• In this month's bulletin In This Month´s Bulletin

  • The challenge of communicable diseases in the WHO South-East Asia region Editorials

    Narain, Jai P; Bhatia, R
  • Climate change and its potential impact on health: a call for integrated action Editorials

    Kumaresan, Jacob; Sathiakumar, Nalini
  • Tuberculosis in the WHO South-East Asia region Editorials

    Nair, Nani; Wares, Fraser; Sahu, Suvanand
  • High hopes for oral cholera vaccine News

  • In the market for proper sanitation News

  • Spectre of ageing population worries economists News

  • Save lives by counting the dead News

  • Recent news from WHO News

  • Eco-bio-social determinants of dengue vector breeding: a multicountry study in urban and periurban Asia Research

    Arunachalam, Natarajan; Tana, Susilowati; Espino, Fe; Kittayapong, Pattamaporn; Abeyewickrem, Wimal; Wai, Khin Thet; Tyagi, Brij Kishore; Kroeger, Axel; Sommerfeld, Johannes; Petzold, Max

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Étudier les schémas de reproduction des vecteurs de la dengue dans diverses conditions et dans des espaces publics et privés, rechercher les facteurs écologiques, biologiques et sociaux impliqués dans la reproduction de ces vecteurs et la transmission virale et déterminer les principales implications pour la lutte antivectorielle. MÉTHODES: Dans six grandes villes ou zones périurbaines d'Asie, une équipe a sélectionné au hasard des groupes urbains pour mener des enquêtes auprès des ménages standardisées, des enquêtes de voisinage et des enquêtes entomologiques. Les équipes ont recueilli des informations sur les sites de reproduction des vecteurs, les connaissances des habitants, les attitudes et les pratiques à propos de la dengue et les caractéristiques des zones étudiées. Tous les lieux ont été inspectés ; les équipes ont utilisé les indices larvaires pour évaluer sur le plan quantitatif les sites de reproduction vectorielle et le décompte des pupes pour identifier les types d'objets renfermant de l'eau les plus productifs et pour servir de mesure indirecte de l'abondance des vecteurs adultes. RÉSULTATS: Les sites de reproduction les plus productifs étaient les objets renfermant de l'eau situés à l'extérieur, en particulier lorsqu'ils étaient dépourvus de couvercle, sous des broussailles et inutilisés pendant au moins une semaine. Les zones péridomestiques et intradomestiques jouaient un rôle beaucoup plus important dans la production de pupes que les espaces commerciaux et publics autres que les écoles et les édifices religieux. Une association complexe, mais non significative, a été relevée entre l'approvisionnement en eau et le nombre de pupes décomptées et on a constaté un lien entre le manque de services d'élimination des déchets et une plus grande abondance des vecteurs sur un site seulement. La présence de meilleures connaissances sur la dengue et sa transmission chez les habitants était également associée à une reproduction et à une production plus limitées des vecteurs. Les mesures de lutte antivectorielle (principalement l'application de larvicide sur le site) ont permis de réduire substantiellement les nin de larves et de pupes et a «déplacé» la reproduction des moustiques vers d'autres récipients. CONCLUSION: Un ensemble interactif complexe de facteurs influe sur la reproduction et la production de moustiques Aedes aegypti adultes. Ainsi, pour gérer efficacement les populations vectorielles, une réponse de santé publique globale, allant au-delà des traitements larvicides de routine ou de la pulvérisation focale, est indispensable.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Estudiar las características de la reproducción del vector del dengue en diversas condiciones en espacios públicos y privados; investigar los aspectos ecológicos, biológicos y sociales (ecobiosociales) que intervienen en la reproducción del vector y la transmisión del virus, y determinar las principales implicaciones para la lucha antivectorial. MÉTODOS: En cada una de las seis zonas urbanas o periurbanas de Asia estudiadas, un equipo seleccionó al azar conglomerados urbanos para realizar encuestas de hogares normalizadas, encuestas basales del vecindario y estudios entomológicos. Reunieron información sobre los criaderos de vectores, los conocimientos de la gente al respecto, las actitudes y prácticas relacionadas con el dengue, y las características de las zonas estudiadas. Se inspeccionaron todos los locales, y se usaron los índices larvarios para cuantificar los criaderos del vector, y el número de pupas para distinguir el tipo de contenedores de agua productivos y como indicador sustitutivo de la abundancia de vectores adultos. RESULTADOS: Los criaderos de vectores más productivos fueron los contenedores de agua situados al aire libre, sobre todo los que estaban sin cubrir o debajo de arbustos, y los que no habían sido utilizados por lo menos en una semana. Las áreas peridomésticas e intradomésticas contribuían a la producción de pupas mucho más que los espacios comerciales y públicos, exceptuando las escuelas y los centros religiosos. Se observó una relación compleja aunque no significativa entre el suministro de agua y el número de pupas, y la falta de servicios de evacuación de desechos se asoció a una mayor abundancia de vectores en un solo sitio. La posesión de mayores conocimientos sobre el dengue y su transmisión se asoció a una menor reproducción y producción de mosquitos. Las medidas de lucha antivectorial (principalmente la aplicación de larvicidas en un sitio) lograron reducir sustancialmente el número de larvas y pupas y «empujaron» los criaderos de mosquitos hacia otros contenedores. CONCLUSIÓN: La reproducción del vector y la producción de Aedes aegypti adulto dependen de una compleja interacción de factores. En consecuencia, para lograr controlar eficazmente los vectores, es fundamental articular una respuesta de salud pública que no se limite a la aplicación de larvicidas o el rociamiento focalizado.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To study dengue vector breeding patterns under a variety of conditions in public and private spaces; to explore the ecological, biological and social (eco-bio-social) factors involved in vector breeding and viral transmission, and to define the main implications for vector control. METHODS: In each of six Asian cities or periurban areas, a team randomly selected urban clusters for conducting standardized household surveys, neighbourhood background surveys and entomological surveys. They collected information on vector breeding sites, people's knowledge, attitudes and practices surrounding dengue, and the characteristics of the study areas. All premises were inspected; larval indices were used to quantify vector breeding sites, and pupal counts were used to identify productive water container types and as a proxy measure for adult vector abundance. FINDINGS: The most productive vector breeding sites were outdoor water containers, particularly if uncovered, beneath shrubbery and unused for at least one week. Peridomestic and intradomestic areas were much more important for pupal production than commercial and public spaces other than schools and religious facilities. A complex but non-significant association was found between water supply and pupal counts, and lack of waste disposal services was associated with higher vector abundance in only one site. Greater knowledge about dengue and its transmission was associated with lower mosquito breeding and production. Vector control measures (mainly larviciding in one site) substantially reduced larval and pupal counts and "pushed" mosquito breeding to alternative containers. CONCLUSION: Vector breeding and the production of adult Aedes aegypti are influenced by a complex interplay of factors. Thus, to achieve effective vector management, a public health response beyond routine larviciding or focal spraying is essential.
  • Cholera in India: an analysis of reports, 1997-2006 Research

