Resumo em Inglês:
What started as an ambitious effort to tackle six vaccine-preventable diseases has become one of the world’s most successful public health programmes. This month the Expanded Programme on Immunization marks its 40 years. Michael Reid and Fiona Fleck report.Resumo em Inglês:
This month the World Health Assembly discusses the post-2015 global tuberculosis strategy and accompanying set of targets. Giovanni Battista Migliori tells Fiona Fleck how his institute – one of WHO’s thousands of partners across the globe – can contribute in future to its implementation, once it is approved.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Caractériser la saisonnalité de la grippe et identifier le meilleur moment de l'année pour la vaccination contre la grippe dans les pays tropicaux et subtropicaux de l'Asie du Sud et de l'Asie du Sud-Est, qui sont situés au nord de l'équateur. Méthodes Les données hebdomadaires de la surveillance de la grippe pour la période allant de 2006 à 2001 ont été obtenues auprès du Bangladesh, du Cambodge, de l'Inde, de la République démocratique populaire lao, de la Malaisie, des Philippines, de Singapour, de la Thaïlande et du Viet Nam. Les taux hebdomadaires de l'activité grippale étaient basés sur le pourcentage de tous les échantillons nasopharyngés collectés au cours de l'année et dont les tests étaient positifs au virus de la grippe ou à l'acide nucléique viral au cours d'une semaine donnée. Les pourcentages de cas positifs mensuels ont été ensuite calculés pour définir les pics annuels de l'activité grippale au sein de chaque pays et entre les pays. Résultats L'activité grippale atteint son pic entre les mois de juin/juillet et octobre dans sept pays, parmi lesquels trois pays ont présenté un second pic entre les mois de décembre et février. Les pays proches de l'équateur présentent une circulation continue sans pic distinct. Les types et sous-types viraux varient d'une année à l'autre, mais pas entre les pays au cours d'une année donnée. Le pourcentage cumulatif des prélèvements dont les tests étaient positifs de juin à novembre, était supérieur à 60% au Bangladesh, au Cambodge, en Inde, en République démocratique populaire lao, aux Philippines, en Thaïlande et au Viet Nam. Par conséquent, ces pays tropicaux et subtropicaux ont enregistré plus tôt des pics d'activité grippale que dans les pays à climat tempéré situés au nord de l'équateur. Conclusion La plupart des pays de l'Asie du Sud et de l'Asie du Sud-Est, situés au nord de l'équateur, devraient envisager la vaccination contre la grippe pendant la période allant d'avril à juin. Les pays proches de l'équateur sans pic distinct d'activité grippale peuvent baser leur calendrier de vaccination sur leurs facteurs locaux.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Describir la estacionalidad de la gripe e identificar el mejor momento del año para llevar a cabo la vacunación contra la gripe en países tropicales y subtropicales del sur y sureste de Asia situados al norte del ecuador. Métodos Se obtuvieron los datos semanales de vigilancia de la gripe de los años 2006 a 2011 de Bangladesh, Camboya, India, Indonesia, la República Democrática Popular Lao, Malasia, Filipinas, Singapur, Tailandia y Viet Nam. Las tasas semanales de la actividad de la gripe se basaron en el porcentaje de todas las muestras nasofaríngeas recogidas durante el año que dieron positivo en la prueba del virus de la gripe o del ácido nucleido viral en cualquier semana. Los índices de resultados positivos mensuales se calcularon luego a fin de determinar los picos anuales de la actividad de la gripe en cada uno de los países y entre países. Resultados La actividad de la gripe experimentó un aumento entre junio y julio, y octubre en siete países, tres de los cuales mostraron un segundo pico de actividad de diciembre a febrero. Los países más cercanos al ecuador presentaron una circulación durante todo el año sin picos discontinuos. Los tipos y subtipos virales variaron de año en año, pero no entre los países en un año determinado. La proporción acumulada de individuos que dieron positivo de junio a noviembre fue > 60 % en Bangladesh, Camboya, India, la República Democrática Popular Lao, Filipinas, Tailandia y Viet Nam. Así, en estos países tropicales y subtropicales, los picos de actividad de la gripe se produjeron antes que en los países de clima templado al norte de la línea ecuatorial. Conclusión La mayoría de los países del sur y sureste asiático situados al norte del ecuador deberían considerar llevar a cabo la vacunación contra la gripe de abril a junio; mientras que los países cercanos al ecuador sin picos marcados en la actividad de la gripe pueden basar la fecha de vacunación en factores locales.Resumo em Inglês:
Objective To characterize influenza seasonality and identify the best time of the year for vaccination against influenza in tropical and subtropical countries of southern and south-eastern Asia that lie north of the equator. Methods Weekly influenza surveillance data for 2006 to 2011 were obtained from Bangladesh, Cambodia, India, Indonesia, the Lao People's Democratic Republic, Malaysia, the Philippines, Singapore, Thailand and Viet Nam. Weekly rates of influenza activity were based on the percentage of all nasopharyngeal samples collected during the year that tested positive for influenza virus or viral nucleic acid on any given week. Monthly positivity rates were then calculated to define annual peaks of influenza activity in each country and across countries. Findings Influenza activity peaked between June/July and October in seven countries, three of which showed a second peak in December to February. Countries closer to the equator had year-round circulation without discrete peaks. Viral types and subtypes varied from year to year but not across countries in a given year. The cumulative proportion of specimens that tested positive from June to November was > 60% in Bangladesh, Cambodia, India, the Lao People's Democratic Republic, the Philippines, Thailand and Viet Nam. Thus, these tropical and subtropical countries exhibited earlier influenza activity peaks than temperate climate countries north of the equator. Conclusion Most southern and south-eastern Asian countries lying north of the equator should consider vaccinating against influenza from April to June; countries near the equator without a distinct peak in influenza activity can base vaccination timing on local factors.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Évaluer l'effet des bons pour les soins de maternité dans les établissements publics de santé sur l'utilisation des services de santé maternelle au Cambodge. Méthodes L'étude a utilisé des données tirées de l'Enquête démographique et sanitaire du Cambodge de 2010, qui couvre les naissances ayant eu lieu entre 2005 et 2010. L'effet des programmes de bons, mis en œuvre au départ en 2007, sur l'utilisation des services de santé maternelle a été quantifié en utilisant la méthode des doubles différences, qui a comparé les variations d'utilisation dans les districts bénéficiant de programmes de bons avec les variations d'utilisation dans les districts sans programme de bons. Résultats En général, les programmes de bons étaient associés à une augmentation de 10,1 points de pourcentage (pp) de la probabilité d'accouchement dans un établissement public de soins de santé. Chez les femmes issues des 40% des ménages les plus pauvres, l'augmentation était de 15,6 pp. Les bons étaient responsables d'environ un cinquième de l'augmentation observée pour les accouchements dans les établissements des districts bénéficiant de programmes de bons. Les programmes de bons universels ont eu un effet plus important sur la probabilité d'accouchement dans un établissement public que les programmes ciblant les femmes les plus pauvres. Les deux types de programmes ont augmenté la probabilité de bénéficier de soins postnatals, mais cette augmentation était uniquement significative chez les femmes non pauvres. Le programme de bons universels et non ciblés a considérablement augmenté la probabilité de bénéficier de soins anténatals. Conclusion Les programmes de bons ont augmenté le nombre d'accouchements dans les centres de santé et, dans une moindre mesure, amélioré les soins anténatals et postnatals. Cependant, les programmes ciblant les femmes les plus pauvres n'ont pas paru efficaces, car ces femmes étaient plus susceptibles que les femmes moins pauvres d'être incitées à accoucher dans un établissement public de soins de santé, même avec des programmes de bons universels.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Evaluar el efecto de los bonos para atención sanitaria materna en centros de salud públicos sobre la utilización de los servicios de atención sanitaria materna en Camboya. Métodos El estudio incluyó datos de la Encuesta demográfica y sanitaria de Camboya del año 2010, que recolecta los nacimientos que tuvieron lugar entre 2005 y 2010. Se cuantificó el efecto de los sistemas de bonos, puestos en práctica por primera vez en el año 2007, sobre la utilización de los servicios de atención sanitaria materna por medio de un método de diferencia de diferencias que comparó los cambios en la utilización de dichos servicios en los distritos con sistemas de bonos respecto a los de los distritos sin sistemas de bonos. Resultados En general, los sistemas de bonos están asociados con a un aumento de 10,1 puntos porcentuales (pp) en la probabilidad de parto en un centro público de atención sanitaria; entre las mujeres del 40% de los hogares más pobres, el aumento fue de 15,6 pp. Los bonos fueron responsables de alrededor de una quinta parte del incremento observado en los partos institucionales en los distritos con programas. Los sistemas de bonos universales tuvieron un efecto mayor sobre la probabilidad de dar a luz en un centro público que los sistemas destinados a las mujeres más pobres. Ambos tipos de sistemas aumentaron la posibilidad de recibir atención postnatal, pero dicho incremento fue significativo solo para las mujeres que no eran pobres. Los sistemas de bonos universales no dirigidos a un grupo en concreto aumentaron notablemente la probabilidad de recibir atención prenatal. Conclusión Los sistemas de bonos aumentaron el número de partos en los centros de salud y, en menor medida, mejoraron la atención prenatal y postnatal. Sin embargo, los sistemas dirigidos a las mujeres más pobres no parecen ser eficientes, ya que estas mujeres ya tenían más probabilidades que las mujeres menos pobres de que se les animara a dar a luz en un centro público de atención sanitaria , incluso con los sistemas de bonos universales.Resumo em Inglês:
Objective To evaluate the effect of vouchers for maternity care in public health-care facilities on the utilization of maternal health-care services in Cambodia. Methods The study involved data from the 2010 Cambodian Demographic and Health Survey, which covered births between 2005 and 2010. The effect of voucher schemes, first implemented in 2007, on the utilization of maternal health-care services was quantified using a difference-in-differences method that compared changes in utilization in districts with voucher schemes with changes in districts without them. Findings Overall, voucher schemes were associated with an increase of 10.1 percentage points (pp) in the probability of delivery in a public health-care facility; among women from the poorest 40% of households, the increase was 15.6 pp. Vouchers were responsible for about one fifth of the increase observed in institutional deliveries in districts with schemes. Universal voucher schemes had a larger effect on the probability of delivery in a public facility than schemes targeting the poorest women. Both types of schemes increased the probability of receiving postnatal care, but the increase was significant only for non-poor women. Universal, but not targeted, voucher schemes significantly increased the probability of receiving antenatal care. Conclusion Voucher schemes increased deliveries in health centres and, to a lesser extent, improved antenatal and postnatal care. However, schemes that targeted poorer women did not appear to be efficient since these women were more likely than less poor women to be encouraged to give birth in a public health-care facility, even with universal voucher schemes.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Analyser l'épidémiologie de la rougeole en Chine et déterminer les progrès réalisés sur la voie de l'élimination nationale de la maladie. Méthodes Nous avons analysé les données de surveillance de la rougeole – concernant l'âge, le sexe, le lieu de résidence et le statut vaccinal de chaque cas et les résultats correspondants, les dates de l'apparition et de signalement de la maladie, et les résultats de laboratoire –collectées entre janvier 2005 et octobre 2013 Résultats Entre 2005 et octobre 2013, 596 391 cas de rougeole et 368 décès liés à la rougeole ont été signalés en Chine. L'incidence annuelle exprimée en cas pour 100 000 habitants a diminué de 9,95 en 2008 à 0,46 en 2012, mais a ensuite augmenté à plus de 1,96 en 2013. Le nombre de provinces ayant signalé une incidence annuelle inférieure à un cas pour un million d'habitants a augmenté de 1 en 2009 à 15 en 2012, mais est retombé à 1 en 2013. L'âge médian des cas a diminué de 83 mois en 2005 à 14 mois en 2012 et à 11 mois pendant la période allant de janvier à octobre 2013. Entre 2008 et 2012, l'incidence de la rougeole dans tous les groupes d'âge, y compris ceux qui ne sont pas ciblés pour la vaccination, a diminué d'au moins 93,6%. Cependant, la résurgence a commencé à la fin de l'année 2012 et s'est poursuivie en 2013. Parmi les cas signalés de janvier à octobre 2013, 40% étaient âgés de 8 mois à 6 ans. Conclusion Bien qu'il y ait des preuves de progrès vers l'objectif d'élimination de la rougeole en Chine, la résurgence de 2013 indique que de nombreux enfants n'étaient toujours pas vaccinés à temps. La vaccination de routine doit être renforcée et les lacunes immunitaires restantes doivent être identifiées et comblées.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Analizar la epidemiología del sarampión en China y determinar el progreso hecho hacia la erradicación nacional de la enfermedad. Métodos Hemos analizado los datos de vigilancia del sarampión recogidos entre enero de 2005 y octubre de 2013 en base a la edad, el sexo, la residencia y el estado de vacunación de cada caso y el resultado correspondiente, las fechas de inicio de la enfermedad y de su comunicación, y los resultados de laboratorio. Resultados Entre 2005 y octubre de 2013, se registraron 596 391 casos de sarampión y 368 muertes relacionadas con el sarampión en China. La incidencia anual, en casos por 100 000 habitantes, descendió del 9,95 en 2008 al 0,46 en 2012, pero volvió a aumentar en el 2013 hasta más del 1,96. El número de provincias que informó acerca de una incidencia anual de menos de un caso por millón de habitantes aumentó de una en 2009 a 15 en 2012, pero volvió a caer a una en 2013. La edad media de los casos disminuyó de 83 a 14 meses en 2012, y a 11 meses de enero a octubre de 2013. Entre 2008 y 2012, la incidencia del sarampión en todos los grupos de edad, incluidos los que no estaban incluidos en la vacunación, se redujo en al menos un 93,6 %. Sin embargo, un resurgimiento comenzó a finales de 2012 y continuó en 2013. De los casos comunicados de enero a octubre de 2013, el 40 % tenía entre 8 meses y 6 años. Conclusión Aunque hay pruebas de los progresos hacia la erradicación del sarampión en China, el resurgimiento en el año 2013 mostró que todavía hay muchos niños que no reciben la vacuna a tiempo. Es necesario reforzar la vacunación sistemática e identificar y completar las lagunas restantes en la inmunización.Resumo em Inglês:
Objective To analyse the epidemiology of measles in China and determine the progress made towards the national elimination of the disease. Methods We analysed measles surveillance data – on the age, sex, residence and vaccination status of each case and the corresponding outcome, dates of onset and report and laboratory results – collected between January 2005 and October 2013. Findings Between 2005 and October 2013, 596 391 measles cases and 368 measles-related deaths were reported in China. Annual incidence, in cases per 100 000 population, decreased from 9.95 in 2008 to 0.46 in 2012 but then rose to more than 1.96 in 2013. The number of provinces that reported an annual incidence of less than one case per million population increased from one in 2009 to 15 in 2012 but fell back to one in 2013. Median case age decreased from 83 months in 2005 to 14 months in 2012 and 11 months in January to October 2013. Between 2008 and 2012, the incidence of measles in all age groups, including those not targeted for vaccination, decreased by at least 93.6%. However, resurgence started in late 2012 and continued into 2013. Of the cases reported in January to October 2013, 40% were aged 8 months to 6 years. Conclusion Although there is evidence of progress towards the elimination of measles from China, resurgence in 2013 indicated that many children were still not being vaccinated on time. Routine immunization must be strengthened and the remaining immunity gaps need to be identified and filled.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Évaluer si la naissance d'un nouvel enfant a eu un effet sur la santé mentale des mères chinoises qui ont perdu un enfant pendant un tremblement de terre. Méthodes Une étude transversale sur des mères endeuillées a été menée 30 à 34 mois après le tremblement de terre au Sichuan de 2008, en faisant appel à des entretiens structurés individuels permettant d'évaluer les caractéristiques sociodémographiques, ainsi que les expériences et la santé mentale après la catastrophe. Ces entretiens comprenaient des mesures psychométriques normalisées de l'anxiété, de la dépression, des troubles de stress post-traumatique (TSPT) et du deuil compliqué (DC). Le soutien social a également été évalué. Un modèle ajusté tenant compte des facteurs perturbateurs potentiels a été utilisé pour étudier toute association entre les symptômes psychologiques et la naissance d'un nouvel enfant. Résultats La prévalence des symptômes psychologiques était supérieure chez les mères qui n'ont pas eu d'autre enfant après avoir perdu le premier. Dans un modèle ajusté, les symptômes d'anxiété (rapport des cotes, RC: 3,37; intervalle de confiance, IC de 95%: 1,51–7,50), de dépression (RC: 9,47; IC de 95%: 2,58–34,80), de TSPT (RC: 5,11; IC de 95%: 2,31–11,34) et de DC (RC: 10,73; IC de 95%: 1,88–61,39) étaient significativement plus élevés chez les 116 femmes qui n'ont pas eu un autre enfant que chez les 110 mères qui en ont eu un autre après le décès du premier. Plus des deux tiers des mères qui ont eu un nouvel enfant présentaient des symptômes psychologiques cliniquement importants. Conclusion Les femmes qui ont perdu leur enfant unique dans une catastrophe naturelle sont particulièrement vulnérables aux problèmes psychologiques à long terme, surtout si elles ont atteint un âge où il est difficile de concevoir. La recherche devrait se concentrer sur le développement et l'évaluation des interventions destinées à apporter aux femmes un soutien psychosocial et des services de santé génésique.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Evaluar si tener un hijo posterior tuvo algún efecto en la salud mental de las madres chinas que perdieron a un hijo durante el terremoto. Métodos Se llevó a cabo un estudio transversal de madres en duelo entre 30 y 34 meses después del terremoto de Sichuan del año 2008, para lo que se realizaron entrevistas estructuradas de carácter individual con el fin de evaluar sus características sociodemográficas, sus experiencias tras el desastre y su salud mental. Las entrevistas incluyeron la medición psicométrica estandarizada de la ansiedad, la depresión, el trastorno de estrés postraumático (TEPT) y el duelo complicado, y también se evaluó el apoyo social. Se empleó un modelo ajustado que tomaba en consideración posibles factores para examinar cualquier relación entre los síntomas psicológicos y el nacimiento del