• Performance of case definitions used for influenza surveillance among hospitalized patients in a rural area of India Research

    Hirve, Siddhivinayak; Chadha, Mandeep; Lele, Pallavi; Lafond, Kathryn E; Deoshatwar, Avinash; Sambhudas, Somnath; Juvekar, Sanjay; Mounts, Anthony; Dawood, Fatimah; Lal, Renu; Mishra, Akhilesh

    Resumo em Francês:

    RÉSUMÉ OBJECTIF: Évaluer les définitions de cas de grippe dans une collectivité rurale en Inde. MÉTHODES: On a inclus les habitants de la zone de l'étude, qui ont été hospitalisés pour toute affection médicale aiguë pendant au moins une nuit entre mai 2009 et avril 2011. Des échantillons respiratoires ont été collectés et testés pour les virus grippaux par une transcription inverse - réaction en chaîne par polymérase (PCR). Les résultats de la PCR ont été pris comme étalon pour l'évaluation des résultats des définitions de cas. RÉSULTATS: Sur les 3179 patients inclus dans l'analyse finale, 21% (665) étaient PCR-positifs au virus de la grippe, 96% déclaraient de la fièvre et 4% un essoufflement. La définition de cas par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) du syndrome respiratoire aigu sévère présentait une sensibilité de 11% chez les patients âgés de moins de 5 ans et de 3% chez les patients plus âgés. Lorsque l'essoufflement était exclu de la définition, la sensibilité augmentait (69% et 70%, respectivement) et des spécificités correspondantes de 43% et 53% étaient enregistrées. Chez les patients âgés de 5 ans et plus, la définition de cas par l'OMS du syndrome grippal présentait une sensibilité de 70% et une spécificité de 53%. L'ajout de la «toux et d'une fièvre déclarée ou mesurée» augmentait la sensibilité à 80%, mais diminuait la spécificité à 42%. CONCLUSION: La prise en compte de l'essoufflement dans la définition de cas par l'OMS du syndrome respiratoire aigu sévère peut sous-estimer lourdement la charge que représente la grippe dans les hôpitaux. L'exclusion de l'essoufflement de cette définition ou, de manière alternative, l'inclusion de la «toux et d'une fièvre mesurée ou déclarée» peut améliorer les estimations de la charge.

    Resumo em Espanhol:

    RESUMEN OBJETIVO: Evaluar las definiciones de los casos de gripe en una comunidad rural en India. MÉTODOS: Se inscribió a los residentes del área de estudio hospitalizados durante al menos una noche por cualquier dolencia aguda entre mayo del 2009 y abril del 2011. Se recogieron muestras respiratorias a las que se efectuó una prueba por medio de una reacción en cadena de la polimerasa (RCP) para determinar la presencia del virus de la gripe. Los resultados de la RCP se tomaron como «prueba de oro» para evaluar la realización de varias definiciones de casos. RESULTADOS: De los 3179 pacientes incluidos en el análisis final, el 21% (665) dio positivo en la RCP para el virus de la gripe, el 96% declaró tener fiebre y el 4%, dificultad para respirar. La definición de caso de la Organización Mundial de la Salud (OMS) para las afecciones respiratorias agudas graves tuvo una sensibilidad del 11% entre los pacientes menores de cinco años y del 3% entre pacientes de más edad. La sensibilidad aumentó (al 69% y al 70%, respectivamente) y se registraron particularidades correspondientes del 43% y 53% cuando se excluyó la dificultad respiratoria de la definición. Entre los pacientes con edades inferiores a 5 años, la definición de la OMS de los casos de síndrome gripal presentó una sensibilidad del 70% y una particularidad del 53%. La sensibilidad aumentó hasta el 80% cuando se añadió «tos y fiebre declarada o medida», sin embargo, la particularidad descendió hasta el 42%. CONCLUSIÓN: Incluir la dificultad para respirar en la definición de caso de la OMS para la afección respiratoria aguda grave podría subestimar en extremo la carga que la gripe representa en los hospitales. Excluir la dificultad para respirar de dicha definición o, de manera alternativa, incluir la «tos y fiebre declarada o medida» podría mejorar el cálculo de la carga