    Kanungo, S; Sah, BK; Lopez, AL; Sung, JS; Paisley, AM; Sur, D; Clemens, JD; Nair, G Balakrish

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Déterminer plus précisément l'incidence annuelle du choléra en Inde, que l'on soupçonne d'être plus élevée que le chiffre notifié à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). MÉTHODES: Nous avons analysé la littérature biomédicale pour en extraire des données sur les cas de choléra signalés en Inde de 1997 à 2006 et comparé les chiffres trouvés à ceux notifiés chaque année à l'OMS sur la même période. Ces derniers ont été tirés des récapitulatifs annuels de l'OMS des cas de choléra et du document National Heath profile 2006, publié par le Bureau central indien de l'intelligence sanitaire. RÉSULTATS: Parmi les 35 Etats et territoires de l'Union indienne, 21 ont notifié des cas de choléra pendant au moins une des années de la période 1997-2006. L'État du Bengale occidental a notifié des cas sur l'ensemble de ces dix années, tandis que l'État du Maharastra et le territoire de New Delhi ont rapporté des cas pendant neuf d'entre elles et l'État de l'Orissa pendant sept d'entre elles. Il s'est produit 68 flambées épidémiques de choléra dans 18 Etats et 222 038 cas ont été détectés globalement. Ce chiffre est environ six fois plus élevé que le nombre de cas notifié à l'OMS sur la même période (soit 37 783). Les Etats de l'Orissa et du Bengale occidental, les Iles Andaman et Nicobar, l'Assam et le Chhattisgarh ont totalisé 91 % des cas liés à des flambées. CONCLUSION: La notification des cas de choléra en Inde est incomplète et les méthodes servant à la tenue des statistiques sur l'incidence de cette maladie sont inadéquates. Malgré la rareté et l'hétérogénéité des données, on peut affirmer que la notification du choléra est fortement déficiente en Inde.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Definir con más precisión la incidencia anual de cólera en la India, considerada superior a la que se notifica a la Organización Mundial de la Salud (OMS). MÉTODOS: Hicimos búsquedas en las publicaciones médicas para extraer datos sobre los casos de cólera notificados en la India entre 1997 y 2006 y comparamos las cifras obtenidas con las notificadas anualmente a la OMS en el mismo periodo. Estas últimas se obtuvieron a partir de los resúmenes anuales de la OMS sobre los casos de cólera notificados y del National Health Profile 2006, publicado por la Oficina Central de Información Sanitaria de la India. RESULTADOS: De 35 estados o territorios de la unión de la India, 21 notificaron casos de cólera durante un año al menos entre 1997 y 2006. El estado de Bengala Occidental notificó casos cada uno de esos diez años, mientras que el estado de Maharashtra y el territorio de la unión de Delhi notificaron casos nueve años, y Orissa siete. Hubo 68 brotes en 18 estados, y en total se detectaron 222 038 casos. Esta cifra es unas seis veces mayor que la notificada a la OMS (37 783) en el mismo periodo. Los estados de Orissa, Bengala Occidental, Islas Andaman y Nicobar, Assam y Chhattisgarh concentraron el 91% de todos los casos asociados a brotes. CONCLUSIÓN: La notificación de los casos de cólera en la India es incompleta, y los métodos empleados para mantener las estadísticas sobre la incidencia de la enfermedad son insuficientes. Aunque los datos son escasos y heterogéneos, puede afirmarse que la notificación de los casos de cólera en la India es claramente insatisfactoria.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To more accurately define the annual incidence of cholera in India, believed to be higher than reported to the World Health Organization (WHO). METHODS: We searched the biomedical literature to extract data on the cases of cholera reported in India from 1997 to 2006 and compared the numbers found to those reported annually to WHO over the same period. The latter were obtained from WHO's annual summaries of reported cholera cases and National health profile 2006, published by India's Central Bureau of Health Intelligence. FINDINGS: Of India's 35 states or union territories, 21 reported cholera cases during at least one year between 1997 and 2006. The state of West Bengal reported cases during all 10 years, while the state of Maharashtra and the union territory of Delhi reported cases during nine, and Orissa during seven. There were 68 outbreaks in 18 states, and 222 038 cases were detected overall. This figure is about six times higher than the number reported to WHO (37 783) over the same period. The states of Orissa, West Bengal, Andaman and Nicobar Islands, Assam and Chhattisgarh accounted for 91% of all outbreak-related cases. CONCLUSION: The reporting of cholera cases in India is incomplete and the methods used to keep statistics on cholera incidence are inadequate. Although the data are sparse and heterogeneous, cholera notification in India is highly deficient.
  • Tracking maternal mortality declines in Mongolia between 1992 and 2007: the importance of collaboration Research

    Yadamsuren, Buyanjargal; Merialdi, Mario; Davaadorj, Ishnyam; Requejo, Jennifer Harris; Betrán, Ana Pilar; Ahmad, Asima; Nymadawa, Pagvajav; Erkhembaatar, Tudevdorj; Barcelona, Delia; Ba-thike, Katherine; J Hagan, Robert; Prado, Richard; Wagner, Wolf; Khishgee, Seded; Sodnompil, Tserendorj; Tsedmaa, Baatar; Jav, Baldan; Govind, Salik R; Purevsuren, Genden; Tsevelmaa, Baldan; Soyoltuya, Bayaraa; Johnson, Brooke R; Fajans, Peter; Look, Paul FA Van; Otgonbold, Altankhuyag

