• In this month’s Bulletin

  • What will it cost to attain the health MDGs? Editorials

    Nordström, Anders; Tan-Torres Edejer, Tessa; Evans, David
  • Evidence to action in the developing world: what evidence is needed? Editorials

    Pang, Tikki
  • Appropriate information-communications technologies for developing countries Editorials

    Missen, Clifford C; Cook, Thomas M
  • WHO to launch first essential medicines list for children News

    Braine, Theresa
  • Making malaria deaths easier to count News

    Brown, Hannah
  • WHO’s longest serving leader WHO News

  • WHO’s 60 years and the Global Health Histories initiative WHO News

  • Recent news from WHO WHO News

  • Estimated global resources needed to attain universal coverage of maternal and newborn health services Research

    Johns, Benjamin; Sigurbjörnsdóttir, Kristjana; Fogstad, Helga; Zupan, Jelka; Mathai, Matthews; Tan-Torres Edejer, Tessa

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Estimer les moyens supplémentaires nécessaires pour la mise à l’échelle des services de santé maternelle et néonatale dans le cadre des objectifs du Millénaire pour le développement et informer les pays, les donateurs et les agences multilatérales des ressources requises pour atteindre ces objectifs. MÉTHODES: Un modèle d’évaluation des coûts s’appuyant sur les Directives cliniques de l’OMS a permis d’estimer les besoins financiers supplémentaires pour délivrer les soins de santé maternelle et néonatale prévus dans 75 pays. Ce modèle a évalué les coûts des soins dispensés pendant la grossesse, l’accouchement, la période néonatale et la période postpartum, ainsi que ceux des services de planification familiale et de conseil et ceux liés à un éventuel avortement et à la période post-avortement. Les coûts programmatiques ont également été estimés. En appliquant une approche par composants et en considérant comme des extrants les coûts financiers pour les années 2006 à 2015, on a obtenu une estimation des couts unitaires et des coefficients de mise à l’échelle par pays et par année/habitant. Deux scénarios de mise à l’échelle (rythme modéré ou rapide), utilisant des coefficients de mise à l’échelle différents, ont été utilisés. RÉSULTATS: Les résultats indiquent qu’en moyenne, une augmentation des ressources de US $ 3,9 milliard par an au minimum est nécessaire, sans compter l’augmentation annuelle des coûts sur la période prise en compte par le modèle. Si l’on suppose une mise à l’échelle plus rapide, cette augmentation minimale des ressources peut atteindre US $ 5,6 milliard par an. Sur 10 ans, on estime que les coûts supplémentaires représenteront de US $ 39,3 milliard, pour un scénario à vitesse moyenne, à US $ 55,7 milliard pour un scénario prévoyant une mise à l’échelle rapide. CONCLUSION: Ces projections de coûts financiers sont utilisables comme point de départ pour mobiliser les ressources au niveau mondial. Les pays auront ensuite à affiner ces estimations, mais elles pourront servir d’objectifs aux donateurs pour la définition des grandes lignes de leurs plans. Des études plus poussées sont nécessaires pour évaluer les coûts des réformes à apporter aux systèmes de santé, telles que : recrutement, formation et recyclage de personnel en effectif suffisant.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Estimar la cantidad de recursos adicionales necesarios para expandir los servicios de salud de la madre y del recién nacido en el contexto de los Objetivos de Desarrollo del Milenio, e informar a los países, donantes y organismos multilaterales sobre los recursos necesarios para alcanzar esas metas. MÉTODOS: Se empleó un modelo de cálculo de costos basado en las directrices clínicas de la OMS a fin de estimar las necesidades progresivas de recursos para asegurar la atención de salud de la madre y del recién nacido en 75 países. El modelo calculó los costos de la atención correspondiente al embarazo, el parto, el periodo neonatal y el periodo posparto, así como los costos de la planificación familiar y el consejo tras el parto, y la atención de aborto y posaborto; también se estimaron los costos de programas. El uso de un método basado en componentes, con costos financieros para los años 2006-2015 como resultado, permitió hacer estimaciones para poblaciones, costos unitarios y ritmos de expansión en países específicos y años específicos. Se usaron dos escenarios con diferentes ritmos de expansión (moderado y rápido). RESULTADOS: Los resultados muestran que se requiere un incremento medio anual mínimo de los recursos del orden de US$ 3900 millones, aunque los costos anuales aumentan a lo largo del periodo considerado en el modelo. Si se asumen ritmos más rápidos de expansión, esa cifra mínima puede llegar a ser de US$ 5600 millones anuales. Los costos adicionales estimados a 10 años varían entre US$ 39 300 millones para un escenario de expansión moderada y US$ 55 700 millones para el escenario de expansión rápida. CONCLUSIÓN: Estas proyecciones de los futuros costos financieros pueden servir de punto de partida para movilizar recursos mundiales. Los países tendrán que seguir refinando estas estimaciones, pero las cifras pueden ser utilizadas por los donantes como metas para orientar sus planes. Es necesario realizar nuevas investigaciones para medir los costos de las reformas de los sistemas de salud, como las relacionadas con la contratación, formación y conservación de personal en número suficiente.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To estimate the amount of additional resources needed to scale up maternal and newborn health services within the context of the Millennium Development Goals, and to inform countries, donors and multilateral agencies about the resources needed to achieve these goals. METHODS: A costing model based on WHO’s clinical guidelines was used to estimate the incremental resource needs for maternal and newborn health care in 75 countries. The model estimated the costs for care during pregnancy, childbirth, the neonatal period and the postpartum period, as well as the costs for postpartum family planning and counselling, abortion and post-abortion care; programme-level costs were also estimated. An ingredients-based approach, with financial costs for the years 2006 to 2015 as the output, allowed estimates to be made of country-specific and year-specific populations, unit costs and scale-up rates. Two scenarios using different scale-up rates were used (moderate and rapid). FINDINGS: The results show that a minimum yearly average increase in resources of US$ 3.9 billion is needed, although annual costs increase over the time period of the model. When more rapid rates of scale-up are assumed, this minimum figure may be as high as US$ 5.6 billion per year. The 10-year estimated incremental costs range from US$ 39.3 billion for a moderate scale-up scenario to US$ 55.7 billion for the rapid scale-up scenario. CONCLUSION: These projections of future financial costs may be used as a starting point for mobilizing global resources. Countries will have to further refine these estimates, but these figures may serve as goals towards which donors can direct their plans. Further research is needed to measure the costs of health system reforms, such as recruiting, training and retaining a sufficient number of personnel.
  • Determinants of women’s participation in cervical cancer screening trial, Maharashtra, India Research

