Resumo em Inglês:
International bodies, civil society, policy-makers and presidents are increasingly linking the issue of climate change to health. Gary Humphreys reports.Resumo em Inglês:
As countries gear up for a major round of international climate talks next year in Paris, the growing problem of air pollution is fast becoming a vital part of the climate change and health debate. Fiona Fleck talks to Marit Viktoria Pettersen.Resumo em Chinês:
摘要 目的 调查中国的经济发展是否与中国儿童和青少年体格发育有关联。 方法 从1975到2010年在中国开展的七个大型调查中获取18岁及以下儿童和青少年的身高、体重和身体活动水平以及饮食数据。从世界银行获取中国经济发展指标。调查体重、身高、经济数据和饮食的趋势。执行检验以检查17岁青少年身高和三项经济发展指标(国内生产总值、城市化和婴儿死亡率)之间的相关性。评估体格发育的地区差异。 结果 1975至2010年间,儿童发育随经济发展同步改善。据观察,青春期身高增长最大。地区营养状态不均衡与各个地区经济发展差异有关。在过去二十年中,五岁以下孩子营养不良状况减少,但是在2010年,贫穷农村地区依然普遍存在体重不足和生长迟缓的现象。城市和农村地区都出现大幅增加的肥胖儿童,但在大城市尤其如此,这种情况最近在中小城市和富裕的农村地区也凸显出来。 结论 自二十世纪七十年代以来,儿童和青少年的平均体重逐步增加。必须改进当前应对儿童营养不良和肥胖症的策略,在贫穷乡村地区尤其如此。Resumo em Francês:
Résumé Objectif Examiner si le développement économique en Chine est corrélé avec la croissance physique chez les enfants et adolescents chinois. Méthodes La taille, le poids et le niveau d'activité physique des enfants et adolescents âgés de 18 ans et moins, ainsi que les données relatives à leur alimentation, ont été obtenus à partir de 7 grandes études menées en Chine entre 1975 et 2010. Les indicateurs du développement économique chinois ont été obtenus auprès de la Banque mondiale. Les tendances en matière de taille, de poids, des données économiques et de l'alimentation ont été examinées. Des tests ont été effectués pour vérifier les corrélations entre la taille à l'âge à 17 ans et 3 indicateurs du développement économique: le produit national brut, le taux d'urbanisation et le taux de mortalité infantile. Les différences régionales en matière de croissance physique ont été analysées. Résultats Entre 1975 et 2010, la croissance des enfants s'est améliorée en tandem avec le développement économique. La plus grande augmentation de taille a été observée pendant la puberté. Les inégalités régionales en matière d'alimentation ont été corrélées avec les disparités du développement économique existant entre les régions. Au cours des 2 dernières décennies, la dénutrition a diminué chez les enfants de moins de 5 ans, mais en 2010, les insuffisances pondérales et les retards de croissance étaient toujours courants dans les zones rurales pauvres. Une forte augmentation de l'obésité a été observée à la fois dans les zones urbaines et rurales, mais particulièrement dans les grandes villes et, plus récemment, dans les villes de petite et moyenne taille et dans les zones rurales riches. Conclusion Le poids moyen des enfants et adolescents a augmenté progressivement depuis les années 1970. Les stratégies actuelles de lutte contre la dénutrition et l'obésité chez les enfants doivent être améliorées, en particulier dans les zones rurales pauvres.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Examinar si el desarrollo económico de China está relacionado con el crecimiento físico entre los niños y adolescentes chinos. Métodos Se obtuvieron datos sobre la altura, el peso y el nivel de actividad física de niños y adolescentes hasta 18 años, así como datos sobre la dieta, a partir de siete grandes encuestas llevadas a cabo en China entre 1975 y 2010. Los indicadores del desarrollo económico chino se obtuvieron del Banco Mundial. Se examinaron las tendencias en el peso corporal, la altura, los datos económicos y la dieta. Se realizaron pruebas para comprobar la correlación entre la altura a los 17 años de edad y tres indicadores del desarrollo económico: el producto interior bruto, la urbanización y la tasa de mortalidad infantil, y se evaluaron las diferencias regionales en el crecimiento físico. Resultados Entre 1975 y 2010, el crecimiento de los niños mejoró a la par que el desarrollo económico. El mayor incremento en la altura se observó durante la pubertad. Las desigualdades regionales en el estado nutricional se correlacionaron con las diferencias de desarrollo económico entre las regiones. En las últimas dos décadas, la desnutrición disminuyó entre los niños menores de cinco años, pero, en 2010, una talla y peso bajos seguían siendo frecuentes en zonas rurales pobres. Se observó un gran aumento de la obesidad tanto en zonas urbanas como rurales, pero especialmente en las grandes ciudades y, más recientemente, en ciudades pequeñas y medianas y en zonas rurales prósperas. Conclusión El peso medio de los niños y adolescentes ha ido aumentando progresivamente desde la década de 1970. Es necesario mejorar las estrategias actuales para combatir tanto la desnutrición como la obesidad infantil, particularmente, en las zonas rurales pobres.Resumo em Inglês:
Objective To examine if economic development in China correlates with physical growth among Chinese children and adolescents. Methods The height, body weight and physical activity level of children and adolescents aged 18 years and under, as well as dietary data, were obtained from seven large surveys conducted in China between 1975 and 2010. Chinese economic development indicators were obtained from the World Bank. Trends in body weight, height, economic data and diet were examined. Tests were conducted to check for correlations between height at 17 years of age and three indicators of economic development: gross domestic product, urbanization and infant mortality rate. Regional differences in physical growth were assessed. Findings Between 1975 and 2010, the growth of children and adolescents improved in tandem with economic development. The largest increment in height was observed during the period of puberty. Regional inequalities in nutritional status were correlated with disparities in economic development among regions. Over the past two decades, undernutrition declined among children less than 5 years of age, but in 2010 underweight and stunting were still common in poor rural areas. A large increase in obesity was observed in both urban and rural areas, but especially in large cities and, more recently, in small and medium-sized cities and affluent rural areas. Conclusion The average weight of children and adolescents has been increasing progressively since the 1970s. Current strategies to combat both child undernutrition and obesity need to be improved, especially in poor rural areas.Resumo em Árabe:
ملخص الغرض دراسة ما إذا كانت التنمية الاقتصادية في الصين ترتبط بالنمو البدني بين الأطفال والمراهقين في الصين. الطريقة تم الحصول على طول الأطفال والمراهقين في سن 18 سنة فأقل وأوزان أجسامهم ومستوى نشاطهم البدني، بالإضافة إلى بيانات النظام الغذائي، من سبع دراسات استقصائية كبرى تم إجراؤها في الصين في الفترة بين عامي 1975 و2010. وتم الحصول على مؤشرات التنمية الاقتصادية في الصين من البنك الدولي. وتم دراسة الاتجاهات في وزن الجسم والطول والبيانات الاقتصادية والنظام الغذائي. وأجريت الاختبارات للكشف عن الارتباطات بين الطول في سن 17 عاماً ومؤشرات التنمية الاقتصادية الثلاثة: الناتج المحلي الإجمالي والتوسع العمراني ومعدل وفيات الرضع. وتم تقييم الاختلافات في النمو البدني بين الأقاليم. النتائج تحسن نمو الأطفال بين عامي 1975 و2010 بالترادف مع التنمية الاقتصادية. ولوحظت أقصى زيادة في الطول خلال فترة البلوغ. وارتبطت التباينات في الحالة التغذوية بين الأقاليم بالفوارق في التنمية الاقتصادية بين الأقاليم. وعلى مدار العقدين المنصرمين، انخفض نقص التغذية بين الأطفال الأقل من خمسة سنوات ولكن في عام 2010 ظل نقص الوزن والتقزم شائعين في المناطق الريفية الفقيرة. ولوحظت زيادة كبيرة في السمنة في المناطق الحضرية والريفية على حد سواء، وبالأخص في المدن الكبيرة، وفي الآونة الأخيرة لوحظت في المدن الصغيرة ومتوسطة الحجم والمناطق الريفية الغنية. الاستنتاج يزداد متوسط وزن الأطفال والمراهقين تدريجياً منذ سبعينيات القرن العشرين. ويجب تحسين الاستراتيجيات الراهنة لمكافحة نقص التغذية والسمنة لدى الأطفال، لا سيما في المناطق الريفية الفقيرة.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Évaluer l'ampleur de la contamination par l'arsenic des eaux souterraines et des eaux de surface au Pérou et évaluer la précision du kit Arsenic Econo-Quick™ (EQ) pour mesurer les concentrations d'arsenic dans l'eau sur le terrain. Méthodes Des échantillons d'eau ont été prélevés à partir de 151 sources d'eau dans 12 districts du Pérou, et les concentrations en arsenic ont été mesurées en laboratoire à l'aide de la spectrométrie de masse à plasma à couplage inductif. Les kits EQ utilisés sur le terrain ont été validés en comparant un sous-ensemble de 139 échantillons d'eau analysés par des mesures en laboratoire et le kit EQ. Résultats Dans 86% (96/111) des échantillons d'eau souterraine, la concentration en arsenic était supérieure à la directive de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) de 10 µg/L pour l'eau potable. Dans 56% (62/111) des échantillons, elle dépassait la norme bangladaise de 50 µg/L. La concentration moyenne était de 54,5 µg/L (plage: 0,1-93,1). Dans les districts de Juliaca et Caracoto, 96% (27/28) des échantillons d'eau souterraine présentaient des concentrations en arsenic supérieures aux recommandations de l'OMS; et tous les échantillons d'eau prélevés dans la section de la rivière Rímac traversant Lima présentaient des concentrations en arsenic supérieures à la limite fixée par l'OMS. Lorsque les kits EQ ont été validés avec les valeurs obtenues en laboratoire, ils ont correctement identifié la contamination par l'arsenic par rapport à la recommandation dans 95% (106/111) des échantillons d'eau souterraine et dans 68% (19/28) des échantillons d'eau de surface. Conclusion Dans plusieurs districts du Pérou, l'eau potable présente une contamination généralisée par l'arsenic, supérieure à la recommandation de l'OMS en ce qui concerne l'arsenic. Cela constitue une menace pour la santé publique, nécessitant des études approfondies et des mesures supplémentaires. Le kit EQ a obtenu de bons résultats pour les échantillons d'eau souterraine par rapport aux limites pour l'arsenic fixées par l'OMS, et il pourrait donc fournir un outil vital pour surveiller la présence d'arsenic dans l'eau.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Evaluar el grado de contaminación por arsénico de las aguas subterráneas y superficiales en Perú, así como la precisión del kit Arsenic Econo-Quick™ (EQ) para la medición de concentraciones de arsénico del agua en el campo. Métodos Se recogieron muestras de agua de 151 suministros de agua en 12 distritos de Perú, y se midieron las concentraciones de arsénico en el laboratorio por medio de una espectrometría de masas de plasma con acoplamiento inductivo. El kit de campo EQ se validó mediante la comparación de un subconjunto de 139 muestras de agua analizadas por mediciones de laboratorio y el kit EQ. Resultados En el 86% (96/111) de las muestras de agua subterránea, el arsénico superó el límite de 10 mg/l de la concentración de arsénico establecido por la Organización Mundial de la Salud (OMS) para el agua potable. El 56% (62/111) de las muestras superó el umbral de Bangladesh de 50 mg/l; la concentración media era de 54,5 mg/l (rango: 