siguiente hijo. Resultados La prevalencia de los síntomas psicológicos fue mayor en las madres que no tuvieron otro hijo tras perder al primero. En un modelo ajustado, los síntomas de ansiedad (cociente de posibilidades, OR: 3,37; intervalo de confianza del 95%, IC: 1,51–7,50), depresión (OR: 9,47; IC del 95%: 2,58–34,80), TEPT (OR: 5,11; IC del 95%: 2,31–11,34) y duelo complicado (OR: 10,73; IC del 95%: 1,88–61,39) fueron notablemente superiores entre las 116 mujeres sin un hijo posterior que entre las 110 mujeres que habían tenido otro hijo tras el duelo. Más de dos terceras partes de las madres con bebés recientes presentaban síntomas psicológicos clínicamente relevantes. Conclusión Las mujeres que han perdido a un hijo único en un desastre natural son especialmente vulnerables a los problemas psicológicos a largo plazo, en particular cuando han alcanzado una edad en la que es difícil concebir de nuevo. La investigación debería centrarse en el desarrollo y la evaluación de intervenciones diseñadas para proporcionar a las mujeres apoyo psicológico y servicios de reproducción.Resumo em Inglês:
Objective To assess whether having a subsequent child had an effect on the mental health of Chinese mothers who lost a child during an earthquake. Methods A cross-sectional survey of bereaved mothers was conducted 30 to 34 months after the 2008 Sichuan earthquake using individual structured interviews to assess sociodemographic characteristics, post-disaster experiences and mental health. The interviews incorporated standardized psychometric measures of anxiety, depression, post-traumatic stress disorder (PTSD) and complicated grief (CG). Social support was also assessed. An adjusted model taking potential confounders into account was used to explore any association between psychological symptoms and the birth of a subsequent child. Findings The prevalence of psychological symptoms was higher in mothers who did not have a child after losing the first one. In an adjusted model, symptoms of anxiety (odds ratio, OR: 3.37; 95% confidence interval, CI: 1.51–7.50), depression (OR: 9.47; 95% CI: 2.58–34.80), PTSD (OR: 5.11; 95% CI: 2.31–11.34) and CG (OR: 10.73; 95% CI: 1.88–61.39) were significantly higher among the 116 women without a subsequent child than among the 110 mothers who had another child after bereavement. More than two thirds of the mothers with new infants had clinically important psychological symptoms. Conclusion Women who have lost an only child in a natural disaster are especially vulnerable to long-term psychological problems, especially if they have reached an age when conception is difficult. Research should focus on developing and evaluating interventions designed to provide women with psychosocial support and reproductive services.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Analyser les données tirées des essais contrôlés randomisés (ECR) sur la prévention et le contrôle des maladies tropicales négligées (MTN) et identifier les domaines où les données manquent. Méthodes Des recherches sur les ECR ont été menées dans le registre central de Cochrane des essais contrôlés (Cochrane Central Register of Controlled Trials) et PubMed, et des recherches sur les méta-analyses et les revues systématiques ont été effectuées dans la base de données de Cochrane et PubMed, depuis la date de leur création jusqu'au 31 décembre 2012. Résultats Globalement, 258 ECR ont été trouvés sur la trypanosomiase américaine, l'ulcère de Buruli, la dengue, les infections à géohelminthes, la leishmaniose, la lèpre, la filariose lymphatique, l'onchocercose, la rage, la schistosomiase ou le trachome. Aucun ECR n'a été trouvé sur la cysticercose, l'échinococcose, les trématodes d'origine alimentaire, la dracunculose ou la trypanosomiase humaine africaine. Les maladies les plus étudiées étaient les infections à géohelminthes (51 ECR) et la leishmaniose (46 ECR). Les vaccins, la chimioprophylaxie et les interventions ciblant les insectes vecteurs ont été évalués dans 113, 99 et 39 ECR, respectivement. Un faible nombre s'intéressait à la meilleure manière d'administrer une chimiothérapie préventive, comme le choix de l'intervalle posologique (10) ou de la population cible (4), la couverture de population nécessaire pour réduire la transmission (2) ou la méthode de distribution des médicaments (1). Trente et une publications contenant 32 revues systématiques (16 avec et 16 sans méta-analyses) ont été trouvées sur la trypanosomiase américaine, la dengue, les géohelminthes, la leishmaniose, la lèpre, la filariose lymphatique, l'onchocercose, la schistosomiase ou le trachome. Ensemble, ils comptent seulement 79 des 258 ECR publiés (30,6%). Parmi les 36 interventions évaluées, 8 ont été jugées efficaces dans plusieurs revues. Conclusion Nous avons trouvé peu d'ECR sur la prévention ou le contrôle des principales MTN. Les essais sur la meilleure façon d'administrer une chimiothérapie préventive ont été particulièrement rares.