• The population-based burden of influenza-associated hospitalization in rural western Kenya, 2007-2009 Research

    Feikin, Daniel R; Ope, Maurice O; Aura, Barrack; Fuller, James A; Gikunju, Stella; Vulule, John; Ng'ang'a, Zipporah; Njenga, M Kariuki; Breiman, Robert F; Katz, Mark

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Estimer les taux spécifiques par âge et par charge de l'hospitalisation liée à la grippe dans les régions rurales de l'ouest du Kenya. MÉTHODES: Tous les 3924 patients souffrant de maladie respiratoire (définies comme toux aiguë, difficulté respiratoire ou douleur de poitrine pleurétique) qui ont été hospitalisés entre juin 2007 et mai 2009 dans tous les établissements hospitaliers du district du Bondo, au Kenya, ont été inscrits. Des prélèvements nasopharyngés et oropharyngés ont été rassemblés et testés pour les virus de la grippe au moyen d'une transcription inverse et amplification en chaîne par polymérase en temps réel (RT-PCR). Dans le calcul des taux annuels, des ajustements ont été faits pour les patients inscrits qui n'ont pas eu de prélèvements testés pour le virus de la grippe. RÉSULTATS: Des 2079 patients avec prélèvements testés, l'infection au virus de la grippe a été confirmée dans 204 (10%) des cas; 176, 27 et 1 cas se sont révélés RT-PCR positifs pour, respectivement, le virus de la grippe A uniquement, le virus de la grippe B uniquement, les virus des deux grippes A et B. Parmi les personnes testées pour le virus de la grippe, 6,8% des enfants âgés de <5 ans et 14,0% des patients âgés de 5 ans ou plus se sont révélés positifs. Le taux de létalité parmi les patients admis avec infection confirmée PCR au virus de la grippe était de 2.0%. Le taux annuel d'hospitalisation (par 100 000 habitants) était de 699,8 parmi les patients souffrant de maladie respiratoire et de 56,2 parmi les patients souffrant de la grippe (avec 143,7, 18,8, 55,2, 65,1 et 57,3 des patients hospitalisés avec le virus de la grippe par 100 000 personnes âgés de respectivement <5, 5-19, 20-34, 35-49 et >50 ans). CONCLUSION: Dans une région rurale de l'ouest du Kenya, le taux d'hospitalisation liée à la grippe était plus élevé parmi les enfants âgés de moins de 5 ans.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Calcular la carga y las tasas por edades de las hospitalizaciones asociadas a la gripe en el oeste rural de Kenya. MÉTODOS: Se inscribieron los 3924 pacientes con enfermedades respiratorias (definidas como tos aguda, dificultad para respirar o dolor torácico pleurítico) hospitalizados entre junio de 2007 y mayo de 2009 en cualquier centro sanitario hospitalario del distrito keniata de Bodo. Se recogieron frotis nasofaríngeos y bucofaríngeos y se comprobó la presencia de virus de la gripe mediante una reacción en cadena de la polimerasa dirigida por ARN (transcriptasa inversa) (RT-PCR). Se llevaron a cabo ajustes para aquellos pacientes inscritos para cuyos frotis no se había realizado la prueba del virus de la gripe para realizar el cálculo de las tasas anuales. RESULTADOS: Se confirmó la presencia de una infección por virus de la gripe en 204 (10%) de los 2079 pacientes cuyos frotis se sometieron a prueba; 176, 27 y 1 casos dieron positivo en la prueba de la RT-PCR sólo para el virus gripal A, sólo para el virus gripal B y para ambos virus gripales A y B, respectivamente. El 6,8% de los niños menores de 5 años y el 14,0% de los pacientes mayores de 5 años entre los que se realizó la prueba para el virus gripal dio positivo. La tasa de letalidad entre los pacientes admitidos con una infección por el virus gripal confirmada por la prueba de la PCR fue del 2,0% La tasa anual de hospitalizaciones (por cada 100 000 habitantes) fue de 699,8 entre pacientes con enfermedades respiratorias y de 56,2 entre los pacientes con gripe (con 143,7, 18,8, 55,2, 65,1 y 57,3 pacientes hospitalizados con virus gripal por cada 100 000 habitantes con edades menores de 5, comprendidas entre 5-19, 20-34, 35-49 y más de 50 años, respectivamente). CONCLUSIÓN: En un distrito rural del oeste de Kenya, la tasa de hospitalizaciones asociadas a la gripe fue más alta entre los niños menores de 5 años.