0,1 a 93,1). En los distritos de Juliaca y Caracoto, en el 96% (27/28) de las muestras de agua subterránea la concentración de arsénico superaba el límite establecido por la OMS. Asimismo, todas las muestras de agua recogidas en la sección del río Rímac, que atraviesa Lima, tenían concentraciones de arsénico superiores al límite de la OMS. Al validarlo en comparación con los valores de laboratorio, el kit EQ identificó de forma correcta contaminación por arsénico respecto al límite en el 95% (106/111) de las aguas subterráneas y en el 68% (19/28) de las muestras de agua superficiales. Conclusión En varios distritos de Perú, el agua potable muestra una contaminación por arsénico generalizada que supera el límite de arsénico establecido por la OMS y supone una amenaza para la salud pública que requiere mayor investigación y acción. Para las muestras de agua subterránea, el kit EQ ofreció buenos resultados en relación con el límite de arsénico de la OMS y, por tanto, podría ser una herramienta esencial para el control del arsénico en el agua.Resumo em Inglês:
Objective To assess the extent of arsenic contamination of groundwater and surface water in Peru and, to evaluate the accuracy of the Arsenic Econo-Quick™ (EQ) kit for measuring water arsenic concentrations in the field. Methods Water samples were collected from 151 water sources in 12 districts of Peru, and arsenic concentrations were measured in the laboratory using inductively-coupled plasma mass spectrometry. The EQ field kit was validated by comparing a subset of 139 water samples analysed by laboratory measurements and the EQ kit. Findings In 86% (96/111) of the groundwater samples, arsenic exceeded the 10 µg/l arsenic concentration guideline given by the World Health Organization (WHO) for drinking water. In 56% (62/111) of the samples, it exceeded the Bangladeshi threshold of 50 µg/l; the mean concentration being 54.5 µg/l (range: 0.1–93.1). In the Juliaca and Caracoto districts, in 96% (27/28) of groundwater samples arsenic was above the WHO guideline; and in water samples collected from the section of the Rímac river running through Lima, all had arsenic concentrations exceeding the WHO limit. When validated against laboratory values, the EQ kit correctly identified arsenic contamination relative to the guideline in 95% (106/111) of groundwater and in 68% (19/28) of surface water samples. Conclusion In several districts of Peru, drinking water shows widespread arsenic contamination, exceeding the WHO arsenic guideline. This poses a public health threat requiring further investigation and action. For groundwater samples, the EQ kit performed well relative to the WHO arsenic limit and therefore could provide a vital tool for water arsenic surveillance.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Mesurer les tendances de la prévalence de la tuberculose pulmonaire entre 2002 et 2011 et évaluer l'impact de la stratégie DOTS (traitement de brève durée sous surveillance directe) au Cambodge. Méthodes La première étude sur la tuberculose à l'échelle nationale, axée sur la population cambodgienne et basée sur un échantillonnage par grappes et à plusieurs degrés a été menée en 2002. La deuxième étude sur la tuberculose, incluant 62 grappes, a ensuite été menée en 2011. Les participants, âgés de 15 ans ou plus, ont été testés pour la tuberculose pulmonaire active avec une radiographie pulmonaire et/ou des symptômes tuberculeux. Pour confirmer le diagnostic, des frottis et des cultures d'expectoration ont été effectués pour les participants dont les résultats de dépistage se sont avérés positifs. Résultats Sur les 40 373 sujets éligibles, 37 417 (92,6%) ont participé à l'étude; 103 cas à frottis positif et 211 cas à culture positive et à frottis négatif ont été identifiés. Les prévalences pondérées de la tuberculose à frottis positif et de la tuberculose bactériologiquement positive étaient de 271 (intervalle de confiance de 95%, IC: 212-348) et de 831 (IC de 95%: 707–977) pour 100 000 habitants, respectivement. La prévalence de la tuberculose était plus élevée chez les hommes que chez les femmes et augmentait avec l'âge. Une baisse de 38% de la tuberculose à frottis positif (P = 0,0085) a été observée par rapport à l'étude de 2002, après que les participants ont été associés à des caractéristiques démographiques et géographiques. La prévalence de la tuberculose symptomatique à frottis positif a diminué de 56% (P = 0,001), alors que la prévalence de la tuberculose asymptomatique à frottis positif a diminué de seulement 7% (P = 0,7249). Conclusion Au Cambodge, la prévalence de la tuberculose a fortement diminué, probablement à cause de la décentralisation du DOTS vers les centres de santé. Pour continuer à réduire la prévalence de la tuberculose au Cambodge, la lutte antituberculoseuse doit être renforcée et se concentrer sur l'identification des cas sans symptômes et dans la population d'âge moyen et âgée.