    Nene, Bhagwan; Jayant, Kasturi; Arrossi, Silvina; Shastri, Surendra; Budukh, Atul; Hingmire, Sanjay; Muwonge, Richard; Malvi, Sylla; Dinshaw, Ketayun; Sankaranarayanan, Rengaswamy

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Identifier les facteurs amenant les femmes à se soumettre à un dépistage et à un traitement du cancer du col utérin dans le cadre d’un essai contrôlé randomisé. L’objectif de cet essai était d’évaluer l’efficacité et le rapport coût/efficacité d’une inspection visuelle à l’acide acétique, d’un examen cytologique et d’un test de dépistage du papillomavirus humain dans la réduction de l’incidence du cancer du col et de la mortalité due à cette maladie à Maharashtra en Inde. MÉTHODES: Entre octobre 1999 et novembre 2003, on a sélectionné au hasard des femmes de 30 à 69 ans pour les soumettre à l’un des trois tests ou les intégrer à un groupe témoin. La participation a été étudiée pour chacun des trois bras d’intervention. Les différences entre les personnes testées et non testées ont été analysées en fonction des caractéristiques sociodémographiques des 100 800 femmes remplissant les critères d’inclusion dans l’essai et invitées à subir ce dépistage. De même, les différences entre les femmes traitées et non traitées ont été analysées en fonction des caractéristiques sociodémographiques des 932 femmes chez lesquelles on avait diagnostiqué des lésions de haut grade. La participation au dépistage et l’observance du traitement ont fait l’objet d’une analyse selon le type de test utilisé. RÉSULTATS: Par comparaison avec les femmes non testées, celles s’étant soumises à un dépistage étaient plus jeunes (30 à 39 ans), présentaient un niveau d’éducation plus élevé et avaient fait usage d’une contraception. Parmi les personnes testées, on relevait aussi une proportion plus forte de femmes mariées et plus faible de femmes n’ayant jamais eu de grossesse. Chez les 932 femmes diagnostiquées comme porteuses de lésions de haut grade ou atteintes d’un cancer invasif, 85,3 % (795) avaient reçu un traitement. La plus forte probabilité d’observance du traitement s’observait chez les femmes possédant un bon niveau d’éducation, chez celles ayant eu jusque là un petit nombre de grossesses ou chez les femmes mariées. L’analyse en fonction du type de test subi n’a fait apparaître aucune différence concernant les taux de dépistage et d’observance du traitement. CONCLUSION: Quel que soit le test employé, il est possible d’obtenir des taux de participation au dépistage du cancer du col utérin satisfaisants dans les zones rurales des pays en développement en appliquant des stratégies de prestation des services appropriées. Pour accroître encore le recours au test, des méthodes de communication et des stratégies de prestation de services, visant à encourager à se faire dépister, les femmes plus âgées et moins éduquées, ayant moins de contacts avec les services de santé génésique, sont nécessaires.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Determinar los factores asociados a la participación en el cribado y el tratamiento de seguimiento del cáncer cervicouterino en el contexto de un ensayo controlado aleatorizado. Se emprendió este ensayo a fin de evaluar la eficacia y la relación costo/eficacia de la inspección visual con ácido acético, el cribado citológico y el análisis de la presencia de papilomavirus humano como medios para reducir la incidencia de cáncer cervicouterino y la mortalidad por esa causa en Maharashtra, India. MÉTODOS: Entre octubre de 1999 y noviembre de 2003 se distribuyó aleatoriamente a una muestra de mujeres de 30 a 59 años para que se sometiera a una de las tres pruebas o formara parte del grupo testigo. Se analizó la participación para los tres tipos de intervención. Las diferencias entre las mujeres sometidas a cribado y las demás se analizaron en función de las características sociodemográficas de las 100 800 mujeres elegibles invitadas a someterse al tamizaje. El análisis comparativo de las tratadas y las no tratadas se realizó en función de las características sociodemográficas de las 932 mujeres a las que se les diagnosticaron lesiones de gran malignidad. La participación en el cribado y el cumplimiento del tratamiento se analizaron también según el tipo de prueba utilizada. RESULTADOS: En comparación con las mujeres no sometidas a análisis, las mujeres cribadas eran más jóvenes (30-39 años), tenían un mayor nivel de estudios y habían usado anticonceptivos con más frecuencia. Una mayor proporción de las mujeres sometidas a cribado estaban casadas, y una proporción inferior no había estado nunca embarazada. De las 932 mujeres a las que se les diagnosticaron lesiones de gran malignidad o cáncer invasivo, el 85,3% (795) recibieron tratamiento. Las mujeres con mayor nivel de instrucción, que habían tenido menos embarazos y que estaban casadas tenían más probabilidades de seguir el tratamiento. Cuando se procedió a analizar los resultados en función de la prueba realizada, no se observó ninguna diferencia en cuanto a las tasas de cribado o la observancia del tratamiento. CONCLUSIÓN: Independientemente de la prueba utilizada, si se usan las estrategias apropiadas para dispensar los servicios, es posible lograr un buen nivel de participación en el cribado del cáncer cervicouterino. Si se desea aumentar la participación en las iniciativas de cribado, se necesitan métodos de comunicación y estrategias de prestación de servicios que motiven a las mujeres de más edad, con menor nivel de instrucción y con menor contacto con los servicios de atención reproductiva.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To determine the factors associated with participation in cervical cancer screening and follow-up treatment in the context of a randomized controlled trial. The trial was initiated to evaluate the efficacy and cost effectiveness of visual inspection with acetic acid, cytological screening and testing for human papillomavirus in reducing the incidence of and mortality from cervical cancer in Maharashtra, India. METHODS: Between October 1999 and November 2003 women aged 30-59 years were randomized to receive one of the three tests or to a control group. Participation was analysed for all three intervention arms. The differences between those who were screened versus those who were not was analysed according to the sociodemographic characteristics of the 100 800 eligible women invited for screening. Those who were treated versus those who were not were analysed according to the sociodemographic characteristics of the 932 women diagnosed with high-grade lesions. Participation in screening and compliance with treatment were also analysed according to the type of test used. FINDINGS: Compared with women who were not tested, screened women were younger (aged 30-39), better educated and had ever used contraception. A higher proportion of screened women were married and a lower proportion had never been pregnant. Of the 932 women diagnosed with high-grade lesions or invasive cancer, 85.3% (795) received treatment. Women with higher levels of education, who had had fewer pregnancies and those who were married were more likely to comply with treatment. There were no differences in rates of screening or compliance with treatment when results were analysed by the test received. CONCLUSIONS: Irrespective of the test being used, good participation levels for cervical cancer screening can be achieved in rural areas of developing countries by using appropriate strategies to deliver services. Communication methods and delivery strategies aimed at encouraging older, less-educated women, who have less contact with reproductive services, are needed to further increase screening uptake.
  • Tsunami mortality in Aceh Province, Indonesia Research