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To estimate the burden and age-specific rates of influenza-associated hospitalization in rural western Kenya. METHODS: All 3924 patients with respiratory illness (defined as acute cough, difficulty in breathing or pleuritic chest pain) who were hospitalized between June 2007 and May 2009 in any inpatient health facility in the Kenyan district of Bondo were enrolled. Nasopharyngeal and oropharyngeal swabs were collected and tested for influenza viruses using real-time reverse transcriptase polymerase chain reaction (RT-PCR). In the calculation of annual rates, adjustments were made for enrolled patients who did not have swabs tested for influenza virus. FINDINGS: Of the 2079 patients with tested swabs, infection with influenza virus was confirmed in 204 (10%); 176, 27 and 1 were found to be RT-PCR-positive for influenza A virus only, influenza B virus only, and both influenza A and B viruses, respectively. Among those tested for influenza virus, 6.8% of the children aged <5 years and 14.0% of the patients aged >5 years were found positive. The case-fatality rate among admitted patients with PCR-confirmed infection with influenza virus was 2.0%. The annual rate of hospitalization (per 100000 population) was 699.8 among patients with respiratory illness and 56.2 among patients with influenza (with 143.7, 18.8, 55.2, 65.1 and 57.3 hospitalized patients with influenza virus per 100000 people aged <5, 5-19, 20-34, 35-49 and >50 years, respectively). CONCLUSION: In a rural district of western Kenya, the rate of influenza-associated hospitalization was highest among children aged less than 5 years.
  • Likely effectiveness of pharmaceutical and non-pharmaceutical interventions for mitigating influenza virus transmission in Mongolia Research

    Bolton, KJ; McCaw, JM; Moss, R; Morris, RS; Wang, S; Burma, A; Darma, B; Narangerel, D; Nymadawa, P; McVernon, J

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Évaluer le bénéfice probable des interventions à l'étude pour une utilisation en Mongolie lors des pandémies de grippes à venir MÉTHODES: Un modèle patch stochastique et compartimenté de la susceptibilité, de l'exposition, de l'infection et du rétablissement a été établi afin d'appréhender les effets clés de plusieurs interventions - restrictions de déplacement, fermeture d'école, éloignement social généralisé, mise en quarantaine des proches contacts, traitement des contacts par antiviraux et prophylaxies - sur les dynamiques des épidémies de grippe. Le bénéfice probable ainsi que le moment et la durée optimaux de chacune de ces interventions ont été évalués au moyen de techniques d'échantillonnage latin hypercube, en calculant la moyenne de nombreux paramètres de transmission possible et de mixité sociale. RÉSULTATS: Les interventions effectuées à temps ont permis de réduire significativement la progression et la gravité de la grippe pandémique en Mongolie. En cas de scénario pandémique modéré, des mesures précoces d'éloignement social ont diminué le taux d'attaque moyen d'environ 10% à 7-8%. De même, en cas de scénario pandémique grave, de telles mesures diminuent le taux d'attaque moyen d'environ 23% à 21%. En cas de scénario pandémique tant grave que modéré, une série d'interventions non pharmaceutiques se sont révélées aussi efficaces qu'une utilisation ciblée d'antiviraux. Les campagnes ciblées sur les antiviraux se révèlent généralement plus efficaces en cas de scénario pandémique grave qu'en cas de scénario pandémique modéré. CONCLUSION: Un modèle mathématique de la transmission de la grippe pandémique en Mongolie indique que, pour être efficaces, les interventions visant à prévenir la transmission doivent être déclenchées dès la détection des premiers cas dans les régions frontalières. Si des mesures d'éloignement social sont introduites à ce stade-là et appliquées durant plusieurs semaines, leur impact réductionnel pourra être significatif. Dans des régions à faible revenu telles que la Mongolie, l'éloignement social peut être plus efficace qu'une consommation d'antiviraux à grande échelle.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar la eficacia posible de las intervenciones que están siendo estudiadas para ser aplicadas en Mongolia durante pandemias de gripe futuras. MÉTODOS: Se construyó un modelo de parche estocástico y compartimental de susceptibilidad, exposición, infección y recuperación para detectar los efectos clave de varias intervenciones (restricciones de viaje, cierre de colegios, distanciamiento social generalizado, cuarentena de contactos cercanos, tratamiento de casos con antivirales y profilaxis de los contactos) sobre la dinámica de las epidemias de gripe. Se evaluó el beneficio posible, así como la coordinación óptima y la duración de cada una de dichas intervenciones por medio de