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess case definitions for influenza in a rural community in India. METHODS: Residents of the study area who were hospitalized for any acute medical condition for at least one night between May 2009 and April 2011 were enrolled. Respiratory specimens were collected and tested for influenza viruses in a reverse-transcription polymerase chain reaction (PCR). The PCR results were taken as the "gold standard" in evaluating the performance of several case definitions. FINDINGS: Of the 3179 patients included in the final analysis, 21% (665) were PCR-positive for influenza virus, 96% reported fever and 4% reported shortness of breath. The World Health Organization (WHO) case definition for severe acute respiratory illness had a sensitivity of 11% among patients aged < 5 years and of 3% among older patients. When shortness of breath was excluded from the definition, sensitivities increased (to 69% and 70%, respectively) and corresponding specificities of 43% and 53% were recorded. Among patients aged ≥ 5 years, WHO's definition of a case of influenza-like illness had a sensitivity of 70% and a specificity of 53%. The addition of "cough and reported or measured fever" increased sensitivity to 80% but decreased specificity to 42%. CONCLUSION: The inclusion of shortness of breath in WHO's case definition for severe acute respiratory illness may grossly underestimate the burden posed by influenza in hospitals. The exclusion of shortness of breath from this definition or, alternatively, the inclusion of "cough and measured or reported fever" may improve estimates of the burden.
  • Economic evaluation of a task-shifting intervention for common mental disorders in India Research

    Buttorff, Christine; Hock, Rebecca S; Weiss, Helen A; Naik, Smita; Araya, Ricardo; Kirkwood, Betty R; Chisholm, Daniel; Patel, Vikram

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Réaliser une évaluation économique d'une intervention de transfert de tâches dans le cadre du traitement des troubles dépressifs et anxieux dans les établissements de soins primaires à Goa, en Inde. MÉTHODES: Des analyses de coût-utilité et coût-efficacité basées sur des modèles linéaires généralisés ont été effectuées dans le cadre d'un essai organisé dans 24 établissements publics et privés de soins primaires. Les sujets ont été répartis de manière aléatoire entre groupe d'intervention ou groupe témoin. Les sujets du groupe d'intervention ont bénéficié d'une psychoéducation, de la gestion de cas, d'une psychothérapie interpersonnelle et/ou d'antidépresseurs de la part d'agents de santé non professionnels. Les sujets du groupe témoin ont été traités par des médecins. L'utilisation des ressources de santé, le handicap de chaque sujet et le degré de morbidité psychiatrique, tel que mesuré par le Programme d'entretien clinique révisé, ont été déterminés à 2, 6 et 12 mois. RÉSULTATS: Les données complètes de chacun des trois suivis ont été recueillies pour 1243 (75,4%) et 938 (81,7%) des sujets inscrits dans les établissements publics et privés, respectivement. Dans les établissements publics, les sujets du groupe d'intervention connaissaient une amélioration plus importante de tous les résultats sanitaires étudiés que les sujets du groupe témoin. Les coûts en termes de temps étaient également significativement plus faibles dans le groupe d'intervention que dans le groupe témoin, alors que les coûts du système de santé dans les deux groupes étaient similaires. Dans les établissements privés, cependant, l'efficacité et les coûts enregistrés dans les deux groupes étaient similaires. CONCLUSION: Dans les établissements publics de soins primaires à Goa, le recours à des agents de santé non professionnels pour la prise en charge des sujets atteints de troubles mentaux communs était non seulement efficace en termes de coût, mais aussi plus économique.