    Doocy, Shannon; Rofi, Abdur; Moodie, Claire; Spring, Eric; Bradley, Scott; Burnham, Gilbert; Robinson, Courtland

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Des enquêtes ont été réalisées entre février et août 2005 dans neuf districts touchés par le tsunami afin de déterminer les caractéristiques de la mortalité due à cette catastrophe. MÉTHODES: Les enquêtes ont fait appel à une méthode d’échantillonnage en grappes à deux degrés avec une probabilité proportionnelle à la taille de l’unité d’échantillonnage et couvraient 1653 foyers déplacés en raison du tsunami, l’ensemble de la population de ces districts avant le tsunami représentant 10 063 individus. RÉSULTATS: Parmi la population de départ avant le tsunami, 1642 personnes au total (soit 17 %) ont été signalées comme mortes ou disparues après la catastrophe. Les taux de mortalité bruts dans les quatre zones servant de cadre à l’enquête allaient de 23,6 % dans le district d’Aceh sur la Côte ouest à 5,3 % sur la côte est. Les taux de mortalité spécifiques par âge obéissaient à un schéma de répartition similaire dans les quatre zones d’enquête, les plus forts taux de mortalité concernant les jeunes enfants (0 à 9 ans) et les personnes âgées (70 +). Le risque de mortalité était significativement plus élevé chez les femmes que chez les hommes, cette différence étant plus prononcée chez les individus entre 10 et 69 ans et plus faible parmi les jeunes et les tranches d’âges plus élevés. CONCLUSION: Le risque de mortalité comme conséquence du tsunami qui a ravagé l’Asie en 2004 était fonction du lieu géographique, de l’âge et du sexe. Les districts d’Aceh Jaya, de Banda Aceh et d’Aceh Besar ont supporté les plus forts taux de mortalité. Le risque de décès le plus élevé se rencontrait chez les femmes et chez les sous-groupes de population correspondant aux plus jeunes et aux plus âgés. S’il se peut que l’impact total, en termes de vies perdues et des destructions, de ce tsunami dans la province d’Aceh, ne soit jamais être mesuré, le déficit de femmes sera probablement la conséquence la plus intensément ressentie et la plus durable.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Entre febrero y agosto de 2005 se estudió la situación de nueve distritos afectados por el maremoto en Aceh, Indonesia, a fin de determinar la mortalidad asociada a esa catástrofe. MÉTODOS: Las encuestas, en las que se empleó una metodología por conglomerados en dos etapas con probabilidad proporcional al tamaño de la muestra, abarcaron en total a 1653 familias desplazadas por el maremoto, que suponían una población de 10 063 personas antes de la catástrofe. RESULTADOS: De la población original, un total de 1642 personas, equivalente al 17%, fueron declaradas muertas o desaparecidas tras el maremoto. Las tasas brutas de mortalidad en las cuatro zonas estudiadas oscilaron entre un máximo de 23,6% en el distrito de Aceh Jaya en la costa oeste y el 5,3% registrado en la costa este. Las tasas de mortalidad por edades mostraron un patrón similar en las cuatro zonas analizadas, concentrándose la mayor mortalidad en los niños pequeños (de 0 a 9 años) y los adultos viejos (>70 años). El riesgo de mortalidad fue considerablemente mayor entre las mujeres que entre los hombres, y esa diferencia fue más pronunciada entre las personas de 10 a 69 años que en los grupos de edad más joven y más viejo. CONCLUSIÓN: El riesgo de mortalidad en el maremoto que asoló Asia en 2004 guarda relación con el lugar geográfico, la edad y el sexo. Los distritos de Aceh Jaya, Banda Aceh y Aceh Besar son los que presentaron la mayor mortalidad. El riesgo de defunción fue máximo entre las mujeres y entre los subgrupos de población más viejo y más joven. Aunque es posible que nunca se logre medir de forma fiable el impacto humano del maremoto asiático en la provincia de Aceh en términos de vidas perdidas o personas lesionadas, el déficit resultante de mujeres constituirá probablemente la repercusión más profunda y prolongada de esa catástrofe.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: Nine tsunami-affected districts in Aceh, Indonesia, were surveyed between February and August 2005 to characterize tsunami mortality. METHODS: The surveys employed a two-stage cluster methodology with probability proportional to size sampling, and encompassed 1653 tsunami-displaced households with a pre-tsunami population of 10 063 individuals. FINDINGS: Of the original pre-tsunami population, a total of 1642 people, or 17%, were reported as dead or missing in the tsunami. Crude mortality rates in the four survey areas ranged from a high of 23.6% in Aceh Jaya district on the west coast to 5.3% on the east coast. Age-specific mortality rates followed a similar pattern across the four survey areas, with the highest mortality concentrating in the youngest children (aged 0-9 years) and oldest adults (70+). The risk of mortality was significantly greater among females than males; this difference was most pronounced among individuals between ages 10 and 69 years, and diminished among younger and older age groups. CONCLUSION: Mortality risk in the 2004 Asian tsunami varied by geographic location, age and sex. The districts of Aceh Jaya, Banda Aceh and Aceh Besar experienced the greatest mortality. Risk of death was highest among females, and among the oldest and youngest population subgroups. While the full human impact of the Asian tsunami in Aceh Province, in terms of lives lost or damaged, may never be fully measured, the resulting female deficit will likely be the tsunami’s most deeply felt and prolonged impact.
  • The availability and affordability of selected essential medicines for chronic diseases in six low- and middle-income countries Research

    Mendis, Shanti; Fukino, Keiko; Cameron, Alexandra; Laing, Richard; Filipe Jr, Anthonio; Khatib, Oussama; Leowski, Jerzy; Ewen, Margaret