métodos de muestreo por hipercubo latino realizando un cálculo a través de numerosos parámetros posibles de transmisión y mezcla social. RESULTADOS: Las intervenciones oportunas pudieron reducir de manera considerable la evolución y gravedad de la gripe pandémica en Mongolia. En una hipótesis de pandemia moderada, las medidas tempranas de distanciamiento social disminuyeron la tasa de ataque de aproximadamente el 10% al 7-8%. De igual modo, en una hipótesis de pandemia grave, dichas medidas reducen la tasa media de ataque de aproximadamente el 23% al 21%. En ambas hipótesis de pandemia, tanto moderada como grave, las intervenciones no farmacéuticas demostraron ser tan efectivas como el uso focalizado de antivirales. Las campañas antivirales focalizadas parecieron por lo general más efectivas para las hipótesis de pandemia graves que para las hipótesis moderadas. CONCLUSIÓN: Un modelo matemático de transmisión de gripe pandémica en Mongolia indicó que, para que tengan éxito, las intervenciones para prevenir la transmisión deben ponerse en marcha en cuanto se detecten los primeros casos en regiones fronterizas. Las medidas de distanciamiento social podrían tener un impacto de mitigación notable si se introducen en esta fase y se aplican durante varias semanas En las regiones de ingresos bajos como Mongolia, el distanciamiento social podría ser más eficaz que el uso de antivirales a gran escala.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess the likely benefit of the interventions under consideration for use in Mongolia during future influenza pandemics. METHODS: A stochastic, compartmental patch model of susceptibility, exposure, infection and recovery was constructed to capture the key effects of several interventions - travel restrictions, school closure, generalized social distancing, quarantining of close contacts, treatment of cases with antivirals and prophylaxis of contacts - on the dynamics of influenza epidemics. The likely benefit and optimal timing and duration of each of these interventions were assessed using Latin-hypercube sampling techniques, averaging across many possible transmission and social mixing parameters. FINDINGS: Timely interventions could substantially alter the time-course and reduce the severity of pandemic influenza in Mongolia. In a moderate pandemic scenario, early social distancing measures decreased the mean attack rate from around 10% to 7-8%. Similarly, in a severe pandemic scenario such measures cut the mean attack rate from approximately 23% to 21%. In both moderate and severe pandemic scenarios, a suite of non-pharmaceutical interventions proved as effective as the targeted use of antivirals. Targeted antiviral campaigns generally appeared more effective in severe pandemic scenarios than in moderate pandemic scenarios. CONCLUSION: A mathematical model of pandemic influenza transmission in Mongolia indicated that, to be successful, interventions to prevent transmission must be triggered when the first cases are detected in border regions. If social distancing measures are introduced at this stage and implemented over several weeks, they may have a notable mitigating impact. In low-income regions such as Mongolia, social distancing may be more effective than the large-scale use of antivirals.
  • Influenza-associated mortality in 2009 in four sentinel sites in Bangladesh Research

    Homaira, Nusrat; Luby, Stephen P; Alamgir, ASM; Islam, Kariul; Paul, Repon; Abedin, Jaynal; Rahman, Mustafizur; Azim, Tasnim; Podder, Goutam; Sohel, Badrul Munir; Brooks, Abdullah; Fry, Alicia M; Widdowson, Marc-Alain; Bresee, Joseph; Rahman, Mahmudur; Azziz-Baumgartner, Eduardo

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Estimer la mortalité liée à la grippe au Bangladesh en 2009. MÉTHODES: Des prélèvements respiratoires ont été collectés deux fois par mois tout au long de l'année 2009 dans quatre hôpitaux du Bangladesh, chez des patients âgés de <5 ans souffrant de pneumonie grave et chez des patients plus âgés souffrant d'infection respiratoire aiguë. Ces prélèvements ont été testés pour le virus de la grippe à acide ribonucléique (ARN) au moyen d'une réaction en chaîne par polymérase. Les décès en 2009 dans cinq régions sélectionnées aléatoirement (les plus petites unités administratives au Bangladesh) dans toutes les zones couvertes par l'hôpital ont ensuite été analysés au moyen d'archives et de discussions informelles de groupe. Les décès qui seraient survenus dans les 14 jours suivant le