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Décrire la tendance à la baisse de la mortalité maternelle observée en Mongolie entre 1992 et 2007 et son accélération après 2001, suite à la mise en œuvre de la Stratégie de réduction de la mortalité maternelle par le Ministère de la santé et d'autres partenaires. MÉTHODES: Nous avons réalisé une analyse descriptive des données de mortalité maternelle collectées par l'intermédiaire du système mongol d'enregistrement de l'état-civil et fournis par le Ministère de la santé mongol. Nous avons analysé la tendance à la baisse de la mortalité pour évaluer sa significativité statistique par régression linéaire simple. Nous présentons les ratio de mortalité maternelle annuels de 1992 à 2007 et passons en revue les composantes de base de la Stratégie de réduction de la mortalité maternelle mongole pour les périodes 2001-2004 et 2005-2010. RÉSULTATS: La Mongolie a obtenu une baisse annuelle statistiquement significative de son ratio de mortalité maternelle de près de 10 décès pour 100 000 naissances vivantes sur la période 1992-2007. De 2001 à 2007, le ratio de mortalité maternelle mongol a diminué d'environ 47 %, passant de 169 à 89,6 décès pour 100 000 naissances vivantes. CONCLUSION: Les disparités en termes de mortalité maternelle représentent l'une des principales sources d'inégalités persistantes entre les pays à faible revenu et les pays riches. Néanmoins, des diminutions importantes de cette mortalité sont possibles dans les régions démunies si l'on fait appel à des stratégies collaboratives reposant sur une approche horizontale et sur la participation coordonnée de partenaires clés, dont les ministères de la santé, les agences et les donateurs nationaux et internationaux, les professionnels de santé, les médias, les organisations non gouvernementales et la population générale.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Describir la tendencia decreciente de la mortalidad materna observada en Mongolia entre 1992 y 2007 y su aceleración a partir de 2001, después de que el Ministerio de Salud y otros asociados aplicaran la estrategia de reducción de la mortalidad materna. MÉTODOS: Realizamos un análisis descriptivo de los datos de mortalidad materna reunidos a través del sistema de registro civil de Mongolia y proporcionados por el Ministerio de Salud. La tendencia observada de reducción de la mortalidad fue analizada mediante regresión lineal simple para determinar la significación estadística. Presentamos las razones de mortalidad materna entre 1992 y 2007 para cada año y examinamos los componentes básicos de la estrategia de reducción de la mortalidad materna de Mongolia en 2001-2004 y 2005-2010. RESULTADOS: Mongolia logró una disminución anual estadísticamente significativa de su razón de mortalidad materna de casi 10 muertes por 100 000 nacidos vivos durante el periodo 1992-2007. Entre 2001 y 2007, la razón de mortalidad materna disminuyó aproximadamente un 47%, de 169 a 89,6 defunciones por 100 000 nacidos vivos. CONCLUSIÓN: Las disparidades de la mortalidad materna son una de las principales inequidades en salud que aún persisten si se comparan los países de bajos recursos y los que cuentan con altos recursos. Sin embargo, es posible lograr reducciones importantes en los entornos con recursos escasos aplicando estrategias de colaboración basadas en un enfoque horizontal y coordinando la participación de asociados clave, como los ministerios de salud, los organismos y donantes nacionales e internacionales, los profesionales de la salud, los medios de comunicación, las organizaciones no gubernamentales y el público en general.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To describe the declining trend in maternal mortality observed in Mongolia from 1992 to 2007 and its acceleration after 2001 following implementation of the Maternal Mortality Reduction Strategy by the Ministry of Health and other partners. METHODS: We performed a descriptive analysis of maternal mortality data collected through Mongolia's vital registration system and provided by the Mongolian Ministry of Health. The observed declining mortality trend was analysed for statistical significance using simple linear regression. We present the maternal mortality ratios from 1992 to 2007 by year and review the basic components of Mongolia's Maternal Mortality Reduction Strategy for 2001-2004 and 2005-2010. FINDINGS: Mongolia achieved a statistically significant annual decrease in its maternal mortality ratio of almost 10 deaths per 100 000 live births over the period 1992-2007. From 2001 to 2007, the maternal mortality ratio in Mongolia decreased approximately 47%, from 169 to 89.6 deaths per 100 000 live births. CONCLUSION: Disparities in maternal mortality represent one of the major persisting health inequities between low- and high-resource countries. Nonetheless, important reductions in low-resource settings are possible through collaborative strategies based on a horizontal approach and the coordinated involvement of key partners, including health ministries, national and international agencies and donors, health-care professionals, the media, nongovernmental organizations and the general public.
  • Communicable diseases in the South-East Asia region of the World Health Organization: towards a more effective response Policy and Practice

    Gupta, Indrani; Guin, Pradeep

    Resumo em Francês:

    Le présent article évalue la charge actuelle de maladies transmissibles dans la Région de l'Asie du Sud-est de l'Organisation mondiale de la Santé et examine si les niveaux et les tendances actuel des moyens de financement sont suffisants pour répondre aux besoins en matière de lutte, de prévention et de traitement. Notre analyse examine les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) et les indicateurs de progrès économique dans chaque pays, ainsi que l'impact de la crise financière mondiale sur les progrès vers les OMD relatifs aux maladies transmissibles dans la région. D'après cette analyse, l'affectation actuelle des fonds peut devoir être élargie pour couvrir des maladies moins souvent évoquées, mais à forte charge de morbidité, associées fréquemment à des inadéquations entre le secteur de la santé et les voies de développement particulières suivies par les pays. En période de récession économique, l'utilisation de fonds limités peut être plus efficace si elle se fonde sur l'analyse soigneuse d'une série complexe de paramètres, incluant des facteurs comportementaux, environnementaux et relatifs au système de santé, qui déterminent la charge de maladies transmissibles. L'existence de lacunes importantes en matière de financement, ainsi que la variabilité des besoins régionaux, justifient une diversification des mesures d'aide nationales et internationales. Si la collaboration au niveau régional et mondial est essentielle, il faut, pour que les politiques futures répondant à la charge de maladies transmissibles dans la région soient efficaces, que ces politiques reposent sur des éléments factuels et soient développées par des décideurs familiarisés avec les besoins et les priorités de chaque pays.