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Évaluer la disponibilité et l’accessibilité économique dans six pays à revenu faible ou moyen de médicaments utilisés pour le traitement de maladies cardiovasculaires, des diabètes, d’affections respiratoires chroniques et du glaucome, ainsi que pour les soins palliatifs dispensés aux cancéreux. MÉTHODES: Une enquête sur la disponibilité et le prix de 32 médicaments a été menée sur un échantillon représentatif d’officines pharmaceutiques publiques et privées, situées dans quatre régions géographiquement définies du Bengladesh, du Brésil, du Malawi, du Népal, du Pakistan et du Sri Lanka. Nous avons analysé le pourcentage de ces médicaments disponible, leur prix médian par rapport au prix international de référence (exprimé sous forme de ratio de prix médian) et leur accessibilité économique, évaluée d’après le nombre de jours de salaire que devrait débourser le fonctionnaire le moins payé pour acheter un mois de traitement. RÉSULTATS: Dans tous les pays étudiés, 7,5 % ou moins de ces 32 médicaments étaient disponibles dans le secteur public, sauf au Brésil, où la proportion de médicaments disponibles était de 30 %, et au Sri Lanka, où elle était de 28 %. Les ratios de prix médians étaient très variables, allant de 0,09 pour le losartan au Sri Lanka à 30,44 pour l’aspirine au Brésil. Dans le secteur pharmaceutique privé du Malawi et du Sri Lanka, le coût des produits innovants était trois fois plus élevé que celui des génériques. Un mois de traitement associé pour une maladie coronarienne coûtait 18,4 jours de salaire au Malawi, 6,1 au Népal, 5,4 au Pakistan, 5,1 au Brésil, 1,6 au Bangladesh et 1,5 au Sri Lanka. Le coût d’un mois de traitement associé contre l’asthme allait de 1,3 jour de salaire au Bangladesh à 9,2 jours de salaire au Malawi. Celui d’une cure d’un mois d’insuline à action intermédiaire variait de 2,8 jours de salaire au Brésil à 19,6 jours de salaire au Malawi. CONCLUSION: Des stratégies adaptées au contexte sont nécessaires pour améliorer l’accès aux médicaments essentiels. Il convient de promouvoir l’usage des médicaments génériques à travers l’éducation des professionnels et des consommateurs, la mise en œuvre de politiques et d’incitations appropriées et la mise en place d’une concurrence commerciale et/ou d’une réglementation des prix. Une administration et une gestion plus efficaces, ainsi qu’une évaluation des options d’approvisionnement locales, pourraient permettre une plus grande disponibilité des médicaments. Une baisse des prix serait possible en améliorant l’efficacité des services d’achat, en supprimant les taxes et en réglementant les marges bénéficiaires.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar la disponibilidad y asequibilidad de diversos medicamentos utilizados para tratar las enfermedades cardiovasculares, la diabetes, las enfermedades respiratorias crónicas y el glaucoma y para proporcionar atención paliativa contra el cáncer en seis países de ingresos bajos y medios. MÉTODOS: Se llevó a cabo una encuesta sobre la disponibilidad y el precio de 32 medicamentos en una muestra representativa de puntos de venta públicos y privados en cuatro zonas geográficas concretas de Bangladesh, el Brasil, Malawi, Nepal, el Pakistán y Sri Lanka. Analizamos el porcentaje disponible de esos medicamentos, el precio mediano en comparación con el precio de referencia internacional (expresado como proporción del precio mediano) y la asequibilidad expresada en función del número de días de sueldo que le costaría al funcionario público peor pagado adquirir el tratamiento necesario para un mes. RESULTADOS: En el conjunto de todos los países, se podía disponer en el sector público de un porcentaje inferior o igual al 7,5% de esos 32 medicamentos, exceptuando los casos del Brasil, donde se tenía acceso al 30%, y de Sri Lanka, donde se podía acceder al 28%. Las proporciones del precio mediano diferían muy ampliamente, desde el 0,09 para el losartan en Sri Lanka hasta el 30,44 para la aspirina en el Brasil. En el sector privado de Malawi y Sri Lanka, el costo de los productos innovadores era tres veces superior al de los genéricos. Un mes de tratamiento combinado para la cardiopatía coronaria costaba 18,4 días de sueldo en Malawi, 6,1 días en Nepal, 5,4 en el Pakistán y 5,1 en el Brasil; en Bangladesh el costo era de 1,6 días de sueldo, y en Sri Lanka de 1,5. El costo de un mes de tratamiento combinado para el asma se situaba entre 1,3 días de sueldo en Bangladesh y 9,2 días en Malawi. Y el costo de un régimen de un mes de insulina de acción intermedia oscilaba entre 2,8 días de sueldo en el Brasil y 19,6 en Malawi. CONCLUSIÓN: Se requieren políticas adaptadas al contexto para conseguir mejorar el acceso a los medicamentos esenciales. Es necesario promover los productos genéricos educando a los profesionales y a los consumidores, implementando políticas e incentivos apropiados, e introduciendo medidas de regulación de los precios y/o de la competencia en el mercado. La mejora de la gobernanza y la eficiencia de la gestión, así como la evaluación de las opciones de suministro locales, pueden contribuir a mejorar la disponibilidad. Y es posible reducir los precios mejorando la eficiencia de las compras, eliminando impuestos y regulando los márgenes de beneficio.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess the availability and affordability of medicines used to treat cardiovascular disease, diabetes, chronic respiratory disease and glaucoma and to provide palliative cancer care in six low- and middle-income countries. METHODS: A survey of the availability and price of 32 medicines was conducted in a representative sample of public and private medicine outlets in four geographically defined areas in Bangladesh, Brazil, Malawi, Nepal, Pakistan and Sri Lanka. We analysed the percentage of these medicines available, the median price versus the international reference price (expressed as the median price ratio) and affordability in terms of the number of days’ wages it would cost the lowest-paid government worker to purchase one month of treatment. FINDINGS: In all countries < 7.5% of these 32 medicines were available in the public sector, except in Brazil, where 30% were available, and Sri Lanka, where 28% were available. Median price ratios varied substantially, from 0.09 for losartan in Sri Lanka to 30.44 for aspirin in Brazil. In the private sector in Malawi and Sri Lanka, the cost of innovator products (the pharmaceutical product first given marketing authorization) was three times more than generic medicines. One month of combination treatment for coronary heart disease cost 18.4 days’ wages in Malawi, 6.1 days’ wages in Nepal, 5.4 in Pakistan and 5.1 in Brazil; in Bangladesh the cost was 1.6 days’ wages and in Sri Lanka it was 1.5. The cost of one month of combination treatment for asthma ranged from 1.3 days’ wages in Bangladesh to 9.2 days’ wages in Malawi. The cost of a one-month course of intermediate-acting insulin ranged from 2.8 days’ wages in Brazil to 19.6 in Malawi. CONCLUSION: Context-specific policies are required to improve access to essential medicines. Generic products should be promoted by educating professionals and consumers, by implementing appropriate policies and incentives, and by introducing market competition and/or price regulation. Improving governance and management efficiency, and assessing local supply options, may improve availability. Prices could be reduced by improving purchasing efficiency, eliminating taxes and regulating mark-ups.
  • Infant feeding counselling for HIV-infected and uninfected women: appropriateness of choice and practice Research