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Analizar las evidencias procedentes de ensayos controlados aleatorios (RCT, por sus siglas en inglés) sobre la prevención y el control de enfermedades tropicales desatendidas e identificar las áreas en las que se carece de evidencias. Métodos Se buscaron RCT en el Registro Central Cochrane de Ensayos Controlados y en PubMed, así como metaanálisis y exámenes sistemáticos en la Base de Datos Cochrane de Revisiones Sistemáticas y en PubMed, en ambos casos, desde sus comienzos hasta el 31 de diciembre de 2012. Resultados En total, se hallaron 258 RCT acerca de la infección por el parásito Trypanosoma cruzi, la úlcera de Buruli, el dengue, las infecciones por geohelmintiasis, la leishmaniasis, la lepra, la filariasis linfática, la oncocercosis, las rabias, la esquistosomiasis o el tracoma. No se encontraron RCT sobre la cisticercosis, la equinococosis, las nematodiasis transmitidas por los alimentos, la dracunculosis ni la tripanosomiasis africana humana. Las enfermedades más estudiadas fueron la infección por geohelmiantiasis (51 RCT) y la leishmaniasis (46 RCT). Las vacunas, quimioprofilaxis e intervenciones cuyo objetivo eran los insectos que actúan como vectores quedaron evaluadas en 113, 99 y 39 RCT, respectivamente. Unos pocos ensayos abordaron la mejor manera de administrar quimioterapia preventiva, como la elección del intervalo de dosificación (10) o la población objetivo (4), la cobertura de la población requerida para reducir la transmisión (2) o el método de distribución de medicamentos (1). Se encontraron 31 publicaciones que incluían 32 exámenes sistemáticos (16 con metaanálisis y 16 sin metaanálisis) sobre la infección por el parásito Trypanosoma cruzi, el dengue, los geohelmintos, la leishmaniasis, la lepra, la filariasis linfática, la oncocercosis, la esquistosomiasis y el tracoma. En su conjunto, solo incluyeron 79 de los 258 RCT publicados (30,6 %). De las 36 intervenciones evaluadas, 8 se consideraron eficaces en más de un examen. Conclusión Se hallaron pocos RCT sobre la prevención y el control de las principales enfermedades tropicales desatendidas. Los ensayos sobre la mejor manera de administrar quimioterapia preventiva fueron especialmente escasos.Resumo em Inglês:
Objective To analyse evidence from randomized controlled trials (RCTs) on the prevention and control of neglected tropical diseases (NTDs) and to identify areas where evidence is lacking. Methods The Cochrane Central Register of Controlled Trials and PubMed were searched for RCTs and the Cochrane Database of Systematic Reviews and PubMed were searched for meta-analyses and systematic reviews, both from inception to 31 December 2012. Findings Overall, 258 RCTs were found on American trypanosomiasis, Buruli ulcer, dengue, geohelminth infection, leishmaniasis, leprosy, lymphatic filariasis, onchocerciasis, rabies, schistosomiasis or trachoma. No RCTs were found on cysticercosis, dracunculiasis, echinococcosis, foodborne trematodes, or human African trypanosomiasis. The most studied diseases were geohelminth infection (51 RCTs) and leishmaniasis (46 RCTs). Vaccines, chemoprophylaxis and interventions targeting insect vectors were evaluated in 113, 99 and 39 RCTs, respectively. Few addressed how best to deliver preventive chemotherapy, such as the choice of dosing interval (10) or target population (4), the population coverage needed to reduce transmission (2) or the method of drug distribution (1). Thirty-one publications containing 32 systematic reviews (16 with and 16 without meta-analyses) were found on American trypanosomiasis, dengue, geohelminths, leishmaniasis, leprosy, lymphatic filariasis, onchocerciasis, schistosomiasis or trachoma. Together, they included only 79 of the 258 published RCTs (30.6%). Of 36 interventions assessed, 8 were judged effective in more than one review. Conclusion Few RCTs on the prevention or control of the principal NTDs were found. Trials on how best to deliver preventive chemotherapy were particularly rare.Resumo em Francês:
Résumé À tout âge, la déficience auditive invalidante affecte profondément la communication entre les personnes, le bien-être psychosocial, la qualité de vie et l'indépendance économique. Selon les estimations de l'Organisation mondiale de la Santé, le nombre de personnes souffrant d’une telle déficience a augmenté de 42 millions en 1985 à 360 millions en 2011. Ce dernier chiffre comprend 7,5 millions d'enfants âgés de moins de 5 ans. En 1995, une «feuille de route» pour réduire le fardeau de la déficience auditive invalidante a été énoncée dans une résolution de l'Assemblée mondiale de la santé. Bien que le principe sous-jacent de cette feuille de route reste valide et pertinent, une mise à jour s'avère nécessaire afin de refléter la transition épidémiologique prédominante. Nous examinons le concept traditionnel et les classes de déficience auditive invalidante – dans le cadre de la Classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé – ainsi que les modifications à apporter au classement, qui ont été récemment proposées par un panel d'experts internationaux. Nous discutons également de