    Resumo em Espanhol:

    En este artículo se examina la carga de enfermedades transmisibles que sufre actualmente la Región de Asia Sudoriental de la Organización Mundial de la Salud y se determina si el nivel y las tendencias actuales de la financiación son adecuados para atender las necesidades de control, prevención y tratamiento. Se consideran los Objetivos de Desarrollo del Milenio (ODM) relacionados con la salud y los indicadores de progreso económico de cada país, así como el impacto de la crisis financiera mundial en los progresos hacia los ODM en lo que atañe a las enfermedades transmisibles en la región. Se desprende del análisis realizado que tal vez deberían ampliarse las actuales prioridades de la financiación para abarcar enfermedades que son objeto de un menor interés pero conllevan una alta carga, a menudo en relación con las insuficiencias del sector de la salud y con las vías particulares de desarrollo seguidas por los países. La escasa financiación conseguida en los periodos de recesión económica mundial podría ser más eficaz si se viera fundamentada por un análisis meticuloso del complejo conjunto de factores -en particular comportamentales, ambientales y de los sistemas salud- que determinan la carga de enfermedades transmisibles. Las importantes déficits de financiación, así como las diferentes necesidades regionales, justifican una mayor diversidad de medidas nacionales e internacionales de ayuda. Aunque la colaboración regional y mundial es fundamental, para que sean efectivas, las futuras políticas contra la carga de enfermedades transmisibles que sufre la región deberán estar basadas en la evidencia y ser desarrolladas por instancias normativas familiarizadas con las necesidades y prioridades de cada país.

    Resumo em Inglês:

    This article looks at the current burden of communicable diseases in the South-East Asia Region of the World Health Organization and analyses whether the current levels and trends in funding are adequate to meet the needs of control, prevention and treatment. Our analysis considers the Millennium Development Goals (MDGs) for health and indicators of economic progress in each country, as well as the impact of the global financial crisis on progress towards MDGs for communicable diseases in the region. The analysis indicates that the current focus of funding may need to be expanded to include less-discussed but high-burden diseases often related to inadequacies in the health sector and the particular development paths that countries pursue. Scarce funding during times of global economic recession could be used more effectively if informed by a careful analysis of the complex set of factors, including behavioural, environmental and health systems factors, that determine the burden of communicable diseases. Significant gaps in funding as well as varying regional needs warrant a more diverse set of national and international aid measures. Although regional and global collaboration is critical, the effectiveness of future policies to deal with the burden of communicable diseases in the region will only be assured if these policies are based on evidence and developed by policy-makers familiar with each country's needs and priorities.
  • Elimination of neglected tropical diseases in the South-East Asia region of the World Health Organization Policy and Practice

    Narain, Jai P; Dash, AP; Parnell, B; Bhattacharya, SK; Barua, S; Bhatia, R; Savioli, L

    Resumo em Francês:

    Les maladies tropicales négligées (MTN) qui touchent les plus pauvres, posent un problème de santé publique majeur dans la région de l'Asie du Sud-est de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Si plus d'une dizaine de ces MTN affectent la Région, quatre d'entre elles en particulier - la lèpre, la filariose lymphatique, la leishmaniose viscérale (kala-azar) et le pian - ont été visés par des efforts d'élimination au cours des cinq dernières années. Ces quatre maladies ont été sélectionnées pour un certain nombre de raisons. Premièrement, elles affectent l'Asie du Sud-est de manière disproportionnée. Chaque année, par exemple, environ 67 % des nouveaux cas de lèpre et 60 % des nouveaux cas de leishmaniose viscérale se déclarant dans le monde apparaissent dans un des pays de cette région, où pas moins de 850 millions d'habitants sont exposés à un risque de filariose lymphatique. En outre, plusieurs facteurs épidémiologiques, technologiques et historiques propres à la région rendent chacune de ces quatre maladies susceptibles d'élimination. Des interventions et des outils sûrs et efficaces sont disponibles pour atteindre ces objectifs et il est probable que des efforts concertés pour les étendre à plus grande échelle, de manière indépendante ou intégrée, seraient couronnés de succès. L'Assemblée mondiale de la Santé et le Comité régional de l'OMS, à travers une série de résolutions, ont déjà formulé des engagements régionaux et mondiaux en faveur de l'élimination de ces maladies en tant que problèmes de santé publique. On s'attend à ce que cette action ait un impact rapide et considérable en termes de réduction de la pauvreté et qu'elle contribue à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement. Le présent article examine les arguments politiques en faveur de la lutte contre ces maladies dans la Région OMS de l'Asie du Sud-est, les progrès enregistrés à ce jour, les enseignements tirés tout au long de cette expérience et les difficultés et opportunités restantes.

    Resumo em Espanhol:

    Las enfermedades tropicales desatendidas afectan a las poblaciones más pobres y representan un grave problema de salud pública en la Región de Asia Sudoriental de la Organización Mundial de la Salud (OMS). Aunque la región se ve afectada por más de una docena de ellas, en los últimos cinco años, cuatro de esas enfermedades en particular -la lepra, la filariasis linfática, la leishmaniasis visceral (kala-azar) y el pian- han sido seleccionadas para su eliminación. Se han elegido esas cuatro enfermedades por varias razones. En primer lugar, afectan a la Región de Asia Sudoriental de manera desproporcionada. Por ejemplo, cada año, alrededor del 67% de los casos nuevos de lepra y el 60% de los casos nuevos de leishmaniasis visceral surgidos en todo el mundo se registran en países de la región, donde 850 millones de habitantes están expuestos a la filariasis linfática. Además, diversos factores epidemiológicos, tecnológicos e históricos peculiares de esa región hacen que cada una de esas cuatro enfermedades se presten a la eliminación. Se dispone de instrumentos e intervenciones seguros y eficaces para alcanzar esas metas, y los esfuerzos concertados concebidos para expandirlos, individualmente o de forma integrada, tienen muchas probabilidades de éxito. La Asamblea Mundial de la Salud y el Comité Regional de la OMS, a través de una serie de resoluciones, ya han expresado su compromiso regional y mundial de eliminar esas enfermedades como problemas de salud pública. Cabe esperar que esas medidas tengan un impacto rápido y radical en la reducción de la pobreza y contribuyan a la consecución de los Objetivos de Desarrollo del Milenio. En este artículo se analizan las razones normativas de las actividades de control de las enfermedades en la Región de Asia Sudoriental de la OMS, los progresos realizados hasta la fecha, las lecciones aprendidas a lo largo del camino, y los problemas y oportunidades pendientes.