    Bland, RM; Rollins, NC; Coovadia, HM; Coutsoudis, A; Newell, ML

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Examiner les intentions en matière d’alimentation de leur nourrisson de femmes infectées et non-infectées par le VIH ; la pertinence de leur choix en fonction des ressources dont elles disposent à domicile ; et le maintien de ces options une semaine après l’accouchement. MÉTHODES: Les intentions en matière d’alimentation de leur futur enfant de femmes enceintes ont été confrontées à quatre éléments de ressource facilitant l’utilisation de substituts du lait maternel : eau saine, combustible adéquat, accès à un réfrigérateur et revenus maternels réguliers. RÉSULTATS: L’analyse des intentions émises avant l’accouchement par 1253 femmes infectées par le VIH au sujet de l’alimentation de leur nourrisson a donné les résultats suivants : allaitement maternel exclusif 73 % ; utilisation de substituts du lait maternel 9 % ; pas de décision arrêtée 18 %. Parmi les femmes ayant choisi de recourir à une alimentation de substitution, 8 % avaient accès aux 4 éléments de ressources précités. Des corrélations indépendantes ont été relevées entre l’intention de donner à l’enfant un substitut du lait maternel et la disponibilité pour la mère d’un approvisionnement en eau saine et celle de revenus réguliers (odds ratio ajusté = 1,94, IC à 95 % = 1,2-3,2 et odds ratio = 2,1 ; IC à 95 % = 1,2-3,5, respectivement). Parmi les femmes infectées par le VIH, la proportion de celles se conformant pendant la première semaine postpartum à l’intention exprimée était notablement plus importante chez les mères ayant prévu de nourrir leur enfant exclusivement au sein que chez celles ayant d’abord opté pour un substitut du lait maternel (allaitement exclusif : 78 % ; alimentation de substitution : 42 %, p < 0,001). Parmi les 1238 femmes non-infectées, 1021 (82 %) avaient l’intention de donner exclusivement le sein, 21 (2 %) comptaient utiliser un substitut du lait maternel et 193 (16 %) n’avaient pas pris de décision. 75 % des femmes ayant opté pour l’allaitement exclusif se sont tenues à leur choix après l’accouchement et 11 nourrissons seulement (< 1 %) n’ont pas reçu de lait maternel. Le nombre de visites anténatales à domicile influait de manière significative sur le maintien de l’option d’alimentation. CONCLUSION: La plupart des femmes infectées par le VIH ne disposaient pas des ressources permettant une alimentation de substitution sans risque de leur nourrisson et ont choisi l’option la plus appropriée, à savoir l’allaitement exclusif. La proportion de femmes infectées par le VIH respectant leur intention d’alimentation était plus importante chez celles ayant opté pour l’allaitement exclusif que chez celles ayant l’intention de donner un substitut du lait maternel. L’apport de conseils et d’un soutien appropriés permet donc de réduire au minimum la diffusion de pratiques non optimales chez les femmes non-infectées par le VIH.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Estudiar las intenciones de las mujeres VIH-positivas y VIH-negativas en lo relativo a la alimentación del lactante; la idoneidad de sus decisiones en función de sus recursos domésticos; y el cumplimiento de esas decisiones al cabo de una semana del nacimiento. MÉTODOS: Se procedió a comparar las decisiones sobre el tipo de alimentación tomadas por las mujeres embarazadas en relación con cuatro recursos que facilitan la alimentación sustitutiva (AS), a saber, el agua salubre, la disponibilidad de combustible suficiente, el acceso a un frigorífico, y unos ingresos maternos regulares. Durante la primera semana tras el parto se documentaron las prácticas de alimentación. RESULTADOS: Las intenciones prenatales que respecto a la alimentación manifestaron 1253 madres infectadas por el VIH fueron las siguientes: LNE (lactancia natural exclusiva), 73%; AS, 9%; no decidido, 18%. El 3% de las mujeres tenían acceso a los cuatro recursos considerados, y el 23% de ellas eligieron la AS. Entre quienes optaron por la AS, el 8% tenían acceso a los cuatro recursos. El suministro de agua salubre y unos ingresos maternos regulares se asociaron de forma independiente al deseo de recurrir a la AS (AOR (razón de posibilidades ajustada): 1,94; IC95%: 1,2-3,2; AOR: 2,1; IC95%: 1,2-3,5 respectivamente). Entre las mujeres VIH-positivas con intención de practicar la LNE se observó un porcentaje significativamente mayor de cumplimiento de ese deseo durante la primera semana en comparación con las que optaron por la AS (LNE, 78%; AS, 42%; p < 0,001). De las 1238 mujeres no infectadas por el VIH, 1021 (82%) optaron por la LNE; 21 (2%) por la AS; y 193 (16%) estaban indecisas. El 75% de las que optaron por la LNE la practicaron efectivamente tras el parto, y sólo 11 lactantes (<1%) no fueron amamantados. El número de visitas domiciliarias prenatales influyó de forma considerable en el cumplimiento de los deseos en materia de alimentación. CONCLUSIÓN: La mayoría de las mujeres infectadas por el VIH no disponían de los recursos necesarios para garantizar una AS segura, y eligieron acertadamente la LNE. El cumplimiento de las decisiones en materia de alimentación entre las mujeres infectadas por el VIH fue mayor entre las que optaron por la LNE que entre las que se inclinaron por la AS. Si existe un asesoramiento y un apoyo apropiados, la propagación de las prácticas de alimentación subóptimas a las mujeres VIH-negativas es mínima.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To examine infant feeding intentions of HIV-infected and uninfected women and the appropriateness of their choices according to their home resources; and to determine their adherence to their intentions in the first postnatal week. METHODS: Feeding intentions of pregnant women were compared against four resources that facilitate replacement feeding: clean water, adequate fuel, access to a refrigerator and regular maternal income. First-week feeding practices were documented. FINDINGS: The antenatal feeding intentions of 1253 HIV-infected women were: exclusive breastfeeding 73%; replacement feeding 9%; undecided 18%. Three percent had access to all four resources, of whom 23% chose replacement feeding. Of those choosing replacement feeding, 8% had access to all four resources. A clean water supply and regular maternal income were independently associated with intention to replacement feed (adjusted odds ratio (AOR) 1.94, 95% confidence interval (CI) 1.2-3.2; AOR 2.1, 95% CI: 1.2-3.5, respectively). Significantly more HIV-infected women intending to exclusively breastfeed, rather than replacement feed, adhered to their intention in week one (exclusive breastfeeding 78%; replacement feeding 42%; P < 0.001). Of 1238 HIV-uninfected women, 82% intended to exclusively breastfeed; 2% to replacement feed; and 16% were undecided. Seventy-five percent who intended to exclusively breastfeed adhered to this intention postnatally, and only 11 infants (< 1%) received no breast milk. The number of antenatal home visits significantly influenced adherence to feeding intention. CONCLUSION: Most HIV-infected women did not have the resources for safe replacement feeding, instead choosing appropriately to exclusively breastfeed. Adherence to feeding intention among HIV-infected women was higher in those who chose to exclusively breastfeed than to replacement feed. With appropriate counselling and support, spillover of suboptimal feeding practices to HIV-negative women is minimal.
  • Trichomoniasis and bacterial vaginosis in pregnancy: inadequately managed with the syndromic approach Research