l'opportunité offerte par l'intérêt mondial naissant et à un très haut niveau pour la promotion des objectifs de développement pour l'après-2015, qui tiennent compte de la question du handicap et de la survie des enfants sans handicap. Comme les coûts des services de réadaptation sont élevés au point d'être prohibitifs dans les pays à revenu faible et intermédiaire, nous insistons sur le rôle critique de la prévention primaire. Si les objectifs énoncés dans la résolution de 1995 de l'Assemblée mondiale de la santé sur la prévention de la déficience auditive doivent être réalisés par les États membres, plusieurs initiatives efficaces prises au niveau de chaque pays – y compris le développement de partenariats public-privé, un leadership fort et des objectifs mesurables à atteindre dans des délais déterminés – devront être mises en œuvre sans plus attendre.Resumo em Espanhol:
Resumen La deficiencia auditiva incapacitante tiene un impacto enorme en la comunicación interpersonal, el bienestar psicosocial, la calidad de vida y la independencia económica a cualquier edad. De acuerdo con los cálculos de la Organización Mundial de la Salud, el número de personas con dicha discapacidad aumentó de 42 millones en 1985 a unos 360 millones en 2011. Esta última cifra incluye 7,5 millones de niños con una edad inferior a los 5 años. En 1995 se preparó en una resolución de la Asamblea Mundial de la Salud el borrador de una «hoja de ruta» para reducir la carga que supone la deficiencia auditiva incapacitante. Aunque el principio subyacente de esta hoja de ruta sigue siendo válido y pertinente, es necesario actualizarla para reflejar la transición epidemiológica prevaleciente. Examinamos el concepto y los niveles tradicionales de deficiencia auditiva incapacitante – dentro del contexto de la Clasificación Internacional del Funcionamiento, de la Discapacidad y de la Salud - así como las modificaciones en la clasificación recientemente propuestas por un grupo de expertos internacionales. También se discute la oportunidad que ofrece el interés creciente a nivel mundial en la promoción de la discapacidad, incluidos los objetivos de desarrollo tras 2015 y la supervivencia de los niños sin discapacidad. Dado que los costes de los servicios de rehabilitación son tan elevados que resultan prohibitivos en los países con ingresos bajos y medios, se hace hincapié en el papel fundamental de la prevención primaria. Si los Estados Miembros deben alcanzar los objetivos planteados en la resolución de la Asamblea Mundial de la Salud de 1995 acerca de la prevención de la discapacidad auditiva, es necesario que se pongan en marcha, sin más demora, una serie de iniciativas nacionales eficaces, entre las que se encontrarían el desarrollo de asociaciones público-privadas, un liderazgo sólido y metas con plazos concretos y mensurables.Resumo em Inglês:
At any age, disabling hearing impairment has a profound impact on interpersonal communication, psychosocial well-being, quality of life and economic independence. According to the World Health Organization’s estimates, the number of people with such impairment increased from 42 million in 1985 to about 360 million in 2011. This last figure includes 7.5 million children less than 5 years of age. In 1995, a “roadmap” for curtailing the burden posed by disabling hearing impairment was outlined in a resolution of the World Health Assembly. While the underlying principle of this roadmap remains valid and relevant, some updating is required to reflect the prevailing epidemiologic transition. We examine the traditional concept and grades of disabling hearing impairment – within the context of the International Classification of Functioning, Disability and Health – as well as the modifications to grading that have recently been proposed by a panel of international experts. The opportunity offered by the emerging global and high-level interest in promoting disability-inclusive post-2015 development goals and disability-free child survival is also discussed. Since the costs of rehabilitative services are so high as to be prohibitive in low- and middle-income countries, the critical role of primary prevention is emphasized. If the goals outlined in the World Health Assembly’s 1995 resolution on the prevention of hearing impairment are to be reached by Member States, several effective country-level initiatives – including the development of public–private partnerships, strong leadership and measurable time-bound targets – will have to be implemented without further delay.Resumo em Francês:
Résumé Problème Bien que la majorité des cancers hépatocellulaires primaires (CHC) soient attribuables aux hépatites virales chroniques et qu'ils puissent être évités en grande partie, ces cancers restent une des principales causes de mortalité liée au cancer partout où l'hépatite B chronique est endémique. Approche De nombreux CHC pourraient être évités par une sensibilisation et une connaissance accrues de l'hépatite B, l'optimisation du suivi des hépatites B chroniques et l'utilisation de traitements antiviraux – mais il existe des lacunes dans la mise en œuvre de ces stratégies. Environnement local Le programme «B Positive», basé à Sydney en Australie, est conçu pour améliorer l'état de santé lié à l'hépatite B chez les immigrants venus de pays où l'hépatite B est endémique. Le programme offre des informations sur le dépistage de la maladie, la vaccination et les options de traitement, ainsi qu'un accès optimisé aux soins. Changements significatifs Le programme «B Positive» a été élaboré par modélisation économique. Le programme offre un enseignement sur l'hépatite B chronique culturellement adapté pour cibler les communautés et leurs professionnels de santé, et un suivi régulier via un registre de cas basé sur la population. Leçons tirées Puisque les coûts de dépistage et de suivi de l'hépatite B chronique sont relativement faibles et que moins d'un malade sur quatre peut avoir besoin de médicaments antiviraux, l'optimisation de l'accès au traitement semble être une option de gestion appropriée et rentable. L'identification des cas, leur triage précis et l'utilisation judicieuse des médicaments antiviraux s'appuient sur un effectif de santé informé et éduqué. L'établissement de liens de confiance avec les communautés est un processus long. Par conséquent, il n'est pas justifié de retarder la mise en œuvre de programmes de lutte contre l'hépatite B chronique jusqu’à ce que les médicaments antiviraux deviennent plus abordables.Resumo em Espanhol:
Resumen Situación Aunque la mayoría de carcinomas hepatocelulares (CHC) primarios se atribuyen a la hepatitis vírica crónica y son evitables en gran parte, ese tipo de cánceres sigue siendo una de las principales causas de la mortalidad relacionada con el cáncer en aquellos lugares en los que la hepatitis B crónica es endémica. Enfoque Muchos CHC podrían evitarse con un aumento de la concienciación y el conocimiento sobre la hepatitis B, la optimización de la supervisión de la hepatitis B crónica y el uso de tratamientos antivíricos, pero existen lagunas en la puesta en práctica de estas estrategias. Marco regional El programa “B Positive”, con sede en Sídney, Australia, se ha diseñado para mejorar los resultados sanitarios relacionados con la hepatitis B entre los inmigrantes procedentes de países en los que la hepatitis B es endémica, y ofrece información acerca de la detección de la enfermedad, la vacunación y las opciones de tratamiento, así como un acceso optimizado a la atención. Cambios importantes El programa “B Positive” se fundamenta en modelos económicos y ofrece educación culturalmente adaptada sobre la hepatitis B crónica para llegar a las comunidades y sus médicos, y realizar un seguimiento regular a través de un registro poblacional de casos. Lecciones aprendidas Puesto que los costes de detección y seguimiento de la hepatitis B son relativamente bajos y menos de uno de cada cuatro casos requiere medicamentos antivíricos, la optimización del acceso al tratamiento parece ser una opción de gestión adecuada y rentable. La identificación y clasificación correcta de los casos y el uso acertado de los medicamentos antivíricos se apoya en una personal sanitario informado y formado. El establecimiento de la confianza de la comunidad es un proceso muy largo, por lo que retrasar la ejecución de programas contra la hepatitis B crónica hasta que los medicamentos antivíricos se abaraten no tiene justificación alguna.Resumo em Inglês:
Problem Although most primary hepatocellular cancers (HCCs) are attributable to chronic viral hepatitis and largely preventable, such cancers remain a leading cause of cancer-related mortality wherever chronic hepatitis B is endemic. Approach Many HCCs could be prevented by increasing awareness and knowledge of hepatitis B, optimizing the monitoring of chronic hepatitis B and using antiviral treatments – but there are gaps in the implementation of such strategies. Local setting The “B Positive” programme, based in Sydney, Australia, is designed to improve hepatitis-B-related health outcomes among immigrants from countries with endemic hepatitis B. The programme offers information about disease screening, vaccination and treatment options, as well as optimized access to care. Relevant changes The B Positive programme has been informed by economic modelling. The programme offers culturally tailored education on chronic hepatitis B to target communities and their health practitioners and regular follow-up through a population-based registry of cases. Lessons learnt As the costs of screening for chronic hepatitis B and follow-up are relatively low and less than one in every four cases may require antiviral drugs, optimizing access to treatment seems an appropriate and cost-effective management option. The identification and accurate staging of cases and the judicious use of antiviral medications are predicated upon an informed and educated health workforce. As establishing community trust is a lengthy process, delaying the implementation of programmes against chronic hepatitis B until antiviral drugs become cheaper is unwarranted.