    Resumo em Inglês:

    The neglected tropical diseases (NTDs), which affect the very poor, pose a major public health problem in the South-East Asia Region of the World Health Organization (WHO). Although more than a dozen NTDs affect the region, over the past five years four of them in particular - leprosy, lymphatic filariasis, visceral leishmaniasis (kala-azar) and yaws - have been targeted for elimination. These four were selected for a number of reasons. First, they affect the WHO South-East Asia Region disproportionately. For example, every year around 67% of all new leprosy cases and 60% of all new cases of visceral leishmaniasis worldwide occur in countries of the region, where as many as 850 million inhabitants are at risk of contracting lymphatic filariasis. In addition, several epidemiological, technological and historical factors that are unique to the region make each of these four diseases amenable to elimination. Safe and effective tools and interventions to achieve these targets are available and concerted efforts to scale them up, singly or in an integrated manner, are likely to lead to success. The World Health Assembly and the WHO Regional Committee, through a series of resolutions, have already expressed regional and global commitments for the elimination of these diseases as public health problems. Such action is expected to have a quick and dramatic impact on poverty reduction and to contribute to the achievement of the Millennium Development Goals. This paper reviews the policy rationale for disease control in the WHO South-East Asia Region, the progress made so far, the lessons learnt along the way, and the remaining challenges and opportunities.
  • Strengthening Indonesia's Field Epidemiology Training Programme to address International Health Regulations requirements Lessons from the Field

    Kandun, I Nyoman; Samaan, Gina; Santoso, Hari; Kushadiwijaya, Haripurnomo; Juwita, Ratna; Mohadir, Andi; Aditama, Tjandra

    Resumo em Francês:

    PROBLÉMATIQUE: Aux termes du Règlement sanitaire international (RSI), les pays doivent renforcer leurs capacités centrales de surveillance des maladies et leurs systèmes d'action. De nombreux pays mettent en place ou renforcent leurs programmes de formation à l'épidémiologie de terrain (FETP) pour répondre aux besoins en ressources humaines, mais sont confrontés à des difficultés en termes de durabilité et de qualité de la formation. L'Indonésie en particulier doit faire face à des difficultés qui Incluent le manque de ressources pour la formation sur le terrain et de coordination pour le système de santé récemment décentralisé. DÉMARCHE: Un plan de travail national pour le FETP a été mis au point à partir de l'évaluation du programme existant et des projections des besoins sur le plan humain. Un Secrétariat dépendant du Ministère de la santé, faisant le lien entre les universités et les partenaires nationaux et internationaux, a été établi pour superviser la révision et la mise en œuvre du FETP. CONTEXTE LOCAL: Le FETP est intégré au programme d'enseignement des universités indonésiennes et la formation sur le terrain est menée dans les bureaux de la santé provinciaux et districaux et coordonnée par les universités et le Secrétariat du FETP. MODIFICATIONS PERTINENTES: Le FETP a été inclus par décret gouvernemental dans la stratégie de développement de la main d'œuvre du Ministère de la santé. Les programmes de formation ont été améliorés et les stages sur le terrain renforcés pour fournir aux bénéficiaires un meilleur apprentissage. Dans le but de favoriser la durabilité du FETP, des liens ont été établis avec l'Association des épidémiologistes indonésiens, les gouvernements locaux et les donateurs pour se constituer à long terme des défenseurs et préserver les financements. Des cours, des concours et des forums de discussion ont été mis en place pour les superviseurs de terrain et les nouveaux étudiants. Ces changements ont permis de diversifier l'origine géographique des étudiants, de renforcer la participation intersectorielle et internationale et d'améliorer la qualité des résultats des étudiants. ENSEIGNEMENTS TIRÉS: Le principal enseignement tiré de cette expérience est que les liens avec les universités, les ministères et les agences internationales comme l'Organisation mondiale de la Santé sont essentiels pour mettre sur pied un programme de haute qualité et durable. Les facteurs les plus déterminants sont le développement de relations de confiance et la définition claire des responsabilités de chaque partie prenante.

    Resumo em Espanhol:

    PROBLEMA: De conformidad con el Reglamento Sanitario Internacional, los países necesitan fortalecer la capacidad básica de sus sistemas de vigilancia y respuesta a las enfermedades. Muchos de ellos están creando programas de epidemiología práctica (PEP), o reforzando los existentes, a fin de cubrir sus necesidades de recursos humanos, pero tropiezan con problemas relacionados con la sostenibilidad y la calidad de la formación. Indonesia está respondiendo a esos desafíos, entre los que cabe citar unos recursos limitados para la capacitación sobre el terreno y la escasa coordinación existente en un sistema de salud recientemente descentralizado. ENFOQUE: Se elaboró un plan de trabajo nacional en epidemiología práctica basado en una evaluación de los programas existentes y de las necesidades previstas de recursos humanos, y se creó una Secretaría del Ministerio de Salud que vinculaba a universidades y asociados nacionales e internacionales para supervisar la revisión y aplicación del PEP. CONTEXTO LOCAL: El PEP está integrado en el plan de estudios de las universidades de Indonesia y la formación práctica se lleva a cabo en oficinas de salud distritales y provinciales, bajo la coordinación de las universidades y la Secretaría del PEP. CAMBIOS DESTACABLES: Mediante un decreto del Gobierno, el PEP pasó a formar parte de la estrategia de desarrollo del personal del Ministerio de Salud. Se han mejorado los planes de estudios y se han reforzado las prácticas sobre el terreno para ofrecer a los alumnos mejores oportunidades de aprendizaje. A fin de reforzar la sostenibilidad del PEP, se establecieron vínculos con la Asociación de Epidemiólogos de Indonesia, los gobiernos locales y los donantes con miras a formar a futuros defensores del PEP y mantener la financiación. Se organizaron cursillos, concursos y foros de discusión para los supervisores de campo y los ex alumnos. Estos cambios han ampliado la distribución geográfica de los estudiantes, la participación intersectorial e internacional y la calidad del desempeño de los alumnos. ENSEÑANZAS EXTRAÍDAS: La principal lección es que los vínculos con universidades, ministerios y organismos internacionales como la Organización Mundial de la Salud son fundamentales para crear un programa sostenible de alta calidad. Los factores más importantes fueron el desarrollo de relaciones de confianza y una definición clara de las responsabilidades de cada uno de los interesados.