    Romoren, M; Velauthapillai, M; Rahman, M; Sundby, J; Klouman, E; Hjortdahl, P

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Déterminer la prévalence des infections à Trichomonas vaginalis (TV) et des vaginites bactériennes (VB) chez les femmes enceintes du Botswana et mener une évaluation comparée de l’approche syndromique et d’autres stratégies pour la prise en charge de ces pathologies pendant la grossesse. MÉTHODES: Dans le cadre d’une étude transversale, on a interrogé et examiné 703 femmes se présentant aux visites prénatales et on a prélevé chez elles des échantillons pour recherche de TV, d’une éventuelle VB, de Candida, de Chlamydia trachomatis et de Neisseria gonorrhoeae. Des entretiens structurés et l’exploitation des dossiers prénatals ont permis de recueillir des éléments sur les infections de l’appareil reproducteur survenues à un stade antérieur de la grossesse. RÉSULTATS: On a diagnostiqué une infection à TV chez 19% des femmes examinées et une VB chez 38% d’entre elles. Trois quarts des femmes atteintes d’infection à TV ou VB étaient asymptomatiques. Une prise en charge syndromique selon l’Algorithme pour les pertes vaginales de l’OMS aurait conduit à un sous-diagnostic notable de certaines pathologies et à un surtraitement des infections à TV et des VB. Les pertes vaginales se sont révélées plus fortement prédictives de la présence de ces affections que les symptômes. Parmi les 546 femmes reçues dans le cadre des visites prénatales, 142 (26 %) avaient déjà été diagnostiquées comme présentant des pertes vaginales à un stade antérieur de la grossesse (à deux reprises pour 14 d’entre elles). On a relevé 143 cas de pertes vaginales au deuxième ou au troisième trimestres de grossesse parmi les femmes examinées lors de ces visites prénatales. Néanmoins, ces pertes n’ont donné lieu que 17 fois à la prescription de métronidazole (12 % des cas). CONCLUSION: Le diagnostic et le traitement des infections à TV et des VB chez les femmes enceintes d’Afrique subsaharienne présentent des difficultés majeures. Cette étude a conduit à diagnostiquer une infection à TV ou une VB chez la moitié des femmes enceintes, mais ces affections n’ont été ni détectées, ni traitées, par la prise en charge syndromique appliquée lors des visites prénatales. De même, le personnel soignant ne suivait par les recommandations thérapeutiques. Ces résultats témoignent de la nécessité d’une révision du Guide pour la prise en charge des IST à TV et des VB dans le cadre des soins prénatals.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Medir la prevalencia de la infección por Trichomonas vaginalis (TV) y la vaginosis bacteriana (VB) entre las embarazadas en Botswana, y evaluar el manejo sindrómico y otras estrategias de tratamiento para esas enfermedades en el embarazo. MÉTODOS: Se realizó un estudio transversal en el que se entrevistó y examinó a 703 mujeres que recibieron atención prenatal. Se obtuvieron muestras para detectar los casos de infección por TV, VB, Candida, Chlamydia trachomatis y Neisseria gonorrhoeae. La realización de una entrevista estructurada y el examen de los registros prenatales permitieron reunir información sobre las infecciones del aparato reproductor sufridas en fases anteriores del embarazo. RESULTADOS: Se detectó TV en el 19% de las mujeres examinadas, y VB en el 38%. Tres cuartas partes de las mujeres con TV o VB no presentaban síntomas. El manejo sindrómico basado en el algoritmo del flujo vaginal llevaría a subdiagnosticar y sobretratar considerablemente la infección por TV y la VB. A la hora de determinar la presencia de esas enfermedades, los signos de flujo vaginal tenían un mayor valor predictivo que los síntomas. Entre las 546 mujeres que ya habían realizado antes una visita prenatal, a 142 (26%) se les había diagnosticado flujo vaginal en fases anteriores del embarazo (a 14 de ellas dos veces). En 143 casos se diagnosticó flujo vaginal en el segundo o tercer trimestre, pero sólo se había prescrito metronidazol en 17 ocasiones (12%). CONCLUSIÓN: El diagnóstico y tratamiento de la infección por TV y la VB entre las embarazadas en el África subsahariana tropieza con importantes dificultades. A la mitad de las embarazadas participantes en este estudio se les diagnosticó TV o VB, pero esas afecciones no fueron detectadas y tratadas en visitas de atención prenatal en que se aplicaba el manejo sindrómico. Además, los trabajadores sanitarios no seguían las directrices terapéuticas. Estos resultados indican que es necesario revisar las directrices de tratamiento de la infección por TV y la VB en la atención prenatal.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To measure the prevalence of Trichomonas vaginalis (TV) infection and bacterial vaginosis (BV) among pregnant women in Botswana, and to evaluate the syndromic approach and alternative management strategies for these conditions in pregnancy. METHODS: In a cross-sectional study, 703 antenatal care attendees were interviewed and examined, and specimens were collected to identify TV, BV, Candida species, Chlamydia trachomatis and Neisseria gonorrhoeae. Information on reproductive tract infections earlier in pregnancy was obtained from a structured interview and the antenatal record. FINDINGS: TV was found in 19% and BV in 38% of the attendees. Three-fourths of women with TV or BV were asymptomatic. Syndromic management according to the vaginal discharge algorithm would lead to substantial under-diagnosis and over-treatment of TV and BV. Signs of vaginal discharge were more predictive of the presence of these conditions than were symptoms. Among the 546 attendees on a repeat antenatal visit, 142 (26%) had been diagnosed with vaginal discharge earlier in their pregnancy - 14 of them twice. In 143 cases, an attendee was diagnosed with vaginal discharge in the second or third trimester; however, metronidazole had been prescribed only 17 times (12%). CONCLUSION: Diagnosis and treatment of TV and BV among pregnant women in sub-Saharan Africa presents major challenges. Half the pregnant women in this study were diagnosed with TV or BV, but these conditions were not detected and treated during antenatal care with syndromic management. Also, health workers did not adhere to treatment guidelines. These results indicate that management guidelines for TV and BV in antenatal care should be revised.
  • A financial road map to scaling up essential child health interventions in 75 countries Research