développement soudain d'une fièvre avec toux et/ou maux de gorge ont été supposés liés à la grippe. Le taux de ces décès en 2009 dans chacune des zones couvertes a ensuite été estimé à partir du nombre de décès apparemment liés à la grippe dans les unions collectés, de la proportion des patients analysés dans l'hôpital local testés positifs pour le virus de la grippe ARN et du nombre estimé de résidents des unions prélevées. RÉSULTATS: Des 2500 personnes décédées en 2009 dans les 20 unions d'étude, 346 (14%) auraient souffert d'une fièvre avec toux et/ou maux de gorge dans les 14 jours précédant leur décès. La moyenne annuelle estimée de mortalité liée à la grippe dans ces unions était de 11 par 100 000 habitants: 1,5, 4,0 et 125 décès par 100 000 habitants parmi les personnes âgées de respectivement <5, 5-59 et >59 ans. CONCLUSION: La plus grande charge de mortalité liée à la grippe au Bangladesh figurait parmi la population âgée.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Calcular la mortalidad asociada a la gripe en Bangladesh en 2009. MÉTODOS: Se recogieron muestras respiratorias de pacientes con edades menores de 5 años con neumonía grave así como de otros pacientes de mayor edad con infecciones respiratorias agudas dos veces al mes en cuatro hospitales de Bangladesh durante el año 2009. Las muestras se sometieron a las pruebas del ácido ribonucleico (ARN) del virus gripal por medio de una reacción en cadena de la polimerasa. A través de registros formales y grupos de debate se investigaron los fallecimientos en el área de influencia de cada hospital de cinco uniones seleccionadas aleatoriamente (las uniones son las unidades administrativas más pequeñas en Bangladesh) en 2009. Se consideraron asociados a la gripe los fallecimientos que, según se informa, habían tenido lugar en los 14 días posteriores a la aparición repentina de fiebre con tos y/o dolor de garganta. La tasa de fallecimientos con esas características en 2009 en cada una de las zonas de influencia se calculó a partir del número de defunciones asociadas al parecer a la gripe en las uniones muestreadas, la proporción de los pacientes muestreados en el hospital local que realizó las pruebas para el ARN del virus gripal y el número estimado de residentes en las uniones muestreadas. RESULTADOS: Según se informa, 364 (14%) de las 2500 personas que fallecieron en 2009 en las 20 uniones de estudio tenían fiebre con tos y/o dolor de garganta en los 14 días anteriores a su defunción. La mortalidad media anual estimada asociada a la gripe en dichas uniones fue de 11 por cada 100 000 habitantes: 1,5, 4,0 y 125 defunciones por cada 100 000 entre los menores de 5, aquellos con edades comprendidas entre 5-59 y entre los mayores de 59, respectivamente. CONCLUSIÓN: La carga más alta de la mortalidad asociada a la gripe en Bangladesh en el año 2009 se dio entre las personas de edad.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To estimate influenza-associated mortality in Bangladesh in 2009. METHODS: In four hospitals in Bangladesh, respiratory samples were collected twice a month throughout 2009 from inpatients aged <5 years with severe pneumonia and from older inpatients with severe acute respiratory infection. The samples were tested for influenza virus ribonucleic acid (RNA) using polymerase chain reaction. The deaths in 2009 in five randomly selected unions (the smallest administrative units in Bangladesh) in each hospital's catchment area were then investigated using formal records and informal group discussions. The deaths of those who had reportedly died within 14 days of suddenly developing fever with cough and/or a sore throat were assumed to be influenza-associated. The rate of such deaths in 2009 in each of the catchment areas was then estimated from the number of apparently influenza-associated deaths in the sampled unions, the proportion of the sampled inpatients in the local hospital who tested positive for influenza virus RNA, and the estimated number of residents of the sampled unions. FINDINGS: Of the 2500 people known to have died in 2009 in all 20 study unions, 346 (14%) reportedly had fever with cough and/or sore throat within 14 days of their deaths. The estimated mean annual influenza-associated mortality in these unions was 11 per 100000 population: 1.5, 4.0 and 125 deaths per 100000 among those aged <5, 5-59 and >59 years, respectively. CONCLUSION: The highest burden of influenza-associated mortality in Bangladesh in 2009 was among the elderly.