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Medir las tendencias de la carga de tuberculosis pulmonar entre 2002 y 2011, y evaluar el impacto de la estrategia DOTS (tratamiento directamente observado, curso corto) en Camboya. Métodos En 2002 se realizó la primera encuesta de la tuberculosis demográfica a nivel nacional de Camboya, basada en pruebas de grupos multietapas. La segunda encuesta de la tuberculosis, que abarcó 62 grupos, se llevó a cabo en 2011. Se realizaron pruebas de detección de la tuberculosis pulmonar activa mediante radiografía de tórax o de síntomas de la tuberculosis a participantes mayores de 15 años. Para confirmar el diagnóstico, se realizó una baciloscopia y un cultivo del esputo en aquellos participantes cuyos resultados de la evaluación fueron positivos. Resultados De los 40 423 participantes idóneos, 37 417 (92,6%) participaron en la encuesta. Se identificaron 103 casos bacilíferos y 211 casos no bacilíferos con cultivo positivo. Las prevalencias ponderadas de tuberculosis bacilífera y tuberculosis bacteriológicamente positiva fueron 271 (intervalo de confianza del 95%, IC: 212–348) y 831 (95% CI: 707–977) por 100 000 población, respectivamente. La prevalencia de la tuberculosis fue mayor en hombres que en mujeres y aumentó con la edad. Se observó una disminución del 38% en la tuberculosis bacilífera (P = 0,0085) con respecto a la encuesta de 2002 tras agrupar a los participantes por características demográficas y geográficas. La prevalencia la tuberculosis bacilífera y sintomática disminuyó en un 56% (P = 0,001), mientras que la prevalencia de la tuberculosis bacilífera asintomática solo se redujo en un 7% (P = 0,7249). Conclusión La carga de tuberculosis en Camboya ha disminuido considerablemente, lo cual probablemente se debe a la descentralización de la estrategia DOTS en los centros de salud. Para reducir aún más la carga de la tuberculosis en Camboya, debe reforzarse el control de la tuberculosis y centrarse en la identificación de casos sin síntomas y en la población anciana y de mediana edad.Resumo em Inglês:
Objective To measure trends in the pulmonary tuberculosis burden between 2002 and 2011 and to assess the impact of the DOTS (directly observed treatment, short-course) strategy in Cambodia. Methods Cambodia’s first population-based nationwide tuberculosis survey, based on multistage cluster sampling, was conducted in 2002. The second tuberculosis survey, encompassing 62 clusters, followed in 2011. Participants aged 15 years or older were screened for active pulmonary tuberculosis with chest radiography and/or for tuberculosis symptoms. For diagnostic confirmation, sputum smear and culture were conducted on those whose screening results were positive. Findings Of the 40 423 eligible subjects, 37 417 (92.6%) participated in the survey; 103 smear-positive cases and 211 smear-negative, culture-positive cases were identified. The weighted prevalences of smear-positive tuberculosis and bacteriologically-positive tuberculosis were 271 (95% confidence interval, CI: 212–348) and 831 (95% CI: 707–977) per 100 000 population, respectively. Tuberculosis prevalence was higher in men than women and increased with age. A 38% decline in smear-positive tuberculosis (P = 0.0085) was observed with respect to the 2002 survey, after participants were matched by demographic and geographical characteristics. The prevalence of symptomatic, smear-positive tuberculosis decreased by 56% (P = 0.001), whereas the prevalence of asymptomatic, smear-positive tuberculosis decreased by only 7% (P = 0.7249). Conclusion The tuberculosis burden in Cambodia has declined significantly, most probably because of the decentralization of DOTS to health centres. To further reduce the tuberculosis burden in Cambodia, tuberculosis control should be strengthened and should focus on identifying cases without symptoms and in the middle-aged and elderly population.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Évaluer si un programme pilote pour prévenir la transmission mère-enfant (PTME) du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) est associé à des changements en matière de survie du jeune enfant au sein de la population dans les régions rurales de la Zambie. Méthodes Des thérapies antirétrovirales combinées ont été proposées à des femmes infectées par le VIH, enceintes et allaitantes, indépendamment de leur statut immunologique, dans quatre centres de santé ruraux. La survie sans VIH à 24 mois chez les enfants nés de mères infectées par le VIH a été déterminée avant et après la mise en œuvre du programme PTME à l'aide d'enquêtes communautaires. Les ménages ont été choisis de manière aléatoire, et il a été demandé aux femmes qui avaient accouché au cours des 24 derniers mois, d'y participer. On a testé la présence d'anticorps anti-VIH chez les mères et d'acide désoxyribonucléique viral chez les enfants nés de mères infectées par le VIH. Des modèles à variables multiples ont été utilisés pour déterminer les facteurs associés à l'infection par le VIH ou au décès de l'enfant. Résultats Dans la première étude (2008–2009), 335 femmes parmi 1778 (18,8%) ont été testées positives à l'infection par le VIH. Dans la deuxième étude (2011), 390 femmes parmi 2386 (16,3%) ont été testées positives. La survie sans VIH à 24 mois chez les enfants exposés au VIH était de 0,66 (intervalle de confiance de 95%, IC: 0,63–0,76) dans la première étude et de 0,89 (IC de 95%: 0,83–0,94) dans la seconde. La combinaison de la thérapie antirétrovirale était associée à un risque inférieur d'infection par le VIH ou de décès chez les enfants (rapport de risques ajusté: 0,33, IC de 95%: 0,15–0,73). La connaissance du statut VIH des mères, l'utilisation des tests de dépistage du VIH et des traitements combinés pendant la grossesse ont augmenté entre les études. Conclusion Le programme PTME était associé à une augmentation de la survie sans VIH chez les enfants nés de mères infectées par le VIH. L'utilisation par les mères du dépistage et du traitement contre le VIH a également augmenté au sein de la communauté.