    Stenberg, Karin; Johns, Benjamin; Scherpbier, Robert W; Edejer, Tessa Tan-Torres

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Evaluer les ressources supplémentaires requises pour la mise à l’échelle nationale d’interventions destinées à réduire la morbidité et la mortalité infantiles, conformément au quatrième objectif du Millénaire pour le développement, qui prévoit de faire baisser de deux tiers la mortalité des enfants de moins de 5 ans d’ici 2015. MÉTHODES: Un modèle d’évaluation des coûts a été mis au point pour obtenir une estimation des moyens financiers nécessaires dans 75 pays pour étendre à l’échelle nationale des interventions prioritaires s’attaquant aux causes majeures de mortalité chez les enfants de moins de 5 ans, dont la malnutrition, la pneumonie, la diarrhée, le paludisme et d’autres causes importantes de décès pour les nouveau-nés, telles que la septicémie. Des calculs effectués selon des approches ascendantes et par composants ont permis d’estimer les coûts financiers par intervention, par pays et par an. Ces coûts prennent en compte les recommandations de l’OMS sur les intrants et les stratégies de mise en œuvre des interventions et couvrent cette mise en œuvre aux niveaux des communautés et des établissements de soins. Ils incluent aussi les investissements programmatiques nécessaires à l’échelle du pays et des districts. RÉSULTATS: Le scénario de mise à l’échelle prévoit un coût supplémentaire de US $ 52,4 milliard pour la période 2006-2015. Ce coût représente une augmentation des dépenses de santé totales par habitant dans ces 75 pays de US $ 0,47 pour 2006, chiffre qui devrait passer à US $ 1,46 pour 2015, d’après les projections. Les coûts projetés pour 2015 correspondent à une augmentation des dépenses totales moyennes de santé de 8 % pour l’ensemble des sources de financement des 75 pays et de 26 %, par rapport aux chiffres de 2002 (dernière année pour laquelle on disposait de données pendant l’étude), pour les dépenses générales de santé couvertes par les États. D’après le scénario de mise à l’échelle, les pays dont le système de santé est encore faible pourraient avoir des difficultés à mobiliser au niveau national des fonds publics suffisants. CONCLUSION: Bien que les résultats de cette étude soient des estimations grossières, ils font apparaître un important déficit de capacités d’investissement, que les pays à revenu faible ou moyen et leurs partenaires de développement devront combler pour atteindre le quatrième objectif du Millénaire pour le développement.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Estimar los recursos adicionales requeridos para expandir las intervenciones encaminadas a reducir la mortalidad y la morbilidad en la niñez en el contexto de la meta del cuarto Objetivo de Desarrollo del Milenio de reducir la mortalidad entre los menores de cinco años en dos tercios para el año 2015. MÉTODOS: Se elaboró un modelo de cálculo de costos para estimar los recursos financieros que se necesitaban en 75 países para expandir intervenciones prioritarias que abordan las principales causas de mortalidad entre los menores de cinco años, entre ellas la malnutrición, la neumonía, la diarrea, la malaria y causas importantes de mortalidad neonatal como la septicemia. Las estimaciones se llevaron a cabo mediante métodos microeconómicos y basados en componentes, lo que permitió estimar los costos financieros para cada intervención, país y año. Los costos reflejan las directrices de la OMS sobre los insumos y las estrategias de ejecución y abarcan la aplicación de intervenciones a nivel de comunidad y de servicio. Esos costos incluyen también las inversiones específicas de programa necesarias a nivel nacional y de distrito. RESULTADOS: El escenario de expansión prevé que se necesitarán US$ 52 400 millones más para el periodo 2006-2015. Ello representa un aumento del gasto sanitario per cápita total en los 75 países de US$ 0,47 en 2006, y según las proyecciones la cifra aumentaría a US$ 1,46 en 2015. Los costos previstos para 2015 equivalen a aumentar el gasto sanitario total medio con cargo a todas las fuentes de financiación en los 75 países en un 8%, y el gasto del gobierno general en salud en un 26%, respecto a los niveles de 2002. (Los últimos datos disponibles en el momento de realizar el estudio eran los de 2002.) El escenario de expansión indica que los países con sistemas de salud precarios pueden tener dificultades para movilizar suficientes fondos públicos nacionales. CONCLUSIÓN: Si bien se trata de estimaciones aproximadas, los resultados muestran un déficit considerable de inversión que los países de ingresos bajos y medios y sus asociados para el desarrollo deberán subsanar para alcanzar el cuarto Objetivo de Desarrollo del Milenio.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To estimate the additional resources required to scale up interventions to reduce child mortality and morbidity within the context of the fourth Millennium Development Goal’s aim to reduce mortality among children aged < 5 years by two-thirds by 2015. METHODS: A costing model was developed to estimate the financial resources needed in 75 countries to scale up priority interventions that address the major causes of mortality among children aged < 5 years, including malnutrition, pneumonia, diarrhoea, malaria and key newborn causes of death such as sepsis. Calculations were made using bottom-up and ingredients-based approaches; this allowed financial costs to be estimated for each intervention, country and year. Costs reflect WHO guidelines on inputs and delivery strategies and encompass the delivery of interventions at community and facility levels. These costs also include programme-specific investments needed at national level and district level. FINDINGS: The scale-up scenario predicts that an additional US$ 52.4 billion will be required for the period 2006-2015. This represents an increase in total per-capita health expenditure in the 75 countries of US$ 0.47 in 2006; this is projected to increase to US$ 1.46 in 2015. Projected costs in 2015 are equivalent to increasing the average total health expenditure from all financial sources in the 75 countries by 8% and raising general government health expenditure by 26% over 2002 levels. (The latest data available at the time of the study were for 2002.) The scale-up scenario indicates that countries with weak health systems may experience difficulties mobilizing enough domestic public funds. CONCLUSIONS: While the results are approximate estimates, they show a substantial investment gap that low- and middle-income countries and their development partners need to bridge to reach the fourth Millennium Development Goal.
  • Improving national data collection systems from voluntary counselling and testing centres in Kenya Lessons from the Field