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Realizar una evaluación económica de una intervención de delegación de tareas para el tratamiento de trastornos depresivos y de ansiedad en entornos de atención primaria en Goa, India. MÉTODOS: Se llevaron a cabo análisis de la relación coste-utilidad y coste-eficacia basados en modelos lineales generalizados en un ensayo realizado en 24 centros de atención primaria tanto públicos como privados. De manera aleatoria, se asignó a los sujetos un brazo de intervención o otro de control. Empleados sanitarios no profesionales proporcionaron psicoeducación, tratamiento del caso, psicoterapia interpersonal y/o antidepresivos a los sujetos que reunían los requisitos necesarios en el brazo de intervención. Los sujetos en el brazo de control fueron tratados por médicos. Se determinó el uso de recursos para la atención sanitaria, la discapacidad de cada sujeto y el grado de morbilidad psiquiátrica, según lo evaluado por la versión revisada del instrumento de entrevista clínica (CIS-R), a los 2, 6 y 12 meses. RESULTADOS: De los tres seguimientos, se recogieron los datos completos de 1243 (75,4%) y 938 (81,7%) de los sujetos inscritos, respectivamente, en los centros de estudio públicos y privados. En los centros públicos, los sujetos en el brazo de intervención mostraron una mejora superior que los del brazo de control en todos los resultados sanitarios que se investigaron. Los costes de mantenimiento también fueron notablemente inferiores en el brazo de intervención que en el de control, mientras que los costes para el sistema de salud fueron similares en los dos brazos. En los centros privados, sin embargo, la eficacia y los costes registrados fueron similares para los dos brazos. CONCLUSIÓN: El uso de empleados sanitarios no profesionales en los centros de atención primaria públicos en Goa para el cuidado de sujetos con trastornos metales comunes no sólo fue efectivo en relación con los costes sino que también supuso un ahorro.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To carry out an economic evaluation of a task-shifting intervention for the treatment of depressive and anxiety disorders in primary-care settings in Goa, India. METHODS: Cost-utility and cost-effectiveness analyses based on generalized linear models were performed within a trial set in 24 public and private primary-care facilities. Subjects were randomly assigned to an intervention or a control arm. Eligible subjects in the intervention arm were given psycho-education, case management, interpersonal psychotherapy and/or antidepressants by lay health workers. Subjects in the control arm were treated by physicians. The use of health-care resources, the disability of each subject and degree of psychiatric morbidity, as measured by the Revised Clinical Interview Schedule, were determined at 2, 6 and 12 months. FINDINGS: Complete data, from all three follow-ups, were collected from 1243 (75.4%) and 938 (81.7%) of the subjects enrolled in the study facilities from the public and private sectors, respectively. Within the public facilities, subjects in the intervention arm showed greater improvement in all the health outcomes investigated than those in the control arm. Time costs were also significantly lower in the intervention arm than in the control arm, whereas health system costs in the two arms were similar. Within the private facilities, however, the effectiveness and costs recorded in the two arms were similar. CONCLUSION: Within public primary-care facilities in Goa, the use of lay health workers in the care of subjects with common mental disorders was not only cost-effective but also cost-saving.
  • Parental perceptions surrounding polio and self-reported non-participation in polio supplementary immunization activities in Karachi, Pakistan: a mixed methods study Research