    Resumo em Inglês:

    PROBLEM: According to the International Health Regulations (IHR), countries need to strengthen core capacity for disease surveillance and response systems. Many countries are establishing or enhancing their field epidemiology training programmes (FETPs) to meet human resource needs but face challenges in sustainability and training quality. Indonesia is facing these challenges, which include limited resources for field training and limited coordination in a newly decentralized health system. APPROACH: A national FETP workplan was developed based on an evaluation of the existing programme and projected human resource needs. A Ministry of Health Secretariat linking universities, national and international partners was established to oversee revision and implementation of the FETP. LOCAL SETTING: The FETP is integrated into the curriculum of Indonesian universities and field training is conducted in district and provincial health offices under the coordination of the universities and the FETP Secretariat. RELEVANT CHANGES: The FETP was included in the Ministry of Health workforce development strategy through governmental decree. Curricula have been enhanced and field placements strengthened to provide trainees with better learning experiences. To improve sustainability of the FETP, links were established with the Indonesian Epidemiologists' Association, local governments and donors to cultivate future FETP champions and maintain funding. Courses, competitions and discussion forums were established for field supervisors and alumni. These changes have increased the geographic distribution of students, intersectoral and international participation and the quality of student performance. LESSONS LEARNT: The main lesson learnt is that linkages with universities, ministries and international agencies such as the World Health Organization are critical for building a sustainable high-quality programme. The most critical factors were development of trusting relationships and clear definitions of the responsibilities of each stakeholder.
  • Community-based interventions for diarrhoeal diseases and acute respiratory infections in Nepal Lessons from the Field

    Ghimire, Madhu; Pradhan, Yasho Vardhan; Maskey, Mahesh Kumar

    Resumo em Francês:

    PROBLÉMATIQUE: A l'échelle mondiale, les maladies diarrhéiques et les infections respiratoires aiguës (IRA) sont les causes les plus courantes de mortalité de l'enfant. Des solutions sûres, efficaces et peu onéreuses sont disponibles pour prévenir et combattre ces maladies, mais elles n'atteignent pas les communautés qui en ont besoin. DÉMARCHE: Au Népal, des interventions ont été mises au point à partir de travaux de recherche pour former et engager des volontaires communautaires de santé en vue de mettre en œuvre un programme de lutte contre les maladies diarrhéiques et les IRA à l'échelle communautaire. Avec la mise en place de la Stratégie de prise en charge intégrée des maladies de l'enfant (PCIME), ce programme a ensuite été converti en PCIME au niveau communautaire, mais a conservé ses principales activités. Nous avons examiné et analysé les décisions politiques, ainsi que le développement, la mise en œuvre et l'élargissement de ce programme. CONTEXTE LOCAL: De fortes contraintes financières et la difficulté du terrain limitent l'accès aux établissements de soins de santé dans de nombreuses parties du Népal. MODIFICATIONS PERTINENTES: Dans les districts bénéficiant des interventions, davantage de cas de diarrhée aiguë et d'IRA (et notamment de pneumonie) ont été notifiés. Dans ces mêmes districts, la proportion de cas de diarrhée avec déshydratation et celle de cas d'IRA avec pneumonie étaient significativement plus basses. Sur l'ensemble du pays, les taux de létalité dus à la diarrhée aiguë et la proportion de pneumonies sévères parmi les cas d'IRA présentaient une tendance significative à la baisse entre 2004 et 2007. Le Népal a réussi à former de nombreux volontaires communautaires de santé et progresse vers la réalisation de l'Objectif du Millénaire pour le développement concernant la mortalité des enfants. ENSEIGNEMENTS TIRÉS: La charge de diarrhées aigues et d'IRA peut être réduite en formant et en engageant des volontaires communautaires pour mettre en œuvre des stratégies de prise en charge des cas et de prévention au niveau communautaire. La surveillance, la supervision et l'appui logistique sont essentiels. Des décisions politiques fondées sur des résultats de la recherche nationale ont contribué au succès du programme.

    Resumo em Espanhol:

    PROBLEMA: Las enfermedades diarreicas agudas y las infecciones respiratorias agudas (IRA) son las causas más comunes de mortalidad en la niñez en todo el mundo. Existen soluciones seguras, eficaces y de bajo costo para su prevención y control, pero esas soluciones no llegan a las comunidades necesitadas. ENFOQUE: Sobre la base de investigaciones previas, se diseñaron intervenciones destinadas a capacitar y hacer participar a voluntarios de salud comunitarios (VSC) para implementar un programa de control basado en la comunidad en Nepal. Con la llegada de la Atención Integrada a las Enfermedades Prevalentes de la Infancia (AIEPI), este programa evolucionó posteriormente hacia una AIEPI basada en la comunidad, pero mantuvo sus actividades principales. Hemos revisado y analizado aquí las decisiones de política y el desarrollo, ejecución y expansión del programa. CONTEXTO LOCAL: La grave falta de recursos y las dificultades del terreno limitan el acceso a los servicios de salud en muchas zonas de Nepal. CAMBIOS DESTACABLES: En los distritos con intervenciones se notificaron más casos de diarrea aguda e IRA (incluida neumonía). La proporción de casos de diarrea con deshidratación y la proporción de casos de IRA con neumonía fueron significativamente menores en los distritos con intervenciones. Las tasas de letalidad por diarrea aguda y la proporción de neumonía grave entre los casos de IRA en todo el país mostraron una tendencia importante a la baja entre 2004 y 2007. Nepal ha logrado formar satisfactoriamente a muchos VSC y está bien encaminado para alcanzar el Objetivo de Desarrollo del Milenio relativo a la mortalidad infantil. ENSEÑANZAS EXTRAÍDAS: La carga de diarrea aguda y de IRA puede reducirse mediante la formación y participación activa de VSC en la aplicación de estrategias de tratamiento y prevención de casos basadas en la comunidad. El monitoreo, la supervisión y el apoyo logístico son fundamentales. Las decisiones de política basadas en la evidencia aportada por las investigaciones nacionales contribuyeron al éxito del programa.

    Resumo em Inglês:

    PROBLEM: Acute diarrhoeal diseases and acute respiratory infections (ARIs) are the most common causes of child mortality worldwide. Safe, effective and inexpensive solutions are available for prevention and control, but they do not reach needy communities. APPROACH: Interventions based on research were designed to train and engage community health volunteers (CHVs) to implement a community-based control programme in Nepal. With the advent of the Integrated Management of Childhood Illnesses (IMCI) strategy, this programme subsequently emerged as a community-based IMCI but retained its mainstream activities. We reviewed and analysed policy decisions and programme development, implementation and expansion. LOCAL SETTING: Severe resource constraints and difficult terrain limit access to health-care facilities in many parts of Nepal. RELEVANT CHANGES: In districts with interventions, more cases of acute diarrhoea and of ARIs (including pneumonia) were reported. The proportion of diarrhoea cases with dehydration and the proportion of ARI cases with pneumonia were significantly lower in districts with interventions. Case fatality rates due to acute diarrhoea and the proportion of severe pneumonia among ARI cases across the country showed a significant trend towards a decrease from 2004 to 2007. Nepal has succeeded in training many CHVs and is on course to meet the Millennium Development Goal for child mortality. LESSONS LEARNT: The burden of acute diarrhoea and ARIs can be reduced by training and engaging CHVs to implement community-based case management and prevention strategies. Monitoring, supervision and logistical support are essential. Policy decisions based on evidence from national research contributed to the success of the programme.
  • Outcomes of antiretroviral therapy in a northern Indian urban clinic Lessons from the Field