    Otwombe, Kennedy N; Wanyungu, John; Nduku, Kilonzo; Taegtmeyer, Miriam

    Resumo em Francês:

    PPROBLÈMATIQUE: Le recueil de données à partir des sites de conseil et de dépistage agréés du Kenya s’effectue très difficilement, d’où une insuffisance des statistiques réunies au niveau national à des fins de la planification. Un exercice a été pratiqué pour identifier les obstacles s’opposant à la circulation des données au niveau des sites de conseil et de dépistage volontaire kenyans. DÉMARCHE APPLIQUÉE: Une enquête a été menée à partir des dossiers tenus par 332 sites de conseil et de dépistage volontaire kényans. Les données tirées des dossiers ont été comparées avec celles dont dispose le Bureau national des statistiques. L’exercice a été réalisé en 2004, du 5 septembre au 15 octobre. CONTEXTE LOCAL: Tous les sites de conseil et de dépistage volontaire agréés du Kenya. MODIFICATIONS INTÉRESSANTES APPORTÉES: A l’issue de l’exercice, diverses mesures visant à améliorer la collecte et la transmission des données par ces sites ont été mises en place. Parmi ces mesures, figuraient l’introduction d’un outil de collecte et de transmission homogènes des données dans tous les districts du pays, le renforcement du mécanisme d’information en retour, destiné à renseigner les provinces et les districts sur leur situation en matière de notification, et l’apport d’un soutien accru à la composante Qualité des données du système national d’assurance de la qualité s’appliquant au conseil et au dépistage volontaire du VIH. ENSEIGNEMENTS TIRÉS: Il est possible d’améliorer considérablement la qualité et la complétude des notifications transmises par les centres de conseil et de dépistage en délégant périodiquement des spécialistes nationaux dans ces centres afin de former sur place les personnes chargées de recueillir les informations à la gestion des données et de résoudre les problèmes de qualité affectant ces données. La perception par les personnes travaillant dans ces centres de l’intérêt des données qu’ils recueillent et du processus de collecte est déterminante pour la qualité de ces données et leur notification en temps utile.

    Resumo em Espanhol:

    PROBLEMA: Los datos sobre el asesoramiento y pruebas voluntarias (APV) obtenidos en los centros registrados en Kenya presentan muchas deficiencias, lo que impide que la oficina nacional disponga de estadísticas suficientes a efectos de planificación. Se emprendió un trabajo para determinar los factores que obstaculizaban el flujo de los datos en los centros de APV en Kenya. MÉTODOS: Se llevó a cabo un estudio de los registros de 332 centros de APV de Kenya. Los datos de los registros in situ se compararon con los de la oficina nacional. El trabajo se realizó en 2004, entre el 5 septiembre y el 15 de octubre. CONTEXTO LOCAL: Todos los centros de APV registrados en Kenya. CAMBIOS DESTACABLES: Terminado el trabajo se implantaron diversas medidas para mejorar la recopilación y notificación de los datos de APV. Entre ellas cabe citar el suministro de un instrumento de recogida y notificación de datos uniforme a todos los distritos del país, el refuerzo de un mecanismo de retroinformación para poner al día a las provincias y los distritos acerca de su situación en cuanto a la notificación, y un mayor apoyo al componente de datos del sistema nacional de garantía de la calidad para el APV. EXPERIENCIA ADQUIRIDA: Las visitas periódicas al terreno a cargo de funcionarios nacionales para ofrecer a los encargados de recoger los datos formación en el empleo sobre la gestión de los datos y para abordar aspectos de la calidad de los mismos permiten mejorar extraordinariamente la calidad y la completud de los informes sobre el APV. La importancia asignada a los datos y al proceso de recopilación de datos por quienes trabajan en los centros es el factor más decisivo para asegurar la calidad de los datos y la puntualidad de las notificaciones.

    Resumo em Inglês:

    PROBLEM: Voluntary counselling and testing (VCT) data from the registered sites in Kenya have been fraught with challenges, leading to insufficient statistics in the national office for planning purposes. An exercise was carried out to determine the barriers to the flow of data in VCT sites in Kenya. APPROACH: A record-based survey was conducted at 332 VCT sites in Kenya. Data from on-site records were compared with those in the national office. The exercise was conducted in 2004 between 5 September and 15 October. LOCAL SETTING: All registered VCT sites in Kenya. RELEVANT CHANGES: After the exercise, various measures to enhance VCT data collection and reporting were implemented. They include the provision of a uniform data collection and reporting tool to all the districts in the country, the strengthening of a feedback mechanism to update provinces and districts on their reporting status and increased support to the data component of the national quality assurance for VCT. LESSONS LEARNED: Periodical field visits by the national officials to offer on-the-job training about data management to data collectors and to address data quality issues can dramatically improve the quality and completeness of VCT reports. The perceived relevance of the data and the data collection process to those working at the sites is the critical factor for data quality and timeliness of reporting.
  • Setting priorities for health research: lessons from low- and middle-income countries Perspectives

    Nuyens, Yvo
  • Saving women’s lives: evidence-based recommendations for the prevention of postpartum haemorrhage Perspectives

    Mathai, Matthews; Gülmezoglu, A Metin; Hill, Suzanne
  • Corrigenda Corrigenda

  • SARS: how a global epidemic was stopped Books & Electronic Media

    Chew, Suok Kai
World Health Organization Genebra - Genebra - Switzerland
E-mail: bulletin@who.int