  • Influenza-associated mortality in temperate and subtropical chinese cities, 2003-2008 Research

    Feng, Luzhao; Shay, David K; Jiang, Yong; Zhou, Hong; Chen, Xin; Zheng, Yingdong; Jiang, Lili; Zhang, Qingjun; Lin, Hong; Wang, Shaojie; Ying, Yanyan; Xu, Yanjun; Wang, Nanda; Feng, Zijian; Viboud, Cecile; Yang, Weizhong; Yu, Hongjie

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Estimer la mortalité associée à la grippe en Chine urbaine. MÉTHODES: La mortalité excessive associée à la grippe pour la période 2003-2008 a été évaluée dans trois villes de la zone tempérée du nord de la Chine et dans cinq villes de la zone subtropicale du pays. Les estimations ont été établies sur des modèles basés sur des régressions binomiales négatives, des statistiques vitales et les résultats de la surveillance hebdomadaire de la grippe. RÉSULTATS: La mortalité annuelle excessive associée à la grippe, dans tous les cas, a été de 18 (plage: 10,9-32,7) décès pour une population de 100 000 personnes dans les villes du nord et de 11,3 (plage: 7,3-17,8) décès pour une population de 100 000 personnes dans les villes du sud. La plus grande partie de cette mortalité excessive - respectivement 12,4 (plage: 7,4-22,2) et 8,8 (plage: 5,5-13,6) décès pour une population de 100 000 personnes dans les villes du nord et du sud - a été attribuée à des maladies respiratoires et/ou circulatoires. La plupart des décès (86%) sont survenus chez des personnes de >65 ans. La mortalité excessive associée à la grippe a été plus élevée lors des saisons où prédominait le virus B plutôt que lors de celles où prédominaient les virus A(H3N2) ou A(H1N1) et plus de la moitié de l'ensemble de la mortalité associée à la grippe a été associée au virus B de la grippe. CONCLUSION: De 2003 à 2008, la grippe saisonnière, surtout celle provoquée par le virus B, a été associée à une mortalité substantielle dans trois villes du nord tempéré de Chine et dans cinq villes du sud subtropical du pays.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Calcular la mortalidad asociada a la gripe en la China urbana. MÉTODOS: Se calculó el exceso de mortalidad asociado a la gripe durante el periodo comprendido entre 2003 y 2008 en tres ciudades del norte de China con clima templado y en cinco ciudades del sur del país con clima subtropical. Los cálculos se obtuvieron de modelos basados en regresiones binomiales negativas, estadísticas vitales y de los resultados de la vigilancia semanal del virus de la gripe. RESULTADOS: El exceso de mortalidad anual asociado a la gripe, por todas las causas, fue de 18,0 (rango: 10,9-32,7) muertes por cada 100000 habitantes en las ciudades del norte y de 11,3 (rango: 7,3-17,8) muertes por cada 100000 habitantes en las ciudades del sur. La mayor parte de este exceso de mortalidad - 12,4 (rango: 7,4-22,2) y 8,8 (rango: 5,5-13,6) muertes por cada 100000 habitantes en las ciudades del norte y del sur, respectivamente - se atribuyeron a una enfermedad respiratoria y/o circulatoria. La mayoría de las muertes (el 86%) ocurrió en personas con una edad >65 años. El exceso de mortalidad asociado a la gripe fue superior en épocas con un virus B dominante que en épocas en las que predominaron los virus A(H3N2) o A(H1N1). Más de la mitad de la mortalidad total asociada a la gripe se asoció al virus B de la gripe. CONCLUSIÓN: Entre 2003 y 2008, la gripe estacional, particularmente la causada por el virus B de la gripe, estuvo asociada a la mortalidad sustancial en tres ciudades de China con clima templado y en cinco ciudades del sur del país con clima subtropical.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To estimate influenza-associated mortality in urban China. METHODS: Influenza-associated excess mortality for the period 2003-2008 was estimated in three cities in temperate northern China and five cities in the subtropical south of the country. The estimates were derived from models based on negative binomial regressions, vital statistics and the results of weekly influenza virus surveillance. FINDINGS: Annual influenza-associated excess mortality, for all causes, was 18.0 (range: 10.9-32.7) deaths per 100000 population in the northern cities and 11.3 (range: 7.3-17.8) deaths per 100000 in the southern cities. Excess mortality for respiratory and circulatory disease was 12.4 (range: 7.4-22.2) and 8.8 (range: 5.5-13.6) deaths per 100000 people in the northern and southern cities, respectively. Most (86%) deaths occurred among people aged >65 years. Influenza-associated excess mortality was higher in B-virus-dominant seasons than in seasons when A(H3N2) or A(H1N1) predominated, and more than half of all influenza-associated mortality was associated with influenza B virus. CONCLUSION: Between 2003 and 2008, seasonal influenza, particularly that caused by the influenza B virus, was associated with substantial mortality in three cities in the temperate north of China and five cities in the subtropical south of the country.
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