción de las características fundamentales de la epidemia. Fue difícil interpretar los resultados, que habrían resultado engañosos si se hubieran observado de forma aislada. Un enfoque más apropiado permitiría identificar las cuestiones críticas, estandarizar los datos y los métodos de investigación, y crear canales de comunicación entre los países y la comunidad sanitaria internacional. El intercambio regular de datos de vigilancia rutinarios ayudará a consolidar dichos canales de comunicación fundamentales.Resumo em Inglês:
During the 2009 A(H1N1) influenza pandemic, the World Health Organization (WHO) asked all Member States to provide case-based data on at least the first 100 laboratory-confirmed influenza cases to generate an early understanding of the pandemic and provide appropriate guidance to affected countries. In reviewing the pandemic surveillance strategy, we evaluated the utility of case-based data collection and the challenges in interpreting these data at the global level. To do this, we assessed compliance with the surveillance recommendation and data completeness of submitted case records and described the epidemiological characteristics of up to the first 110 reported cases from each country, aggregated into regions. From April 2009 to August 2011, WHO received over 18 000 case records from 84 countries. Data reached WHO at different time intervals, in different formats and without information on collection methods. Just over half of the 18 000 records gave the date of symptom onset, which made it difficult to assess whether the cases were among the earliest to be confirmed. Descriptive epidemiological analyses were limited to summarizing age, sex and hospitalization ratios. Centralized analysis of case-based data had little value in describing key features of the pandemic. Results were difficult to interpret and would have been misleading if viewed in isolation. A better approach would be to identify critical questions, standardize data elements and methods of investigation, and create efficient channels for communication between countries and the international public health community. Regular exchange of routine surveillance data will help to consolidate these essential channels of communication.Resumo em Francês:
Résumé Moins de 20% des patients atteints de tuberculose multirésistante (MDR) reçoivent actuellement un traitement et il est urgent de renforcer les programmes de traitement. Un des plus grands obstacles à ce renforcement est le schéma thérapeutique qui est long, complexe, inefficace, mal toléré et coûteux. Pour la première fois en plus de 50 ans, de nouveaux médicaments ont été développés spécifiquement pour traiter la tuberculose, dont la bedaquiline et potentiellement la delamanid qui devraient être bientôt disponibles pour traiter les cas de MDR. Cependant, si les nouveaux médicaments sont juste ajoutés au schéma thérapeutique actuel, le nouveau schéma thérapeutique sera au moins aussi long, lourd et toxique que celui qui existe déjà. Il est urgent d'élaborer une stratégie et d'obtenir des preuves concernant la façon de maximiser le potentiel des nouveaux médicaments pour améliorer les résultats et raccourcir la durée du traitement. Nous avons mis au point huit principes clés pour la conception des futurs schémas thérapeutiques afin de s'assurer que, une fois qu'ils aient été éprouvés comme sûrs dans des essais cliniques, ils soient cliniquement efficaces et utilisables dans le cadre d'un programme. Les schémas thérapeutiques doivent comprendre au moins une nouvelle classe de médicament; être généralement applicables pour une utilisation contre les MDR et plus largement contre les souches complexes de Mycobacterium tuberculosis multirésistantes; comprendre trois des cinq médicaments efficaces, chacun provenant d'une classe de médicament différent; être administré par voie orale; avoir un schéma posologique simple; avoir un bon profil d'effets secondaires permettant un suivi limité; durer au moins 6 mois et avoir le moins d'interaction possible avec les antirétroviraux. Suivre ces principes maximisera le potentiel des nouveaux composés et permettra de surmonter les inconvénients cliniques et programmatiques, ainsi que les contraintes qui plombent le schéma thérapeutique actuel.Resumo em Espanhol:
Resumen Menos del 20 % de los pacientes con tuberculosis multirresistente (MDR) recibe tratamiento, al tiempo que existe una necesidad apremiante de ampliar los programas de tratamiento. Uno de los mayores obstáculos para la ampliación es el propio programa de tratamiento, el cual resulta largo, complejo, ineficaz, caro y no se tolera bien. Por primera vez en más de 50 años se han desarrollado fármacos nuevos específicos para tratar la tuberculosis y se espera que la bedaquilina y, potencialmente, la delamanida estén disponibles pronto para tratar los casos de tuberculosis multirresistente. Sin embargo, si se limitan a introducir los fármacos nuevos al programa de tratamiento actual, el programa nuevo será, como mínimo, tan largo, complicado y tóxico como el presente. Es, por tanto, muy urgente diseñar una estrategia y reunir pruebas sobre cómo maximizar el potencial de los fármacos nuevos para mejorar los resultados y acortar el tratamiento. Hemos establecido ocho principios esenciales para el diseño de los programas de tratamiento futuros a fin de garantizar que, una vez que se hayan probado en ensayos clínicos, sean eficaces desde el punto de vista clínico y viables mediante programación. Los programas deben contener, al menos, un tipo nuevo de fármaco, poder aplicarse de forma amplia para su uso contra la tuberculosis multirresistente y las cepas complejas de Mycobacterium tuberculosis ultrarresistentes, contener de tres a cinco medicamentos eficaces, cada uno de una clase de fármaco diferente; suministrarse por vía oral, tener un horario de dosificación simple y un perfil adecuado de efectos secundarios que permita una supervisión restringida, durar un máximo de 6 meses y tener una interacción mínima con antirretrovirales. Si se siguen estos principios, se maximizará el potencial de los compuestos nuevos y será más fácil superar los inconvenientes clínicos y programáticos, así como las barreras a la ampliación que abundan en el programa actual.Resumo em Inglês:
Fewer than 20% of patients with multidrug-resistant (MDR) tuberculosis are receiving treatment and there is an urgent need to scale up treatment programmes. One of the biggest barriers to scale-up is the treatment regimen, which is lengthy, complex, ineffective, poorly tolerated and expensive. For the first time in over 50 years, new drugs have been developed specifically to treat tuberculosis, with bedaquiline and potentially delamanid expected to be available soon for treatment of MDR cases. However, if the new drugs are merely added to the current treatment regimen, the new regimen will be at least as lengthy, cumbersome and toxic as the existing one. There is an urgent need for strategy and evidence on how to maximize the potential of the new drugs to improve outcomes and shorten treatment. We devised eight key principles for designing future treatment regimens to ensure that, once they are proven safe in clinical trials, they will be clinically effective and programmatically practicable. Regimens should contain at least one new class of drug; be broadly applicable for use against MDR and extensively drug-resistant Mycobacterium tuberculosis complex strains; contain three to five effective drugs, each from a different drug class; be delivered orally; have a simple dosing schedule; have a good side-effect profile that allows limited monitoring; last a maximum of 6 months; and have minimal interaction with antiretrovirals. Following these principles will maximize the potential of new compounds and help to overcome the clinical and programmatic disadvantages and scale-up constraints that plague the current regimen.