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Evaluar si un programa piloto para prevenir la transmisión maternoinfantil (PTMI) del virus de la inmunodeficiencia humana (VIH) está asociado a cambios en la supervivencia en la primera infancia a nivel de población en las zonas rurales de Zambia. Métodos Se ofreció una combinación de tratamientos antirretrovirales a mujeres embarazadas y lactantes infectadas por el VIH, independientemente de su estado inmunológico, en cuatro centros de salud rurales. Mediante encuestas en la comunidad se determinó una supervivencia sin VIH de veinticuatro meses entre los niños nacidos de madres infectadas por el VIH antes y después de la implementación del programa PTMI. Los hogares se seleccionaron al azar y se pidió que participaran las mujeres que habían dado a luz en los 24 meses anteriores. Las madres se sometieron a una prueba para detectar los anticuerpos contra el VIH y se realizó una prueba del ácido desoxirribonucleico viral a los niños nacidos de madres infectadas con VIH. Se utilizaron modelos multivariables para determinar los factores asociados con la infección o muerte por VIH del niño. Resultados En la primera encuesta (2008–2009), 335 de 1778 mujeres (18,8 %) dieron positivo en el VIH. En la segunda (2011), dieron positivo 390 de 2386 (16,3 %). La supervivencia sin VIH de 24 meses en los niños expuestos al VIH fue del 0,66 (intervalo de confianza del 95 %, IC: 0,63–0,76) en la primera encuesta y del 0,89 (IC del 95 %: 0,83–0,94) en la segunda. La combinación de un tratamiento antirretroviral se asoció con un menor riesgo de infección por VIH o muerte en los niños (razón de riesgo ajustada: 0,33, IC del 95 %: 0,15–0,73). El conocimiento de las madres de su estado serológico, el uso de pruebas para el VIH y los tratamientos combinados durante el embarazo aumentaron en el tiempo transcurrido entre las encuestas. Conclusión El programa PTMI estuvo asociado a un aumento de la supervivencia sin VIH en los niños nacidos de madres infectadas por el VIH. La utilización materna de la prueba y el tratamiento del VIH en la comunidad también aumentó.Resumo em Inglês:
Objective To evaluate if a pilot programme to prevent mother-to-child transmission (PMTCT) of the human immunodeficiency virus (HIV) was associated with changes in early childhood survival at the population level in rural Zambia. Methods Combination antiretroviral regimens were offered to pregnant and breastfeeding, HIV-infected women, irrespective of immunological status, at four rural health facilities. Twenty-four-month HIV-free survival among children born to HIV-infected mothers was determined before and after PMTCT programme implementation using community surveys. Households were randomly selected and women who had given birth in the previous 24 months were asked to participate. Mothers were tested for HIV antibodies and children born to HIV-infected mothers were tested for viral deoxyribonucleic acid. Multivariable models were used to determine factors associated with child HIV infection or death. Findings In the first survey (2008–2009), 335 of 1778 women (18.8%) tested positive for HIV. In the second (2011), 390 of 2386 (16.3%) tested positive. The 24-month HIV-free survival in HIV-exposed children was 0.66 (95% confidence interval, CI: 0.63–0.76) in the first survey and 0.89 (95% CI: 0.83–0.94) in the second. Combination antiretroviral regimen use was associated with a lower risk of HIV infection or death in children (adjusted hazard ratio: 0.33, 95% CI: 0.15–0.73). Maternal knowledge of HIV status, use of HIV tests and use of combination regimens during pregnancy increased between the surveys. Conclusion The PMTCT programme was associated with an increased HIV-free survival in children born to HIV-infected mothers. Maternal utilization of HIV testing and treatment in the community also increased.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Examiner les tendances dans les hospitalisations dues à la varicelle et l'herpès zoster (HZ) après la disponibilité et le financement du programme de vaccination national qui a suivi, pour la vaccination monodose contre la varicelle en Australie. Méthodes La couverture vaccinale contre la varicelle pour les enfants nés entre 2001 et 2009 a été obtenue à partir du registre australien de vaccination des enfants. Toutes les hospitalisations dues principalement à ou codifiées comme étant dues à la varicelle ou au HZ ont été extraites de la base de données nationale de morbidité hospitalière pour la période 1998–2010. Les tendances dans les taux d'hospitalisation des différents groupes d'âge et le statut d'autochtone ont été évaluées. Les rapports de taux d'incidence (RTI) ont été calculés entre les périodes avant et après la mise en œuvre du financement du programme de vaccination. Résultats Pendant la première année du programme financé de vaccination, la couverture vaccinale contre la varicelle a atteint 75% chez les enfants âgés de 24 mois et plus de 80% chez les enfants âgés de 60 mois. Par rapport à la période prévaccinale, les taux d'hospitalisation due à la varicelle pendant le programme financé étaient significativement plus faibles dans les groupes d'âges de moins de 40 ans; avec la plus grande réduction chez les enfants âgés de 18-59 mois (RTI: 0,25; intervalle de confiance de 95%, IC 95%: 0,22–0,29). Les enfants autochtones avaient un taux d'hospitalisation due à la varicelle plus élevé que les enfants non autochtones avant la mise en œuvre du vaccin (RTI: 1,9; IC 95%: 1,4–2,7), mais ce taux est devenu équivalent par la suite (RTI: 1,1; IC 95%: 0,7–1,6). Le taux d'hospitalisation due au HZ normalisé selon l'âge a baissé entre les deux périodes (RTI: 0,95; IC 95%: 0,92–0,97). Conclusion La réalisation rapide de la couverture élevée a réduit le nombre d'hospitalisations dues à la varicelle dans le groupe d'âge ciblé, en particulier pour les enfants autochtones, mais également dans les groupes d'âge non ciblés, sans augmentation du nombre d'hospitalisations dues au HZ. Cela suggère que la couverture vaccinale monodose contre la varicelle peut avoir un impact important sur cette maladie grave.