    Sharma, Surendra K; Dhooria, Sahajal; Prasad, KT; George, Ninoo; Ranjan, Sanjay; Gupta, Deepak; Sreenivas, Vishnubhatla; Kadhiravan, Tamilarasu; Miglani, Sunita; Sinha, Sanjeev; Wig, Naveet; Biswas, Ashutosh; Vajpayee, Madhu

    Resumo em Francês:

    PROBLÉMATIQUE: Les programmes de traitement antirétroviral (TARV) ont donné des résultats satisfaisants dans plusieurs pays. Néanmoins, il n'est pas certain qu'un tel programme réussisse dans le cadre du programme national d'un pays aux ressources limitées comme l'Inde. Les résultats et les problèmes spécifiques rencontrés dans ce type de contexte n'ont pas encore été suffisamment étudiés. DÉMARCHE: Nous avons évalué l'efficacité et le fonctionnement du Programme TARV national indien dans le cadre d'un centre de soins tertiaires du Nord de l'Inde. Tous les patients auparavant naïfs de traitement ARV et ayant débuté ce traitement entre mai 2005 et octobre 2006 ont été inclus dans l'étude et ont été suivis jusqu'au 31 avril 2008. Des évaluations cliniques et analytiques périodiques ont été effectuées conformément aux directives nationales. Les évolutions de la numération des lymphocytes CD4+, du poids corporel et de l'indice de masse corporelle ont été évaluées dans le cadre du suivi et les difficultés opérationnelles ont été analysées. CONTEXTE LOCAL: L'étude s'est déroulée dans un centre de soins tertiaires du Nord de l'Inde, sur une population mixte de patients, dont la plupart présentaient un faible statut socioéconomique. Ce centre était raisonnablement bien doté en ressources, mais devait faire face à des contraintes dans la délivrance des soins, telles que le manque de personnel approprié et la forte affluence des patients. MODIFICATIONS PERTINENTES: La réponse au TARV dans la cohorte étudiée était comparable à celles rapportés dans d'autres pays. Néanmoins, le programme présentait un taux d'attrition élevé, pouvant être dû à des facteurs liés aux patients et aux contraintes de fonctionnement du centre. ENSEIGNEMENTS TIRÉS: Un taux élevé d'attrition peut nuire à l'efficacité globale et au fonctionnement du programme TARV. Remédier aux problèmes à l'origine de cette attrition pourrait améliorer les résultats thérapeutiques pour les patients en Inde et dans d'autres pays à ressources limitées.

    Resumo em Espanhol:

    PROBLEMA: Los programas de tratamiento antirretroviral (TAR) han cosechado buenos resultados en varios países. Sin embargo, no está claro si se desarrollarían también de forma satisfactoria como componente de un programa nacional en un entorno con recursos limitados como la India. Los resultados y los problemas específicos observados en esas circunstancias no han sido estudiados adecuadamente. ENFOQUE: Se evaluó la eficacia y el funcionamiento del programa nacional de TAR de la India en un centro de atención terciaria del norte del país. Se incluyó en el estudio a todos los pacientes sin tratamiento antirretrovírico previo que empezaron a tomar antirretrovirales entre mayo de 2005 y octubre de 2006, los cuales fueron sometidos a seguimiento hasta el 31 de abril de 2008. De forma periódica se llevaron a cabo evaluaciones clínicas y de laboratorio de conformidad con las directrices nacionales. En cada sesión de seguimiento se analizaron la variación del recuento de linfocitos CD4+, el peso corporal y el índice de masa corporal, así como los problemas operacionales surgidos. CONTEXTO LOCAL: Se trabajó en un centro de atención terciaria del norte de la India con una población diversa de pacientes, la mayoría de nivel socioeconómico bajo. El centro cuenta con unos recursos razonables, pero ve tensionada su capacidad asistencial debido a la falta de recursos humanos apropiados y al alto volumen de pacientes. CAMBIOS DESTACABLES: La respuesta a la TAR en la cohorte estudiada fue comparable a la descrita en otros países. Sin embargo, el programa presentó una tasa de deserción elevada, posiblemente debido a factores relacionados con el paciente y a limitaciones operacionales. ENSEÑANZAS EXTRAÍDAS: Una alta tasa de deserción puede menoscabar la eficacia y el funcionamiento globales de los programas de ART. Encarando los problemas causantes de esas deserciones se podría conseguir que los pacientes evolucionaran mejor en la India y en otros países con recursos limitados.

    Resumo em Inglês:

    PROBLEM: Antiretroviral therapy (ART) programmes have been successful in several countries. However, whether they would succeed as part of a national programme in a resource-constrained setting such as India is not clear. The outcomes and specific problems encountered in such a setting have not been adequately studied. APPROACH: We assessed the efficacy and functioning of India's national ART programme in a tertiary care centre in northern India. All ART-naive patients started on ART between May 2005 and October 2006 were included in the study and were followed until 31 April 2008. Periodic clinical and laboratory evaluations were carried out in accordance with national guidelines. Changes in CD4+ lymphocyte count, body weight and body mass index were assessed at follow-up, and the operational problems analysed. LOCAL SETTING: The setting was a tertiary care centre in northern India with a mixed population of patients, mostly of low socioeconomic status. The centre is reasonably well resourced but faces constraints in health-care delivery, such as lack of adequate human resources and a high patient load. RELEVANT CHANGES: The response to ART in the cohort studied was comparable to that reported from other countries. However, the programme had a high attrition rate, possibly due to patient-related factors and operational constraints. LESSONS LEARNT: A high rate of attrition can affect the overall efficacy and functioning of an ART programme. Addressing the issues causing attrition might improve patient outcomes in India and in other resource-constrained countries.
  • Achieving success with family planning in rural Afghanistan Lessons from the Field

    Huber, Douglas; Saeedi, Nika; Samadi, Abdul Khalil

    Resumo em Francês:

    PROBLÉMATIQUE: Les femmes afghanes sont parmi les plus exposées du monde au risque de décès maternel. Des années de conflit ont dévasté l'infrastructure sanitaire du pays. Au départ du projet, la fécondité totale était l'une des plus élevées au monde, l'utilisation de moyens contraceptifs était très limitée et il n'existait pas de modèle afghan de succès de la planification familiale. DÉMARCHE: Nous avons collaboré étroitement avec les communautés, en fournissant des informations sur l'innocuité des contraceptifs et l'absence de danger de leurs effets secondaires et en améliorant l'accès aux contraceptifs injectables, aux pilules contraceptives et aux préservatifs. Des interactions régulières avec les dirigeants communautaires, avec les mollahs (chefs religieux), les cliniciens, les agents de santé communautaires et les couples ont permis de mettre en place des innovations culturellement acceptables. Une vision positive de l'espacement des naissances a été générée grâce aux messages suivants : l'usage de moyens contraceptifs est 300 fois plus sûr que la grossesse en Afghanistan et le Coran (livre sain de l'Islam) préconise deux années d'allaitement. Les agents de santé communautaires ont mis en route pour la première fois l'utilisation de contraceptifs injectables. CONTEXTE LOCAL: L'organisation à but non lucratif Management Sciences for Health (MSH), des organisations non gouvernementales afghanes et le Ministère de la santé publique ont lancé un projet d'accélération de l'usage des moyens contraceptifs dans trois régions rurales, abritant des populations d'origines ethniques différentes. MODIFICATIONS PERTINENTES: Le taux de prévalence de la contraception a augmenté de 24 à 27 points de pourcentages en 8 mois dans les régions bénéficiant du projet. Après avoir pris conscience de l'innocuité des moyens contraceptifs modernes, de leur efficacité et de l'absence de dangerosité de leurs effets secondaires, les hommes ont soutenu l'utilisation de ces moyens. Ce sont les contraceptifs injectables qui ont le plus contribué à l'accroissement de l'utilisation des moyens contraceptifs. ENSEIGNEMENTS TIRÉS: Les agents de santé communautaires peuvent rapidement faire progresser l'utilisation des moyens contraceptifs dans les zones rurales si on leur donne des responsabilités et des orientations. Les innovations appliquées dans le cadre du projet ont été adoptées comme meilleures pratiques pour un élargissement à l'échelle nationale.

    Resumo em Espanhol:

    PROBLEMA: Las mujeres afganas sufren uno de los mayores riesgos de defunción materna de todo el mundo a lo largo de su vida. Los años de conflicto vividos por el país han devastado su infraestructura sanitaria. La fecundidad total era una de las mayores del mundo, se usaban poco los anticonceptivos, y no había modelos afganos para una planificación familiar eficaz. ENFOQUE: Trabajamos en estrecha colaboración con las comunidades, suministrando información sobre la seguridad y la inocuidad de los efectos secundarios de los anticonceptivos y mejorando el acceso a anticonceptivos inyectables, píldoras y preservativos. La interacción regular con líderes comunitarios, mullahs (líderes religiosos), médicos, agentes de salud comunitarios y parejas propiciaron innovaciones culturalmente aceptables. Se creó una percepción positiva del espaciamiento de los nacimientos difundiendo el mensaje de que el uso de anticonceptivos es una opción 300 veces más segura que el embarazo en el Afganistán, y de que el Corán (el libro sagrado del Islam) propugna un periodo de dos años de lactancia materna. Los agentes de salud comunitarios empezaron a usar los anticonceptivos inyectables por vez primera. CONTEXTO LOCAL: La organización sin fines de lucro Management Sciences for Health, organizaciones no gubernamentales afganas y el Ministerio de Salud Pública pusieron en marcha el proyecto Acelerar el Uso de Anticonceptivos en tres zonas rurales con distintas poblaciones étnicas. CAMBIOS DESTACABLES: La prevalencia de uso de anticonceptivos aumentó en 24-27 puntos porcentuales en 8 meses en las zonas abarcadas por el proyecto. Los hombres respaldaron los anticonceptivos modernos una vez que comprendieron su seguridad, eficacia y carencia de efectos secundarios nocivos. El incremento del uso de anticonceptivos se debió sobre todo a los productos inyectables de este tipo. ENSEÑANZAS EXTRAÍDAS: Los agentes de salud comunitarios pueden extender rápidamente el uso de anticonceptivos en las zonas rurales si se les da la responsabilidad y la orientación oportunas. Las innovaciones introducidas en el marco del proyecto fueron adoptadas como prácticas óptimas para su expansión a nivel nacional.

    Resumo em Inglês:

    PROBLEM: Afghan women have one of the world's highest lifetime risks of maternal death. Years of conflict have devastated the country's health infrastructure. Total fertility was one of the world's highest, contraceptive use was low and there were no Afghan models of success for family planning. APPROACH: We worked closely with communities, providing information about the safety and non-harmful side-effects of contraceptives and improving access to injectable contraceptives, pills and condoms. Regular interaction with community leaders, mullahs (religious leaders), clinicians, community health workers and couples led to culturally acceptable innovations. A positive view of birth spacing was created by the messages that contraceptive use is 300 times safer than pregnancy in Afghanistan and that the Quran (the holy book of Islam) promotes two years of breastfeeding. Community health workers initiated the use of injectable contraceptives for the first time. LOCAL SETTING: The non-for-profit organization, Management Sciences for Health, Afghan nongovernmental organizations and the Ministry of Public Health implemented the Accelerating Contraceptive Use project in three rural areas with different ethnic populations. RELEVANT CHANGES: The contraceptive prevalence rate increased by 24-27% in 8 months in the project areas. Men supported modern contraceptives once they understood contraceptive safety, effectiveness and non-harmful side-effects. Injectable contraceptives contributed most to increases in contraceptive use. LESSONS LEARNT: Community health workers can rapidly increase contraceptive use in rural areas when given responsibility and guidance. Project innovations were adopted as best practices for national scale-up.
  • Global lessons from India's poliomyelitis elimination campaign Perspectives

    Arora, Narendra K; Chaturvedi, Sanjay; Dasgupta, Rajib
  • Khat, driver impairment and road traffic injuries: a view from Ethiopia Perspectives

    Eckersley, William; Salmon, Ruth; Gebru, Mulugeta
  • Corrigenda Corrigenda

  • From endotoxin to exotoxin: de's rich legacy to cholera Public Health Classics

    Nair, G Balakrish; Narain, Jai P
World Health Organization Genebra - Genebra - Switzerland
E-mail: bulletin@who.int