    Khowaja, Asif Raza; Khan, Sher Ali; Nizam, Naveeda; Omer, Saad Bin; Zaidi, Anita

    Resumo em Francês:

    RÉSUMÉ OBJECTIF: Évaluer les connaissances et les perceptions des parents relatives à la polio et à la vaccination contre la polio, la participation autodéclarée à des activités de vaccination supplémentaires (AVS) contre la polio ciblant des enfants âgés de moins de 5 ans, mais aussi les raisons justifiant la non-participation. MÉTHODES: L'étude des méthodes mixtes a commencé par une enquête transversale à Karachi, au Pakistan. Un questionnaire structuré a été distribué afin d'évaluer les connaissances parentales relatives à la polio et à la participation aux AVS contre la polio, en septembre et octobre 2011. En outre, 30 parents d'origine ethnique pachtoune (un groupe à haut risque) ayant refusé de faire vacciner leurs enfants ont été interrogés de manière approfondie afin de déterminer les raisons de leur refus. Des analyses descriptives et bivariées par groupe ethnique et groupe socio-économique ont été réalisées pour les données quantitatives. Et une analyse thématique des entretiens qualitatifs avec les parents pachtounes a été effectuée. RÉSULTATS: Sur 1017 parents interrogés, 412 (41%) n'avaient jamais entendu parler de la polio, 132 (13%) n'avaient pas participé à une AVS et 157 (15,4%) n'avaient participé à aucune AVS. Parmi les non-participants, 34 (21,6%) ont déclaré ne pas avoir été contactés par un vaccinateur, 116 (73,9%) ont déclaré avoir refusé de participer, et 7 (4,5%) ont déclaré que l'enfant n'était pas à la maison lors de la visite du vaccinateur. Les refus se concentraient dans les familles pachtounes à faible revenu (43/441; 9,8%) et dans celles à revenu élevé de toute origine ethnique (71/153; 46,4%). Les Pachtounes possédant un faible revenu étaient plus susceptibles de ne pas avoir participé à des AVS contre la polio que les non-Pachtounes possédant un faible revenu (rapport des cotes, RC: 7,1; intervalle de confiance, IC de 95%: 3,47 à 14,5). Les raisons souvent citées par les Pachtounes pour le refus de la vaccination incluaient la peur de la stérilité, le manque de confiance dans le vaccin contre la polio, le scepticisme à l'égard du programme de vaccination et la crainte que le vaccin puisse contenir des ingrédients interdits par la religion. CONCLUSION: À Karachi, l'interruption de la transmission de la polio nécessite des interventions communautaires intégrées et participatives, ciblant les populations à risque élevé.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar el conocimiento y las percepciones de los padres en torno a la poliomielitis y la vacuna antipoliomielítica, la participación en las actividades suplementarias de inmunización antipoliomielítica (ASI) para niños menores de 5 años y las razones por las que no se participó en ellas. MÉTODOS: El estudio de métodos mixtos comenzó con una encuesta transversal en Karachi, Pakistán. Se proporcionó un cuestionario estructurado para evaluar el conocimiento de los padres acerca de la poliomielitis y la participación en ASI antipoliomielíticas llevadas a cabo en septiembre y octubre de 2011. Con objeto de determinar el porqué, se entrevistaron de manera adicional a 30 padres de etnia pastún (grupo de alto riesgo) que se negaron a vacunar a sus hijos. Se llevaron a cabo análisis descriptivos y divariados según el grupo étnico y socioeconómico para obtener datos cuantitativos y se realizaron análisis temáticos para obtener entrevistas cualitativas con padres de etnia pastún. RESULTADOS: De los 1017 padres encuestados, 412 (41%) nunca habían oído hablar de la poliomielitis, 132 (13%) no habían participado en una ASI y 157 (15,4%) no habían participado en ninguna ASI. Entre los que no habían participado, 34 (21,6%) notificaron que el vacunador no se había puesto en contacto con ellos, 116 (73,9%) informaron que se habían negado a participar y 7 (4,5%) que el niño no estaba en casa cuando el vacunador realizó la visita. Las negativas se agruparon en las familias pastunes con ingresos bajos (43/441; 9,8%) y familias con ingresos altos de cualquier grupo étnico (71/153; 46,4%). La probabilidad de que los pastunes con ingresos bajos no hubieran participado en ASI antipoliomielíticas fue más alta que entre los grupos no pastunes con ingresos bajos (razón de posibilidades, OR: 7,1; intervalo de confianza (CI) del 95%: 3,47-14,5). Las razones citadas más comúnmente entre los pastunes para rechazar la vacunación incluyeron el temor a quedar estériles, la falta de confianza en la vacuna antipoliomielítica, el escepticismo acerca del programa de inmunización y el temor a que la vacuna pudiera contener ingredientes prohibidos por su religión. CONCLUSIÓN: La interrupción de la transmisión de la poliomielitis en Karachi exige intervenciones comunitarias integradas y participativas que tengan como objetivo las poblaciones de alto riesgo

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess parent's knowledge and perceptions surrounding polio and polio vaccination, self-reported participation in polio supplementary immunization activities (SIAs) targeting children aged < 5 years, and reasons for non-participation. METHODS: The mixed methods study began with a cross-sectional survey in Karachi, Pakistan. A structured questionnaire was administered to assess parental knowledge of polio and participation in polio SIAs conducted in September and October 2011. Additionally, 30 parents of Pashtun ethnicity (a high-risk group) who refused to vaccinate their children were interviewed in depth to determine why. Descriptive and bivariate analyses by ethnic and socioeconomic group were performed for quantitative data; thematic analysis was conducted for qualitative interviews with Pashtun parents. FINDINGS: Of 1017 parents surveyed, 412 (41%) had never heard of polio; 132 (13%) did not participate in one SIA and 157 (15.4%) did not participate in either SIA. Among non-participants, 34 (21.6%) reported not having been contacted by a vaccinator; 116 (73.9%) reported having refused to participate, and 7 (4.5%) reported that the child was absent from home when the vaccinator visited. Refusals clustered in low-income Pashtun (43/441; 9.8%) and high-income families of any ethnic background (71/153; 46.4%). Low-income Pashtuns were more likely to not have participated in polio SIAs than low-income non-Pashtuns (odds ratio, OR: 7.1; 95% confidence interval, CI: 3.47-14.5). Reasons commonly cited among Pashtuns for refusing vaccination included fear of sterility; lack of faith in the polio vaccine; scepticism about the vaccination programme, and fear that the vaccine might contain religiously forbidden ingredients. CONCLUSION: In Karachi, interruption of polio transmission requires integrated and participatory community interventions targeting high-risk populations.
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