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Examinar las tendencias de la hospitalización por varicela y herpes zóster (HZ) siguiendo la disponibilidad y la subsecuente financiación del Programa Nacional de Vacunación de la vacuna monodosis de la varicela en Australia. Métodos La cobertura de la vacunación contra la varicela para los niños nacidos entre 2001 y 2009 se obtuvo del Registro Australiano de Vacunación Infantil (Australian Childhood Immunization Register). Las hospitalizaciones por varicela o HZ principales o codificadas fueron sacadas de la base de datos del hospital nacional sobre morbilidad en el periodo comprendido entre 1998 y 2010. Se evaluarion las tendencias de las tasas de hospitalización en diferentes grupos de edad y estados indígenas. Las tasas de incidencia (TI) se calcularon entre los periodos previos y posteriores a la implementación de la financiación del programa de vacunación. Resultados En el primer año del programa de vacunación financiado, la cobertura de la vacuna de la varicela llegó al 75% en los niños de 24 meses y a más del 80% en los niños de 60 meses. En comparación con el periodo previo a las vacunas, las tasas de hospitalización por varicela durante el programa financiado fueron significativamente menores en grupos de edad menores de 40 años, con la reducción más importante en los niños de entre 18–59 meses (TI: 0,25; 95% intervalo de confianza, IC: 0,22–0,29). Los niños indígenas tenían una tasa de hospitalización por varicela más alta que los no indígenas antes de la implementación de la vacuna (TI: 1,9; 95% IC: 1,4–2,7), pero tras esta se alcanzó una igualdad (TI: 1,1; 95% IC: 0,7–1,6). La tasa de hospitalización por herpes zóster estandarizada por edad disminuyó entre los periodos (TI: 0,95; 95% IC: 0,92–0,97). Conclusión La rápida consecución de la cobertura alta redujo las hospitalizaciones por varicela en el grupo de edad al que se dirigía, especialmente en niños indígenas aunque también en grupos de edad a los que no iba dirigido, sin incrementar las hospitalizaciones por herpes zóster. Esto sugiere que la cobertura de la vacuna monodosis de la varicela puede tener un impacto importante en la grave enfermedad.Resumo em Inglês:
Objective To examine trends in varicella and herpes zoster (HZ) hospitalization following the availability and subsequent National Immunization Programme funding of one-dose varicella vaccination in Australia. Methods Varicella vaccination coverage for children born between 2001 and 2009 was obtained from the Australian Childhood Immunization Register. Principal or any coded varicella or HZ hospitalizations were retrieved from the national hospital morbidity database from 1998 to 2010. Trends in hospitalization rates in different age groups and indigenous status were assessed. Incidence rate ratios (IRR) were calculated between periods before and after implementation of immunization programme funding. Findings In the first year of the funded immunization programme, varicella vaccine coverage reached 75% in children aged 24 months and more than 80% in children aged 60 months. Compared with the pre-vaccine period, varicella hospitalization rates during the funded programme were significantly lower for age groups younger than 40 years; with the greatest reduction in children aged 18–59 months (IRR: 0.25; 95% confidence interval, CI: 0.22–0.29). Indigenous children had a higher varicella hospitalization rate compared with non-indigenous children before vaccine implementation (IRR: 1.9; 95% CI: 1.4–2.7), but afterwards reached equivalence (IRR: 1.1; 95% CI: 0.7–1.6). The age-standardized HZ hospitalization rate declined between the periods (IRR: 0.95; 95% CI: 0.92–0.97). Conclusion Rapid attainment of high coverage reduced varicella hospitalizations in the targeted age group, particularly for indigenous children, but also in non-targeted age groups, with no increase in HZ hospitalizations. This suggests high one-dose varicella vaccine coverage can have a substantial impact on severe disease.Resumo em Francês:
Résumé Objectif Quantifier la mortalité maternelle, foetale et néonatale dans les pays à revenus faible et intermédiaire pour identifier à quel moment survient le décès et pour analyser les relations entre les décès maternels et les mortinaissances/décès néonataux. Méthodes Une étude prospective sur des grossesses a été effectuée dans 106 collectivités sur 7 sites: Argentine, Guatemala, Inde, Kenya, Pakistan et Zambie. Les femmes enceintes ont été inscrites et suivies jusqu'à 6 semaines après leur accouchement. Résultats Entre 2010 et 2012, 214 070 femmes inscrites sur 220 235 (97,2%) ont participé au suivi. Le taux de mortalité maternelle était de 168 pour 100 000 naissances d'enfants vivants, allant de 69 pour 100 000 en Argentine à 316 pour 100 000 au Pakistan. Dans l'ensemble, 29% (98/336) des décès maternels ont eu lieu au moment de la naissance: la plupart des décès ont été dus à une hémorragie (86/336), une prééclampsie ou une éclampsie (55/336), ou encore une septicémie (39/336). Environ 70% (4349/6213) des enfants sont mort-nés intrapartum; 34% (1804/5230) des nouveau-nés sont morts le jour de leur naissance et 14% (755/5230) le lendemain. Les mortinaissances étaient plus fréquentes chez les femmes qui ont aussi perdu la vie que chez celles qui ont survécu 6 semaines après l'accouchement (risque relatif, RR: 9,48; intervalle de confiance à 95%, IC: 7,97–11,27), pour les décès périnatals (RR: 4,30; IC à 95%: 3,26–5,67), à 7 jours (RR: 3,94; IC à 95%: 2,74–5,65), et à 28 jours (RR: 7,36; IC à 95%: 5,54–9,77). Conclusion La plupart des cas de mortalité maternelle, foetale et néonatale se sont produits pendant ou peu avant ou après la naissance et ont été attribués à des causes évitables. La mortalité maternelle a augmenté le risque de mort périnatale et néonatale. L'amélioration des soins obstétricaux et néonatals au moment de la naissance offre les meilleures chances de réduire cette mortalité.Resumo em Espanhol:
Resumen Objetivo Cuantificar la mortalidad materna, fetal y neonatal en países de ingresos bajos y medios a fin de identificar cuándo se producen muertes y las relaciones entre las muertes maternas y la mortalidad prenatal y neonatal. Métodos Se realizó un estudio prospectivo de los resultados del embarazo en 106 comunidades en siete lugares en Argentina, Guatemala, India, Kenya, Pakistán y Zambia. Se inscribieron mujeres embarazadas, de las que se hizo un seguimiento hasta seis semanas tras el parto. Resultados Entre 2010 y 2012, 214 070 de las 220 235 mujeres inscritas (97,2%) completaron el seguimiento. La tasa de mortalidad materna fue de 168 por 100 000 nacidos vivos, con una variación que va desde 69 por 100 000 en Argentina a 316 por 100 000 en Pakistán. En general, el 29% (98/336) de las muertes maternas se produjo en torno al momento del parto: la mayoría se atribuyó a hemorragias (86/336), preeclampsia o eclampsia (55/336), o sepsis (39/336). Alrededor del 70% (4349/6213) de las muertes prenatales se produjo probablemente en el parto; el 34% (1804/5230) de los recién nacidos murieron el día del parto y el 14% (755/5230), al día siguiente. Las muertes prenatales fueron más comunes en las mujeres que fallecieron que en aquellas con vida seis semanas después del parto (riesgo relativo, RR: 9,48; intervalo de confianza 95%, IC: 7,97–11,27), al igual que las muertes perinatales (RR: 4,30; IC del 95%: 3,26–5,67) y las muertes de neonatos a 7 días (RR: 3,94; IC del 95%: 2,74–5,65) y a 28 días (RR: 7,36; IC del 95%: 5,54–9,77). Conclusión La mayoría de las muertes maternas, prenatales y neonatales ocurrieron en o en torno al parto y se atribuyeron a causas evitables. La muerte materna aumentó el riesgo de muerte perinatal y neonatal. Mejorar la atención obstétrica y neonatal en el momento del nacimiento ofrece las mayores posibilidades para reducir la mortalidad.Resumo em Inglês:
Objective To quantify maternal, fetal and neonatal mortality in low- and middle-income countries, to identify when deaths occur and to identify relationships between maternal deaths and stillbirths and neonatal deaths. Methods A prospective study of pregnancy outcomes was performed in 106 communities at seven sites in Argentina, Guatemala, India, Kenya, Pakistan and Zambia. Pregnant women were enrolled and followed until six weeks postpartum. Findings Between 2010 and 2012, 214 070 of 220 235 enrolled women (97.2%) completed follow-up. The maternal mortality ratio was 168 per 100 000 live births, ranging from 69 per 100 000 in Argentina to 316 per 100 000 in Pakistan. Overall, 29% (98/336) of maternal deaths occurred around the time of delivery: most were attributed to haemorrhage (86/336), pre-eclampsia or eclampsia (55/336) or sepsis (39/336). Around 70% (4349/6213) of stillbirths were probably intrapartum; 34% (1804/5230) of neonates died on the day of delivery and 14% (755/5230) died the day after. Stillbirths were more common in women who died than in those alive six weeks postpartum (risk ratio, RR: 9.48; 95% confidence interval, CI: 7.97–11.27), as were perinatal deaths (RR: 4.30; 95% CI: 3.26–5.67) and 7-day (RR: 3.94; 95% CI: 2.74–5.65) and 28-day neonatal deaths (RR: 7.36; 95% CI: 5.54–9.77). Conclusion Most maternal, fetal and neonatal deaths occurred at or around delivery and were attributed to preventable causes. Maternal death increased the risk of perinatal and neonatal death. Improving obstetric and neonatal care around the time of birth offers the greatest chance of reducing mortality.Resumo em Francês:
Résumé Problème L'Organisation mondiale de la Santé a approuvé Xpert MTB/RIF (Xpert), un test automatisé basé sur l'amplification en chaîne par polymérase, pour le diagnostic rapide de la tuberculose (TB). Cependant, l'utilisation à grande échelle d'une nouvelle technologie exige une préparation et une adaptation préalables. Approche Une étude de mise en œuvre pilote a été menée dans deux villes du Brésil pour étudier le remplacement de l'examen au microscope des frottis d'expectoration par Xpert. Les laboratoires inclus couvraient 70% des cas de TB diagnostiqués, ne présentaient pas de chevauchement dans les bassins de vie des populations, traitaient différentes charges de travail et basculaient aléatoirement vers l’utilisation de Xpert. Les échantillons d'expectoration étaient recueillis avec les mêmes procédures de routine. Avant l'étude, le système d'informations médicales a été préparé pour l'enregistrement des résultats Xpert. Les techniciens de laboratoire ont été formés à l'utilisation des machines Xpert, et le personnel de santé a appris à interpréter les résultats. Environnement local Le taux moyen annuel d'incidence de la TB au Brésil est d'environ 90 cas pour 100 000 habitants. Cependant, la co-infection avec le virus de l'immunodéficience humaine et la multirésistance aux médicaments sont relativement peu fréquentes (10% et > 2%, respectivement). Changements significatifs Parmi les échantillons d'expectoration testés, 7,3% étaient insuffisants pour Xpert et ont dû être examinés par microscope. Dix pour cent de l'équipement Xpert a dû être remplacé, mais les pièces de rechange n'étaient pas facilement disponibles dans le pays. L'absence de numéros d'identification des patients a conduit à l'apparition d'erreurs dans le système d'informations médicales. Leçons tirées Pour un déploiement à l'échelle du pays, un prestataire de service local est nécessaire pour la maintenance du système Xpert. Assurer la disponibilité des cartouches est également indispensable. La capacité à effectuer les examens des frottis par microscope doit être maintenue. Le système d'informations médicales doit être mis à jour pour permettre l'utilisation efficace de Xpert.Resumo em Espanhol:
Resumen Situación La Organización Mundial de la Salud ha aprobado Xpert MTB/RIF (Xpert), un ensayo automatizado basado en la reacción en cadena de la polimerasa para el diagnóstico rápido de la tuberculosis (TB). Sin embargo, el uso a gran escala de una tecnología nueva requiere una preparación y adaptación. Enfoque Con objeto de examinar la sustitución de la microscopia de frotis de esputo con Xpert, se llevó a cabo un estudio piloto de implementación en dos ciudades brasileñas. Los laboratorios participantes incluyeron el 70 % de los casos de tuberculosis diagnosticados, no se produjo ningún solapamiento en las zonas de captación de población, manejaron cargas de trabajo distintas y se asignaron a Xpert de forma aleatoria. Las muestras de esputo se recogieron a través de los mismos procedimientos rutinarios. Antes del estudio, se preparó el sistema de información médica con objeto de registrar los resultados de Xpert. Se capacitó a los técnicos de laboratorio para operar máquinas Xpert y se enseñó a los trabajadores sanitarios cómo interpretar los resultados. Marco regional La tasa de incidencia anual media de la tuberculosis en Brasil es de unos 90 casos por cada 100 000 habitantes. Sin embargo, la coinfección con el virus de la inmunodeficiencia humana y la multirresistencia son relativamente poco frecuentes (10 % y < 2 %, respectivamente). Cambios importantes De las muestras de esputo sometidas a prueba, el 7,3 % fueron demasiado escasas para Xpert y tuvieron que ser examinadas con microscopio. El diez por ciento de los equipos Xpert necesitó piezas de repuesto, pero estas no estaban disponibles en el país. La ausencia de números de identificación de pacientes dio lugar a la introducción de errores en el sistema de información médica. Lecciones aprendidas La expansión nacional del sistema Xpert necesita un proveedor de servicios local que se haga cargo del mantenimiento del sistema. También es fundamental garantizar la disponibilidad de los cartuchos, y debería conservarse la capacidad de realizar microscopias de frotis. El sistema de información médica debe mantenerse actualizado para permitir un uso eficiente de Xpert.Resumo em Inglês:
Problem The World Health Organization has endorsed the Xpert MTB/RIF (Xpert), an automated polymerase-chain-reaction-based assay, for the rapid diagnosis of tuberculosis. However, large-scale use of a new technology calls for preparation and adaptation. Approach A pilot implementation study was conducted in two Brazilian cities to explore the replacement of sputum smear microscopy with Xpert. The laboratories included covered 70% of the tuberculosis cases diagnosed, had no overlap in population catchment areas, handled different workloads and were randomly shifted to Xpert. Sputum samples were collected through the same routine procedures. Before the study the medical information system was prepared for the recording of Xpert results. Laboratory technicians were trained to operate Xpert machines and health workers were taught how to interpret the results. Local setting The average annual tuberculosis incidence in Brazil is around 90 cases per 100 000 population. However, co-infection with the human immunodeficiency virus and multidrug resistance are relatively infrequent (10% and < 2%, respectively). Relevant changes Of the tested sputum samples, 7.3% were too scanty for Xpert and had to be examined microscopically. Ten per cent of Xpert equipment needed replacement, but spare parts were not readily available in the country. Absence of patient identification numbers led to the introduction of errors in the medical information system. Lessons learnt For nationwide scale-up, a local service provider is needed to maintain the Xpert system. Ensuring cartridge availability is also essential. The capacity to perform smear microscopy should be retained. The medical information system needs updating to allow efficient use of Xpert.